.., Le pylore est étroit.
L’intestin gu i;en ,sac,trest d’u n . diaipèt|e.;,^jas,,gro§ ^ t , a deu£,
très-petites appendices tournées» v&r&ll’estQmac Sj feitu
n dôuble repli^res-pourt1, il' se-,p%t/e "droit à l’anus.. ^
Les parois, de l’estomac sont, assezjjpaisses et ,rtdjees .Iongitudi-
nalement à'l’ïn^rifeur. La veloidtéë^se détache faôire’mênt.
petite valvule au pylore. Les paroi’si de-lintéstin son! trèMuincês,’
La vëssie aérienne est unique, grande ; ovoide, êjft ôcèüpfei plus
, des -deux tiers de là longueur de-l'abdomen.: SgsypsHCqis-sont
minoes, , argentées. L n canal|aérien, .capillaire nj.ît ^u-ÿjprs sqpé--
rieur de sa faoCinférieure,> et->sj|myfëîÿersi le milieu, de Ijest.Qniac.,
La rate est rouge, triangulaire, à bords yn j e f e dgcoupes , et
un peu ‘ crèuséeén gouttiècé pour s’appuyer sur' hestorqac, q^i }a
couvre presque entièrement.
Les ovaires sont "grôs^ remplis*Woems plus g fo lcW 'd e laJFaine
'?,;ae pavpx. î v
'Les* reins sont reuçn^m uû1 fèd l lo b e , g m n ’TO^pey que la
moitié postérieure w l a longueur de îabdqmênîuTL y^a taré],petite
veS'sie ürinaire. -La:couleùr des-reins est'â’u^Loûgelffi^^paMïp« ■
i , .Le squelette-de.lJépinocher a^renteT'troi^yer^èjjEes,,Le paaer^ier
interépineux de l’anale; s’attache ,s,o^s;la ^mnzième. ^Il y sa ^ ^ c ^ S |
même sous la cuirasse, niais plhs fines que d’es> éh e \eu x Vu i (Lie,
on a déjà pu prendre* une idée assez juste de^ ^ ^ uréjdé jErtéte,
dés-opercules; eridê ïëpàule, pâr c ^ ^ e inhüs‘*â^dpiÿt!# t> déd’ixté-
rieur’de-'cds^partiêSr
Des Poissons étrangers vo}Sgn$. fles Epinoches à 'trois
'},-épines..
A cette histoire .de nos grandes épinoches-de France
nous devons ajouter;ce que nous savons remarqué sur des
épinoches plus ou moins semblables, qui nous Sont venuês
d’aùtres pàyÇ.’ 11 r'.. | p | % wf
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M. .pavigny en ; luipcu&pi un certain nombre dans les
Ruisseaux d f iiF'c^itâné/' qui'avisent ’toutes la queue nue r
mais ,u3jMS^$v#n6;t cru remarquer^ en* - outre des diffé-
re ^ e s ÆuiÉi ourraient bieq njejfafe-pas moins spécifiques
(^^géelle-^ aM ausTallons Jps.indiquer, poqr engager les
ômer^asfêürst de leur oqnstance.
Z/ËBIf[0|GHE A OPERCULE ..ARGENTÉ.
argjrropoTmiy,rfnoÈ:)J a
L’une^ d’elles, a, les. boucliers dorsaux plus grands et plus appa-
'*pÉS»£ifcef celle dé nos mviqqQ^les épines plus ctfmrte», plus grêles,
plus: ar<y |je |a et moins'dentelées. ..Son opercule est très-brillant, Ce
q u i:« u s $ su g g é ^ ^ îi'iç im . '
E?> Dj$2 —r»l/t2.^ A. 1/10 12 ; P. 9 J V. 1/1.
H i ü Ê p w o feu© ; a^ o u r t e s ; é p i n e s , r .
** Gaster&s^ius- Wâènÿbçntrits, nbB;).B$l
î l o f e m t r c ar.lès-épines.,.tant dqsç^ales.queventrsdes^pçës de «rois
fois, plus; G O ^ ||s ^ e ^ans.-hos^épinqches ^ommunes. La seconde
. et»,la troisième "dq d o s p ’oqt pas le cinquième de la hauteur du
-eoros à.cet/éndnm; le bquclier du ventre' ’est plus large et plus
* ' obtus que dans peUes-de ce pays-cï ,ïl ë t l>ês épinès ventrales n’ont
luèrè^'que lè tieits de sa longueur. Les mefébictnes de toutes les
j "ëpihés’ vont jùsqtfklë'ùr extrémité. Les .boucliers ou plaques du
’■'^dt^'sohüfbÿt petits. ■
■ ' D. ’2;M / i» ^ à . J/9'f ■ G. 12; P. 10; V. 1/1.
Il nous : est impossible de do;uter que ce ne soit une
e s p è c e - particulière, car nous en ayons un assez grand
nombré dfindividùs- ,toùs parfaitement semblables.