CHAP.-XIV. ïiATILUS. 2 77
CH A P ITR E XIV.
Des Latilus'ët S§) Maquàm^ièux petits genres
su b d ivisio n qui n%^entrent dans aucun
d e s^p ré,e.^d e ii^ \ ~ '3 ju ^
: "#ÊS LÀTIIf&S.
NousâVksnsrAd’abord établi^igeuT-e d’aprèsrun poisson
qui décrit par que sur une pein-
; mais; q^i nou^'éft! arrivé il $ÿfa quelques
a n u é é f e ‘h i Irfdfés‘. Cette bhér ribus érf a fourni
itcemmeiït u n e g fijjS e R e l y g ^ ^ u s bè lle , qui a x o n -
f e m ÿ l e ÿ c a ■ gepfr§iues ^d igu e^ p a r la première.
jrtJm sja tilu s ne^ônt ,p o i n t r y p h è n e s ,^®mme M. de
Lacépèd#>l’a cru ,deréelin^dopt il a^^^vwjJa^figuje mais
ÿ&- farmênf^dans la fam ille -|fe^ c i^ |f^ àp d o r sa le indivise
un geÊre particulier-, remarquable surtout parfsson profil
é # ¥ r c 'à ^ n d i éludés déridant presque'lferti^fëment : sbn
i^ f e a u ^ f t r â in sA 'ÿ w ^ m t 1 s8 n ceil^rand e t Août pfè|^
de. la co^VtSâipérïeure d u f j iô f il ; l’ouverture de' sa
bouQiej, fendue jusque sous r ^ i l ?;p ^
t a ie q ïfd u total il Æéspite une forpie de tête qui rappelle
celle du mulle plutôt que .celle de là, cojfphène.
Le T/ATT LUS ARGENTÉ,
(Latilus argeritatusf^èbL'&o'rjphène chinoise, Lacép.,
t. I l , p. 176 et 2oQ.)M;
.A C’est, l’espèce décrite d’abord sur une peinture chinoise.
Nous ne sàvons pas précisément de quel parage, de la mer