de l’abdomen : a le a de chaquainêté dix- pédicules courts', déliés et
finement ramifiés èn arbusculestrès-élégahs, et dont le blanc d’argent
se détache agréablement sur le péritoine^jqui e stftr è s-^Â J
LejEoje çst peu vohunineux ; resjpmaç„est/çonÊt^étiiqit| et il y a
au pylore huit appendices divisées en deux1 groupes, cinq à dépite
et trois à gauche.
■ Le | JtO,HNlUS.ÆARIJT; '
( C o rvinmcarutta, U ob.,; xfohnius tcarutt,a, ;BÏÎ) Ç
Nous avons vu dans4es-mains de M. Charles Coquebert
un individu donné par Bloch lui-iriêrrîe de-son johnius
cànitta (pl. 3Së) ‘ôù-du çarutta katalaï, ou. *katalaï noir
de Tranquebar j "et nous fe# âfôhs fêÉBftde
Pondichéry par M. LesfeSënault ; on. y. nouïmie' F^sjllëe-
karoun-katelé\ M. Dussumier vient aussi de nous!ën rapporter
q.ella côte de Malabar,
Le museau de cetteî espèce, estfidourt eturèsûbpmbé. cSo'nTp’^bfil
descend trèsqpeu. La'longueur‘de-sa tête-est quatre fois et un tiers
dans säiongueur totale. Le diamètrejde son oeil esvqùat^fdi^ldans
- la longueur de la tète. Ses dents sont é^yipjimçs aux deux nf*lî< Ä “-,
f," et;sur ime'bEmde pltis large à*l’inférieure. A la supérieure, feirang
externe est! de très-peu-phis fort. On.n’aperçoit q^&pSn’érdes^ëS'-
tiges de crénelure au.préopercule1, dont’le .bord montant g&êibien
vertical. Les-pointes: de" l’opercule isont .peii ou point, sensibles. -Il y
a quatre pores à la -mach oir e -inférieure. La petite membrane entre
les sousfdrbitaires a de .chaque coté, un petit lobe étroit - son milieu
est tronqué.' La première dorsale s’élève un peu en ’pdintëjjdet ’ ses
1 épines, ainsi' que celles de l’anale, sontassez fortes. Le brun vineux
du dös et des flancs tranche assez fortement.sur le blanc dù'ventre.
I." Peut-être la différence de ces mots haroun et carutta ne tient-elle qtl’à une
faute' dèlcopiste, comme il y en a de. si fréquens exemples pour les noms tirés de
langàes inconnues à ceux :qui des écrivent.