parce que l’intervalle de ses- yeux< n’ é^t'^p'ortit^^^foeaveV eé1 qyé^les
' épines du dessus-de *son- orbite ^fjpélles -du deSsês *dé' som^téâpe
sont effacées ou réduites à- de légères arêtes, savoir, une sur chàque
orbite,,.et deux, sur l’arrière du..crâne,,teraûa^fis «chacune«par une
petite, poipte; mais MC'épiues"defiOTi’opercule, .dfo^mp^operci^ç
ét :de la partie antéileiiré de son *sôuP^Wroaîre’,’ xfb&^rvemtiJfeur
forme accoutumée. i
D. ll/#fAf'3/T) t . 17; P ^ 5^ ^ 6% r rïp l'e^ S4 . i/8.
Dans son é}M*dessëché*c^ppiss^paraitd’un brun alïez uniforme^
. L a S ébàste VÂRrABÉ'Ê!'^
( Sebastes yimricLoilis v®ob. ) " -
Enfin, e’feèt encore- une sébaste du jptord de la mer tRa-
cifique que Paüas ^ a..]^mmée^Jperna p a r ia b ilis . et que
M. Tjifesius a\MÉ|j«rfcà plus en détail e>fcreprésentéel^pîus
le nom d'epinepkelüs :eiliatu$. 1
Sa tête est encore moins af'mê&tÿi’à M ^ é ^ oe p ï e p ^ rrfelui voit
pas même de crêtés sur lej^prâneet sur l’orbite *pt-gon >saûsr (ksbitîaâr e
n?a aucunes dents; le-pré&percule en a,cinq* cefuutessut ©fetüases.-? et
l’opencute deux pointues. On remarque à,peine les petits- aiguillons
d’au-dessus de ses narines. L’espèjce *$prattache pourtant s'énsIMe-
ment ù oe genre par la. barre que son sous-orbitaire enVoieià son
préoperetdey èt que L o i settCâu travers-de la peau,, ainsi queparUes?
neuf rayons simples de ses pectoralies^
Dr 13/15; A. 3/91 1 1 17 ;'P. 18„,K|%siré.ples,; Vv^ p \
Lindividii que nous décrivons' vient du cabinf t/- de
Pillas , à qui .il avait été eaygyé par Merk.
Dans son état see 3 paraît entièrement brun foncé ; mais, selon
ce grand naturaliste, la cobïeur dix frais varie suivant l’âge et le
i.'Zoogr. ross.j t. DI', p. a £ i, n.° tj%. — 2. Dans les Mémoires de Pétersbourg,
t. IY( pour îÈhi), p.'#74>-pl- m %• 1 â 6 .
.-^©exa; .souvent'il est brun tirant.au bleuâtre^ avec le Ventre blanc et
les nagjsqjres brun®»; lesifemêlles ont le ventre rougeâtre* M. Tüesius
:.de dit daak pourpaÊjrrpU’SfâjtE^buid’un argentéibrunâtre.
* Les plusigrandsp scions fiàllas",',n|@nt que deux pieds.
On  jm ie. cettek&péee dans^Wme l’étèndîie de mer qui
s ^ ’i^ê«t;:le Kamtchatka de l’Amérique,. Ôn e ^ p re n d surtout
beaucoup les lle^JdealieimefiL Les hafoitans d’LFna-
lasbka la'ajbommémt kakutshik'ou kathtschikug, et ceux de
lÜfcOTe d’Amérique;î'ÊoèktigTv.' J ‘
Pâllas4’âVaiï bleu ?sa%M^‘naldgié :di; îcë’poîfeori'avec le
/y é ^ cA ^ rp è ^ ^ ^A s c a n iu s ( fâ lfrâ , pl. /d)\-qui est notre
^ t‘êmTet^poet^Pe;*mais il étairblle^trop loin, en le? cdnsi-
l&eHtiqdè^pour respéêélfei]
M. Tîlesius.a tiré/:son nom d e ciliatus d’une disposition
d ’écailfés|7dûi nflft pa^ plus marquée' que dàns la plupart
decsM^difgén%i,^ 5i .
’ L a petïte' S ébaste. '
' '^JJSebastes minuf ust, jîpb,)
Tous ':1m naturaliste'ÿ.emplofes dans,-les dernières expéditions
fcj^ntifiqnes' o n t rappécté^soit des Moluques, soit
des ~Marian.es, soit dés îles d u la Société, une très-petite
sébaste,
d’un brun-rouge fbflcèmarbré de plus foncé encore, et dont les
' aiguillôns de la tète, surtout ceux du1 sous/^rbitâire, sont plus mar-
qné^'qiie dans les gfândés, et presque aussi sensibles que dans lea
scorpfeA'è^ proprement dite^f en séfte i^u’on la prendrait pour Une
ril^sfcor^êne,*lîH’on- n é remarquait les petites écailles qui garnissent sa
u 'lëte j usqu’au bou bdü mü^èau.
; La ligne làtéràle est toute rude.
. D. 1-2/1%;-etc.1 .’ '