Sa tète ei{.imoins large; son museau plu§ mincie,' plus saillant;
son corps -plus alongé : les arêtes de-s©fr museau: et :dè solï'Brâne
sont plus proBoneée&; les cjêteskjleitôutes ses écailles, même du
cQipxnençement de ;ses rangées supérieures, ,sôntvaigjaês et terminées
en pointes crochues, : une emé deux pointes se montrent-au-
dessus de chaque or-hite: ses sous- orbitaires^ ses» prêopépcülès
sont striés enrayons, et f o n t a 'quêlqU'ès égards, ressembler sa tête
à celle d’un trigle. Je ne v o ^ point de ^MçÉ^lraâAinêiriaèïine 'braiï-
chiostège ; mais il y en a un grand nombre de longues et? sérFéès
sous les angles dè la bouche et; sOusde- museau qui fait une, plus
grande saillie en ayant.,de la, bouche. La poitrine ,ven .avant- des
ventrales, est garnie de plaques nombreuses, polygones r striées en
étoile, et non pas setdeqient de quatre formant un cSarré. La d e rnière
dorsale, enfin, a quatre rayons,de plus.
B. 6; D. 9—f Z i-X r » ■,,€.} 11; P.“ I l ; V. 1/2.
La teinte générale d e ce poisson est'un grisTjaunâtre pâle, plug
brun en dessus : des lignes "transversales brunâtres, ondulées, se
— montrent dans" les intervalles ts®s .écailles.
Sa longueur ordinaire est^dé' neuf à dix pouces.
Cette description est faite d’apres un individu dbsséeïié
du cabinet de Pallas,. dônt nou$. avons dû la commun
cationà M-Lichtenstein^ ellesaccorde’afec les-figurés que
M. Tilesius1 a publiées :et accompagnées^ dun extrait de
l’article de M. Pallas2 * |û r le rtrémç^ j|®sson, ainsi qu’avec
l’articlé lui-même, tel qu’on le trouve dans la Zoographie
ru sè ê JJp
Dans un autre extrait, tiré dès papiers derSteller4, iltgest
dit que les4fld|v4dus pris dans L’archipel .des. Kouriles ont
la tête plus déprimée, les orbites plus saillans, les sept pre-
1. Mémoires de ï’Ai&démie de Pétmbo'urgp’-tJ'TV (i<8i 1 ) , pl. 1 ,
p. 42à-. —r-8- 'ZoogK'rotïJj>,<i]ï&i)a—. 4. Mémoires de l’Académie de Pétersboïûrg,
t. I # i8 n ) ,p .> 4 2 5 .- ^
mièressécarlles: dsê^fhaque: coïté d u d o s.u io in s proéminentes.
Cq'ipbtateait bieï®|ètredàpund'espékë- encore plus semblable
à la ndtre-qïfè^feelle^^ie^M. Tilesius aJ dtessinéé:/ *
**' ii SKTâù no’rdy ell#é‘st Commune jjfijpi
to^K^e rîlef'd’tTnala&hka et sur,' lesJ$oTes du Kamcbatkà.
Lés J|u||ms,., de ainsi j qÛe les
auÆrês^s,pèc.qst;^dn f,ligitgq,,,,c’e^t,-à-dire, renard; les
habijansydâ^ÇS-AleutieiB^iies. 1’appelj.ep.t k'Qschadanguisch.
Oik trouver"îs;@ai#en^'Sùr »,rivage des individus morts, et
rej êéés p a r a f e fltÉ&M;
< ■.L f s t|%u£4§S|!.aspidé-p^resi li^do^ales-. r^p proqil'éesvont la
mâfcfeè%fe3éÈ!^é]âeure pbiS'MV-aarioéeVtque da» s u p é r ie u r e ; le u r
pbinsb sa illie e n t a v â * d e le u r b o u c h e e t
iï'è-1 p©¥’^ ^ ^ # é p i i i e ^ 4«t
Q il ç r îfcb ^ ïitm TrÜïis d s p I q ^ P ^
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Çdgotews'' dodecaedrus, T A ., Acad. âef PétërSb';,' Méut.fëtMV,
pl. -i?3 ; PhalhngiSlibs^ûriGat*us 9 t. I I I ,
-<M,qus’iiàV'€ï-ns-J â u ^ s p o u ^ ^ p ^ ® ^ e ^ 4 ’pvap%gé. d e _ p q u -
v oÜ fr é o u su lte r , norffseulemfe'Ut • lefe (d e s c r ip tio n s /d e Pallas
e$de>M-. T ifesMs1; mÉis>üto*indrvidu' d e 'l’a n im a l lu i-m êm e ,
q u i n o iïâ t ê d e r n ie r nA itû r a lisw ^ j
Il esy^plmt^qugé,,!imç.i^s}ren!£Léjy^^làînpqS^q,yiernpire egpèçe
ï , ( l j K m f Q ] ) f e , ÿ S p ' f n . e u v i ^ m e de sa longi^jir-
^ lpiaJetew^^t^]iÀ.qu^çtsfedeJs a |l|^ ^ [ç ,:a'U.çiême endrpit. Sa tête a
p\us du j sixième d^ la.^ggp^ur tqtale ; elle ■ est^ déprimée :
s;|jSa la r g e ^ j^ l’ar^èpe du crâne, est des trois quarts de sa longueur.
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