\ 7 Q I/rVRE QUATRIÈME. J O U E S ï R ASS-fr&S.
au bord de la têthet a s s e z p p i â è s ' du
'-«Jpiêipèésâ'^'é- bord postérieur rdMp#&peVculei-qui ,< dans, UUlpOis-
, son à tête-moins 'aplatie ,'-Seràit sOTî^o-fcd," montant, tastmêjuVer® _fûiste
par le bord po^^efôRWu a e e o n ^ ^ ^ ^ it a ir è , èt k'diga^qu ils'
forment tous -deux traverse la- partie latétêfï^dè-laf^eef.su’p'&ieure
presque perpendiculairement jusqu’au^'ligries* ômfcrè^es iempOraies.
'L’espace !eti‘avant_3e ce 'bord fait les d^usntiers td e-ia. 1q ngueu r de la
"l'opercule en faitïi^tri5iâ^a®^iïë^*l3éSfdeiûx>foçtes*épines
de ràiîglfefdu: pféçdpero'ni^s'diït'en mèmeffbitajis plaèéfeV-au bord
Ôlême d# ï«f4ê^toaMrëé«:^éjfe|ftï çïesi- ifhfeb'êûÊe. gui;es#ftaplus
langue.; mais pas de beaucoup. ‘ E le af'àî peu-près ledixièmeqâfvla
longueur totale' de'ia têtë>L’,op'e=r'cule ossettxse termine err arrière
par une épine plate, et il y en a une autre ata -dessus déS^pepto raies
> *qui appartient à l’os de l ’épaule.*-’''
La bouché est fendue hoYizontalemeirtimbout .du museabjusque
sous le bord 'aritérietafded’orbk ë|^
rable.'La mâchlïirëinférieure cfêpâssèdtautrè'd'e toute la-largeur de
ion bôrd.UEfiieî bandé’?ort'étfhite «de ’ dents en # 1ü>ufst] ® garnit ;
mais la taâcEbire’supéfieuré eli a^Une‘beauc'oupJplus-large surtout
au milieu,5îOÙ?fe Uioitaé'q« Apf®rtâènPàJchaque-iutêrnaaxfllaire se
dilate, -s’incline v#rs<fe-baS eV'prendîà.-son bord mlieïne quelques
dents plus fdftës" que les autres:' Àu^ôrd antérieukidu^Omet #{
tout le lohg! du bord externe de chaque palatin règpre’J une’seule
fengée-depetites dents pointutes, serrées etnombreuses. La langue,
qui est plate, mince jurès-libïe’,^large et;- obtuse,-nV'aUcfine dent.
La iheinbrane branchiostègé est' écfiancéée eh- désSous^iiioM peu
près les deux tiers’■'de%^ftÈBïû^fetd^^etfpasse «ouis-ïé pédicule de la
- poitrine : sept rayOrif-facdes ià- côtaipter sla soutiennent ide clique
cèté-Fet, arrivé -sous-' le bord ' du’préopercule ,-on --croit en trouver
un huitième, :qui n’est autre bko's&'q'ue KinteSopercute 'Gâché-'sous
le préopercule, comme le préopercule sous le grand-sous-orbitaire.
L’écartement singu|ier\des os du bassin maintient le devant« du
corps dàns un état à’aplatissement semblable à celui de la tête ; -ce à
quoi contribue encore la disposition écrasée des dÂqîe l’épaule et la
dépression horizontale du coips' du sternum-ou de Tos qüi soutient
CH A P. VII. PL A V YdÉP HALES. \ 7 \
le pédicule pectoral,- et qui d-drdinaira est îcomprimé verticalement.
La fenigueuds-totaie comprend quatre fois celle de la tête j six fois
la largeur, aux épaules, laquelle comprend,;trois fois la hauteur au
mêpaCe endroit. ?
Les pectorales sont petites-, et «ne font guère que le septièmç'de
fïalsMpgu’^ur. Elles.entldixi-nenf rayons :des deux premiers simples;
i^s saaivans. b.rancbù'siqusqu’aux cinq;- qU* six derniers., qui redé-
> viennent «^pen. près-simples et-utt.'peu »giÿjs. Les ventre!«® ion-t
écartées •dei’fo'Uïtq ladargeu® du%o&rps et attachées .à' sesibtuds - soâs
le -miliferafidesqjectorales'.s quart plus longues quelles pectorales,
teUe^ries dépassent des-deux tiers >de leur- propre longueur.
La premïèréîdoysalej commence„visr^-vis le milieu des -pectorales.
Elle a d’abord une >très-petite _épine,s,Ghurié: et détachée, avec sa
membrane -^particulière ; puis en viennent sept -lieès par une autre
membrane, et dont la prenaièra&esttde près du double plus haute
que le corps:: lès„sui vantes diminuent de façon que la dernière se
vebà»peine^cè qui èendçette nageoire triangulaire. L’espace qu’elle
-occupa' en longueur est du-sixième-dé la longueur t-otate Elle,est
c©mplétemerst-«âéipàr.ée de la seconde dorsale, qui est plus basse èt
plus longue, et qui# compte treize rayons, dont île premier est
simple et,®du^dcmg*que les survans, mais assez flexible, et même,
à iceàqu’il me semble, 'ddfeulétauhbout. L’espace que cette seconde
dorsale occuperen longueur est de près du tiers d u total. Entre elle et
«la cataddbéb.un espacé nu du-treizième. L’anale répond exactement
à-ieejte-' sëeoo^eïdwsde et a de .même treize râpons. Le corps va en
.s’ammeïssaMt et en s’arrondissant jusqu/p derrière ces deux nageoires,
,où|son diamètre vertical est cependant epeore-moindre qûe le transversal
et à peine du vingtième de la iongueur.totale : la caudale fait
le douzième de cette'longueur ; elle est-cohpée carrément et soutenue
par quinze payons.,. ; «
Le petites écailles, finement, et brièvement ciliées au bord, couvrent
tout l’intervalle; des- yeux, la- j ou)e ,:le icrâne, l'opercule et tout
le.qorps. Le bout?,du rtiuseajl, les mâchoires et la membrane bran-
iéhipstège .en; sont exempts.- Il Uy^én a poipt-^ir les, nageoires, si ce
n’est sur là- basé de la caudale et un peu entre! ses rayons. La ligne la