Les Tartares brachycéph., brunets.
Les Turcomans id. id.
Les Lazares id. id.
Les Afghans id. id.
Les Malais id. id.
Dans les îles de Les Malais brachycéph. brunets.
la Mer du Sud: Les Papous x) id. noirs.
Les Polynésiens id. brunets.
Les Alfourous,, dolichocéph. noirs, à
En Afrique: Tous les peuples indigènes sont dolichocéphales; la plupart sont noirâtres ou noirs;
seulement ceux de la race Atlantique, les Abyssins, les Nubiens, les Coptes,
les Kabyles et les Guanches (race éteinte des îles ' Canaries), ont une teinte
approchant plus ou moins de celle des Européens.
En Amérique: Toutes les races de ce continent peuvent être divisées en ces deux mêmes classes,
savoir en brachycéphales et dolichocéphales.
Les dolichocéphales sont dominants dans la partie orientale, savoir:
Les Esquimaux.
Tous les Américains rouges.
Les Caraïbes dans la Guyanne.
Les Guaraniens au Brésil et au Paraguay, et les petites tribus des Huanches,
originaires du Brésil.
Les brachycéphales sont prédominants dans la partie occidentale savoir: les Curiliens,
les Orégoniens, la plupart des Mexicains, lès Chincas au Pérou, les Araucaniens,
les Pampéens, les. Patagoniens et les Fiïégiens.
C’est entièrement fautif de déterminer les races d’après les grands territoires; ainsi les mots
Caucasique, Indo-Européen, Américain, Français, Anglais, Suisse, etc., ne sont pas naturels,
la population de ces pays étant formée par différentes races. L’opinion que les petites tribus
de différentes races, vivant depuis longtemps sur le même territoire, ou sur de petits territoires
voisins sont mixtes, est très souvent fautive. L’expérience montre, dans beaucoup de cas au moins,
que quoique le mélange ait existé, les traces originaires persistent depuis les temps presque préhistoriques;
ainsi on trouve encore, dans les provinces de la Suède, des traces de familles Jschou-
diques et Celtiques^ vivant dispersées parmi la population Gothique. Il est vraisemblable qu’une
grande partie de ces races ont un pouvoir bien persistant de se reproduire, de même que les traits
de plusieurs anciennes familles, malgré un mélange continuel. Pourtant, la polygamie et l’importation
de femmes des autres, pays, comme en Turquie, semble ne pas être sans influence dans les classes
où cela a lieu? Ainsi les Turcs des classes supérieures sont différents des Turcs de la Russie, etc.
XXI.
Ueber
die künstlich geformten Schädel der alten Welt.1)
Vortrag auf Veranlassung von des Herrn Akademikers Dr. Fitzinger Abhandlung ’’Ueber die Schädel der Avaren insbesondere
die seither in Oesterreich aufgefuridenen” (Denkschriften der kaiserl.' Akademie der Wissenschaften. V. Band. Wien 1853).
Bekanntlich wird in den meisten grösseren anatomischen Museen der Gipsabdruck eines .wahrscheinlich
künstlich auf eigentümliche Weise geformten Schädels aufbewahrt, dessen Original bei
Grafenegg in Oesterreich gefunden worden ist, und nach der Meinung seines Besitzers, des Grafen
Augu st von B r eu n er , einem Individuum der von der Mitte des sechsten bis zum Schlüsse des achten
Jahrhunderts in jeper Gegend wohnenden avarischen Hunnen angehört hat. Schon vor mehren
Jahren empfing auch das Museum des hiesigen Carolinischen Institutes ein solches Specimen in Gips
von dem um die anatomische Wissenschaft so hoch verdienten Professor J oseph H yrtl in Wien. Von
diesem Schädel theilte ich i. J. 1844 der königl. Akademie der Wissenschaften eine Beschreibung
mit.ä). Ich zeigte dabei, dass dieser wegen seiner Länge als ausgezeichnet betrachtete Schädel zwar
ausgezeichnet hoch, dagegen aber kurz oder von der brachycephalischen Form wäre, zu welcher auch
die Schädelform der Avaren, als^mit der der Finnen verwandt, gerechnet werden müsste. Diese
Ansicht fand damals wenig Beifall, weil kurz darauf der zufolge seiner Reisen und Forschungen in
Siiaamerika bekannte Dr. T schudi mit so vieler Sicherheit erklärt hatte, dass der in Rede stehende
Schädel peruvianischen Ursprungs wäre und nebst anderen Sammlungen von Naturalien aus Peru nach
Oesterreich gekommen sein möchte. T schu d i’s Ansicht gewann mehre A nhänger, und "die Frage über
die vorzeitliche Sitte in der alten Welt, den Kopf künstlich zu formen, blieb eine Zeit lang; unberücksichtigt.
Durch die vaüsgezeichnet gründliche Abhandlung des Dr. F itzinger ist es nun allem Zweifel * 4
11 Öfversigt af Kongl. Vetenskaps-Akademiens FörhandlingaF.1854 p. 73: Cranier a f Avarer och Hunnen
Archiv für Anatomie, Physiologie und wissenschaftliche Medicin, herausg. von Joh. Möller 1854 pag. 43.9. Aus d. Schwed.
von F. C. H. Creplin.
^ Proceedings of the Academy of Natural Sciences of “Philadelphia Vol. VII p. 405.
4 S. o. Abh. II.