C H AP. V iiMSsMD OKBORES; 1 4 5
1? ÇHÀPirJ $E VL
Des AspidopTiones, ^fihalaiigistes^ ou Agonus,
o u lf^ ç n t ' des ^(dptfes^^a ^orps anguleux et
cuirassé.
Plusieurs naturalistes ont eu-pÿèskjue en même têmpâ
P f d ^ ^ i ^ s ^ ^ e V d u grand g?erire ’d ^ l o t t e s quelques es-
pè'#éê^q'iàS^^^C‘ la plupart des Carâ^èlèjî 'del-' ddtüëS, notamment
ie u fM a § ? te îs i^ l! e ^ d ê ü r têt^ déprimée/; et' six
©fl®î|0s^ ont en&dI-e?>un||lwir a sseformëe par
plusieurs suitesi de. grandes .p iè ^ sti^ s’euses^, qui s’étendent
nuque jusqu’a u ‘b o u t de. leur queujgÿ et font
ainsbdedeur corps'une pyramide aldtfgée'-ài plusieurs pans,
ertisorte qu’à? eét ;égard |®<sont^nx lottes1 ce que les malar-
métsii o u “ péris tédionis Sjont^aux* tMgles. •
^îdlfestfcèttè subdftÿisipr^desl^o^és* qui a-'été dsignée^ën
1801, par B lo c h J ^ ^ .O d it. <^gchn*,.<p. r o 4 f ^ & H e
nom ëagonus; éu 1,802 et i8t&; .par M. de L & j l d e
(É- IH H B B e.l S i m tfaspidophore et Wdispi-
dophoroïde, $U qui est Jndiquéelsops celui de phalan-
gfi^eldans la’ ferogr^hïe^usse^de Pallas, ouvragé*imprimé
depuis 7 mais*-non enferre publié. Elle; se justifie dilatant
mieux, que les espacés qui*la composent manquent tofitêé
dg^âërrÉ ’d'# l’extrémité duvonier, qui se voient dans tous
les cot-^eé».' elles nont pas non plus de dents aux palatins.
- Nos- côtes dèJOGéan^en possèdent iirf<a espèce dont les
s i ||f |ï ||y â î e n t pas parlé, mais
qui a été asse£ bien 'décrite et représentée en 1624 par
4> 1 9