jL’HÉLMSÈ îGH AU FFE-rSOLEIL.
( Heliases m^oLatüs, noL-j ' ‘
_ ïfô tre prerMèrfr espacé la éfë1 ën^pÿlé' par .M? Plëe ;de
là Martinique, o ù e lle porté en com m u i^ av èé ^g îÿ p tii-
sodon saxatile le nom qui annonce
quelle 111 tient dg même dans Je^ p e ti^ - creux des ±o-
au soleil. Ënf effet, M. Plée^hous d it quelle
s’y montre dès que le soleil paraît. Illfa lide |m te halîu/îiïTe
que nous-avons dérivé,lg nom du:so us-genÊe
apricarï).
•’ - Si1 forint|est un peu moins haute, et son profil plus unifeuhié-
ment arrondi sqa’àu glyphisodon que nous »n'e^jdén®mmer. soa|
•. ' ,-gt n’a rien, d& concave en dessus j sa caudale
n’est qu’échancrée-en arc d e ^ ï^ le-et nonfbu^çhpf^ s<uZso,tis-
* *£lïspt^ re f0I,tne une bande plqs régulièrement. cgl’iiafàire .lü^ est.
j^éèüven'd^^e^râi^Me^d’ée^ïIes, tandis crueg l g i ^ il
est nu. L’oeil est un peu plus grand ; mais la bbuefje VsV t(?ut!iu^î
” petite. Les dènts”sont sur'üne'’bande ^f'oite'à^hàhufe^ïiach'o^f^^t
en velours iras. La rangée exterieurèf surpasse à1 pfeiiie les aM#es& Seà
écaiHés^sa ligué latérale, ses nùgeoiresâojit eomme dani -Ies: gly*
^ pb isodons. La grande pièce écailleuse au-dessustdgjchàqué ventrale
. jet celle d’entre, ces<deux n&gepixës/ÿ sont encore plpf ^.ar^égs^j;
plus pointues.
; ; :% 5 |f» , 13/12;;A. :ÿl2 « 5 P. M ;
Tout ce -poisson paraît,_dans la liqueur, d’un brun fauve uni*
- forme. M.-Hée le dit à Tétat frais d’uue couleur grisâtre
®a.longueur e^tjej-quatre^ouçes,jet, sd çn M-^Plée, il pe $g-
.y TUent pas plus grand.
Là cavité abdominale de l’héliase est de même-forme que celle
desvglyp|ûsodons j aussi les viscères n’en paraissent pas beaucoup
différer. Ceux que nous avons examinés n’étaient pas bien con