56 LIVRE CINQUIÈME. SGIÉX'OÏDES.
pas fait usage de celte figure.et ont donné le nom de
pira-coaba au polynème aussi un p iîa -
quiba (p: 180); mais c’est Téchénëis-:'
X ’O t o l it h 'e s I r i é , o u s G u a tu cu pa .
t - '!( Otolithus guatucupa, nobt?)^ -
Il était Jaiséf de voir que, le . guatucupa ~ dle.^M-alferave
(B ra s ., p* ij.77 )r.est un^tolithey- car;s-a,.,Jigurn en offre
toutes les'formes,, <les canines de la mâ^hoir^ supta’it’u^éj
la petite anale, etc. Margrave..Lc'ependant ne lu i^ ttrib u e
dans' le texte que d e petites derijè* ( dentes mimmo s ) \
mais notre to u -jp u fp e rd quelqu<‘l(fi^ km li e ta S t lij
même,'accident pouvait être^arriyé à l’individu d ^ ^ itlp ^ r
Margrav-^ Il me paraissait donc qii^ E y -pouvadïprap-
porter son;poisson au to u -ro u e t;tje v n é ta is retfenu que
par la forme différente de l a , caudale. .“Enfin venons
de,-recevoir le guatucupa lui-même de dloMévidéo
panM-^d’Orbigny.
C’est _un bel otolithe, qui a la tète^plüs alorigéc que le'jnm^rou ;
elle n’est que trois fois et demie d.i nsa^rajifirucu r iot.de. Sa ligne
du profil est plus;‘droite. Sa mâchoiréinférieure 'dépassé da||||tâ'ge
la supérieure. Ses dents du rang externe sept plus' fines ^ et plus
! nombreuses. Son aiguillon an&ft’est plus court- i l n ^ q u e ’Ie tiers-
du premier rayon xn'Où' Ses _eaniftesy:satfis 'être bien*
très - marquées. Sa ’kéèbnoe^dS^alet'surpasse -plu.' -là- pr émigré ’ en '
longueur, aussi,a-t-elle deux' rayons"d’&m^üfe^quê dans^^^^firoui
S Enfin,;ce qui.est le p l^ a p p a r en t, _sa caudal©- ésfr e&pÆei^i-r.rft-
,naent et non-rKomboïdale.' - ■
D. .10 — 1/187,A. t/8; C. 17; P. v
T ou r te poisson est argenté, teint vers le dos diuii'doré un peu
, verdâtre. Des. lignes brunâtres qui suivent- lé milieu des écaillés,