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X ’ËTROPfipi ÇOrKUGKI.' .
(Etroplüs coruchîy nob.')
. / f f o l à le d e v o n s'à M. Ad olphe Bélepger, q u i l’a pris
dans les. £tàng§ d ’eau dou£e ]dk Mah-iLj’côte d e Malabar.
O n le nômmq 3a?%xfôçanton coûruchi. M. Dussumier en
a aussi rap p o rté plusieurs individus des mêmes pa^g e s.
’ c j Sa J forme est en petit celle du meleagris, S§|èsÈ'-à-dire OVale,
,, - , comprimée, deuç fois.plus langue, Sou phamfrein
est uxl, peu cojgeave; son mus^u légèrement saillant ,l.etJsjj*hoUGbe
a quelque prpTràctüité. Ses dehteiWo'nt distinctëipent;Sf\0 ^Æ}iii-
cune en trois pointes. Il y*, a cinq |P§v|ï^ïà sa* membranenrati-
’ chiale. On compte. tdix?huit, et dans qj/êîqU’es'i n< 1 iwj 4S*
| vingt épines à sa’dorsale, èt ‘trfeize'iéson anale : la pKi^dr%#dix
| 'r‘ày@®S%us, et làiSeeOndé* netif •
" Ce^ grand nombre 'de ^rayons-épineux éfediï habiiati?dîxvd ^ p t^ ^ i
doude_pomaient le faire soupçonner, d’d ie un ppl^iuanilfrimais
sesMfeïfâf gosier n’ont rien, de e x to u r n é , e t 'inèm4Sp's^:aktlarvn-
giens.sont garnis.-en partie deIjdentsfpavJes|ëa^i^ e^ aTfe' le s^ fe e s:
, La membrane d e la dorsale forme'un- lobe derriè|^t|?bàqu,& .épine.
', Ôn po peut presque .distinguer sa ligne la t^ a lb s
, ,=. ^ .5 - D. 18/10; A. 13/9; Ç.;17; P. 18.;'y^^fcS,
'^ “Ses couleurs sdnt très-jolies,; un argenté bleuâtre en faitlë^jjnnd.
Chaque écaille a * un goint■ d’un bel jôrangé, pem&SMoribe |i ^ ^ g t
“©u-'.dix-bnit lignes de ces points lèjlong ,dé cbaquq côté duié!ôrps.
Les plus voisines djf dos ont leurs points bruns plutôt’qije jeunes.
Au imbeu dé la-longueur, et vers'le tiers supérieur dé la hauteur!,
est une grande' taéMe n'dire ë f rôi|de.‘ ;Lk^ôrgè' elu^doîtrine s p ii
teintés' 'dë-faune^La dorsale* â’ dés’ points' hrunsefttre' ées' rayons, *êt
l’anale’d^sïppinfô aUrorès.îGës derniers-'sont shr- un fÔSÈid déjà jaunâtre.
Les autres;na/geoires sont; grisés;ou; brunâtres.:'- .
Nos individus sont longs de trois pouces.