su d , car M. le duc de Rivoli l’a^Rlipportée du Brésil, et
no.us. yerçqns. bientôt qu elle* $p- porte .aussi plus au ,qjpd
et jusquà New-York, ou du moins "qu’il y en existe une
espèce ^très-voisine.
G’est- un poisson de forme'ovale et assez courte. Sa hiuteur wëgt
que trois fois dansfsa longueur; son-épaisseur fait-plus de moitié de
sa hauteur^ Sa nu (Jura, est bombée ; la longueur de sa-4.tê||,est trois
fois et t^ fié r s dans spfongueiir t&tsîfe; son chanfrein-estlar-ge, mais
un peu ponbave-; les écailles .y viennent- jusqugs entre les' yeûx ; la
jou é, le limbe du préôperculè i^ le s pièoes-.qpewsulaires en sObt
couvertes,_ mais il n’y-en appoint- su r le -bout,du museau nnsur les.
" jnàchoirés. Les orifices de la narine sont rappi
élevés que le liord supérieur de l'orbite, dont ils %'ejoignenxwm.S
fois moins que du-bout du-museau. Les dents sont en velours, "et
' ïib ÿ en a un -rang extérieur de plus fortès et plus^ét>ni(jkés; L angle
- ^de.'So4î ;préopercule èst arrondi : il a dix- ou douze* dentelures^ dont
les trois ou quatre mitoyennes sont &r.^-fortes et pok gpipn t/p^er
pour des épinesvLes dieux pointes‘gui terminent l’anale,d^M P#r-
cuîe ne s’aperçoivent gyéye q^’aveu,je 4L’os^[uescapu^air^ es|
petit, et a quelques fin’ês dentelures; il y en a aussi dix op- douze à
l’os htméral au-dessus' de la/pectorale.* La longueur n e fêgWrsÉe
^ l a « o it îu de celle du .çoips'; ïe's épifi^s^scmt' fortès, maislme-
£ diocrement élevées ;'-Sà partie molle occupe moins d;espkce'que“la
. partie 'ëpihéûse, mais sa pointe se prolongé jusqu’à répondre sur le
milieu de la caudale.:Il en estide inêmfe ded# partie mêlle- de l’anale.,
d#nt les épines aussi sont-fort.es et médiocrementÆongues.-Lesj|Sëc-
torales sont petites, oblongues. Les ventrales sortent sous leur base;
elles ont une forte épine, et leur partie molle se prolonge en pointe'
et dépasse les ’pééio’rales.
B. 6; D-12/15; A. 8/11 j C. 11; P. 11; V. 1/5.
. Les écaillés sont assez grandes : on en compte environ quarante-
cinq sur/une ligne longitudinale, et trente sür une verticale. Leur
i bord est très-finement cilié jiifc-'s’en étend de. petites sur lès ’bases
des nageoires v e r tig e s. La liigtfedfeée|léji est presque parallèle au
fdos devait &He^e^.%n^peu^plu^cbrfeexe : ell,e se parqu e
,par ujn tube .sinisé suxj< hyjur|'jjç^l(\ U
Dans leur J l i w " ^es pec,totales
punatrës-, lek nageôiref/v.'wtit'aîès n ( m ;Ytrc^ ^ ^ nôrd postérieur' ae
la àu d flfé^ lan i» 6 ® |fü ^ e ,,<surWîil'rm x^ ê tix , éyrénU^«Sui' l’uil‘
d|eu«Npt| voit encore ;k^/li^jue^é(ia’L'lle un^jj'etile fâche ronde et
,pafe, .cofume les mtKpiè'Bl^clf. ^ l i ^ p l^ ^ i ^ t f o j t b i e n dessinée,
mc^ y '^ùelqkes ba4d%S(npa!g|usés> enî/lpVg ,| è | 1^&ve|rs e|-|M(les
jébâSfêf; «et dèfine une l< mu x'ougT nfeiis 1 Ait’éiii ne nous
^ lit^ â ^ ite é 'tb 'jenluinjnpre-a/èt!;'.V;;he'S(li^Et^d^f^^>%Vim;-(''0mme il
ne lurieât arrivé que trop g(i^}êu^^^pf'èsf.déS(.iûdividu® desséchés.
’ ' Rl^è|y-'à|stMe' què’ tpi|p è'c é*frajtfi nitj de lit! d e Tno trh
que^sà^ ch^iips't' d td i^ .c‘t
là Xf ^ â v d e ' l i n dés1 meilleurs poiss'ous de ^prifiam.
M. Mk'eltilk'â'déYÿït (Z. G.j_ p- 4 i (’ pl. .'h,
fig. un ' pQîÉo^1 pâifàhêrnéntî4|d ^ 3 3 l^ le^âuT’ü ô t r ^ ^ / à
•êlllïf é ë B fM p a r1W fo rm P ë ra # d f é ^ l ^ ^ f vqtïf.é^tfMs-
ùfO;l)ablem;en|ft^êmre : il le u d ^ ^ e ^ J ' d îrigurus
(p e r ch f f i j i p p t r ip l é (jue n é ).
. Il en décrif la couleur au dos comme îimnoir ürant#u|J#r6uille ;
ri nuxVcotésE et^en dessous ie&tohîetfgrièkr^ >imm des.-:taches*,ja4na%res
-. ’et-riêirâirfes. Derrière lé sy êu x /su r lWb>peï©kfes,4e lon^dérkïlase
■< ’dei.la-âôï'sàl’êi, et aux environs* de la pectorale./.est uneVteintesjaune
, obs'ourë?Iliysâ aussi.une teinte jaunâtre dâns4é noiiètré d ^ n lg ^ h e s
. du À j - dfe' l’anus et du ventre. La pectorale, est-transparente et d’un
jaune pâle. -
K Cette, description nous parait/répondre entièrement au
pqisston que- nodk' à$<bés$&fns iësjyeux? et nous né doutons
presque po in t-q u e dëàbodian à triple*c/yeue ne^soit le
même f t e l’holocentrus surindmemis.
(, .; On ne l’apporte que rarement à-New-Yorkl M. Mitfchill
■ 3 i '