4 6 LIVRE CtN$5ïÊME.-
voulu retrouver dans le corb,,'il s’en faut de beaucoup fc
ainsi qu’on va Te'voir, que nos,recbferches nous aiembréon-
duits aùthéme résultat.- J
Les anciens parlent souvent d’un poisson qu’ils~âppe-
laient ?<op«jc<yor'et coracinus ? selondes uns, parêe^qu’il éfâït
00*11 ’comme un^orbeau l0jn d’autres^ parce
qu’il remuait -sans .cesse lesrÿeux («770 tS xoçccs^uvsTv * ).-■ O11
reconnaissait meme dgs-coraciiîs blanês^cèrnme de noirs;
Athénéef lès distingue y é t dit craMèrdestprem|||y éla-ient les
meilleurs-^- Cependant il paraît que la^jlù^ 1 pièffi-* raî-fori
était plus généralement ad^S’i^êp^Arist-ophane ,. fcllé^ê^r
Athénée, àppelle'le^bracin pêisshti auæ Jnàgeôires noires
( jji8Kc6vo7rliçt>y6v4)ff‘et c’èsl sans* douté ce ddrMqr trl^ f e int
à la ressemblante d u nom, qui a fait penser à Rondelét5
et à Bélon6 que ce poisson es t J nMr e* ubpZ». Mais il êtèn
faut de beaucoup qu^é^'Cèfobjtefèturesoitieonûrméët par
les autres passages’ 'où fl^Prtq)a.pl^mÉri ce ’ p t
bien à tort que que 1 qüqs^moderne%*ô’®p.^^Étsiflà lliisWîpe
du cotb lout ce (jne le s ’amci.erï&'.qnl 1 appontç drt^/iÿt'lr
de|faux sur leurs
Aristote d it du sien queî^pé-tî un petit poisson, et
lu n de ceux qui croissent le plus ^pidénîénJt7 ; qm‘flûtes
anhéesAèehes lui sqnjt plus ihy$piâb|ps, patce, qu’enviif eË
temps elles isont chaudes-®; quil vit . én'tre^fp^4ls qu’iteSe
cache l ’hivéë-, ainsi 'que Yhippurusi0eté qu’o n n’en prend
1. Oppien., Hal., 1.1.'r, v. £33. r .
2. AtWénëe/l.Vn, gi: 3f%.i- 3. WM 1:VIH, p. 356\ —4. Tb.,
de! et, 1 i-V£-pi“i 284----
- 6. Aquàt.-,- p. ïoS.-Maisil faut .remarquer qu?il a.-jïrâit. à *8,011, texte Une figure
très-différente, qui:s<wnble oé quelque spare.
T. Hist. an. j. 1. V,.c. 10. — 8. Ib ., 1. YIH, e. -ig. —■ 9. Ib ., 1> IX, c. 2. •
S'CIÉVO ï DES. 47
jamais dans'cette saison1; q u il est meilleur lorsqu’il est
plejnf qu’il porte long-temps-,,-,et pond ses oeufs l’un des
ddrûiprs et après legsurmulet^üt qu’il les dépose dans les
rfîçbérS cbîpprmi; gjies. ? /
Ceux d p d l.'A th& ^ s 1- V II, p. 3o8;} a compilé lespas-
M K f f i r le cCptcin, lui-donnent, lés uns, comme,Speu-
sippe&fj^^KIJsemblaricè àvë'c'lé mélanîire'j les autres,
commîej&imqniuSi, une couleur bigarrée^ou, compte Ë p i-
çha,rme, une ,cfo uleu%& %cijê ^ I l^ t ai t qteu., estimé. Amphis
papaît l^ua!e||cé deJlj^jucoup amdesjions dutglqucus pour.
|& g ,o u | (1. y I I | | | 6 p Iphjâqt en fair||^comme d’ùn
ma^yaj^'ggiÿpn, le, su j^ ,d |a n : I l ja u t être fp u
p o u r manger du co ^a ç in d e mèpîauand on) a un glaucus.
On le mëÿt^it au diminutif? aÿec les menidiëft., Jmsfi-k-
dire ^ ^ ^ i ;petits, ■ppÉsorist LYII éM p o b l On en'faisait
“(I^ ^M iso n s et du garum 4. On le iVepa^t‘en-,grand nom-
btffey et rem pm ^M ^ om m e 'ja f^ t popr la p eeh e^q s aplor
anthias-A. ~,„
- Tefe^elajent leSj cqraciùf U sin er ; ^Sn,peut;yoinaisément
qu’aupune ,de leursjmarqqp^|q^à|nvi^nt aq x p d â „ qui, est
4.S'% ^ a n d , qui ne vil point | 1 | tro u p e , -qui p^se^auvent
jusqu a ,sj|x-liyrp&q êt dont chair nje^,t rien moins que,
<Ie^^raçms;.daos les rivières/tcar Ëlien
les,ttqrnmc .parmi les pd^ions d u D a n u b e ^ e t d it qu’on
lë^ prenkit .contme |es ^autres, eUj faisant des^-trous dans la
H w Stra|)(pn les pptge pai^ii .peux du Nil®; mais ces
jcnracins du Nil étaientIbien différens æ je e u x de la mer
i. Hist. an:, 1. VUI,. C& \4j . P l i n ,^1. -IXe» 2.,!fô.1 1. vnr
p '^ i r ^%Ib-- -L GeaKlni’A J ^ ) SîVEken, 1. Xffl, cv tn[
— 6. Ibid.v,-\. XIYic. aj) — T.:lb.;$. __8. ‘ééttrn 1. Xyil.
m i ü M i , 1 h 3’