que comme pierre d’attente fparee que lions tm© pouvons
donner la description des épinesi de jleurs^têtes avec le
détail nécessaire pour les caractëriéew # ïê l?un ni l’autre
n’a de bande noire'Isur .sa jirèmièreldorsale.
Le premier (fig. i), nommé ^
Le P latycéphàle japonais
{Platycephalus ja p o r d c ü s ) ,,
a cette dorsale haute : On y remarque huit rayons. La ^seconde».assez
haute aussi,‘en â quatorze, a il si que l’anale; et le corps a six bandés
noirâtres sur u n fond brunâtre. L’anale est blanchâtre/la caudale a
des taches nmrâtrès; les l autres membranes ont de petites taches
brunes le long des rayons.
Le second (fig. 2), nommé
Le P lat$ géphalè CROComiç^^
| {Platycephalus, crpçodijus), .
ne montre que cinq rayons à sa première dbrsale , onze à la seconde
et à l’anale, et quatre bandes noirâtres sur un fond Briin r^ussâtre.
La tête, les parties claires du corps et les nageoires , !son|_' irrégulièrement
semées de taches nefrâàW, ëxcèpté l’anale, qui est blanchâtre.
Il ne serait pas impossible que l’on eut voulu représenter
notre platycephalus guttatus ; mais il faudrait
avouer alors que la figure serait bien mauvaise.
Nous terminerons lafséfie des platycépbales par quelques
espèces distinguées des précédentès par leur crê,te; sous-
orbitaire* qui est finement dentelée en sçier mais n’a point
d’épines.
La première sera