CH A P ITR E TY.
Des Dactyloptères et des Géphalacanthes.
DES D AC T Y L 0 P T È K É>S,
„ Vulgairement rougets-volans, .arondes ou hirondelles
de m é ^ 5
Ces poissons, sj célèbres parmiAes navigateurs, e t'd o n t
tan t de relations font l’histoire, ont été généralement placés
dans le genre des trigles-^mais ils en f i è r e n t beaucoup
plus que les trois sous-genres dont nous venons éllll parler
ne diffèrent entre eux-’-'cést meme à' péirîé^si lb b ^ ^ f ê r a it
leur trouver d’autre caractère'commué que -détendue du
casque qui garantit leur tête ; encore èe casque a^^:fl"ùne
to u t autre forme : il .est long etdarge, mais p lâ tket peu
élevé.’ Le museau-est court et sans proéminences.' 1 ans'oiis-
orbitaire hé couvre pas ttmte la joue / e# s’articule d’une
manière mobile avecde préopercule; en sorte que celui-ci
p eu t sécarfèt plus que dans les-trigl.es, et que le poisson
peu t profiter pour sa défense d’une énorme épihè5 qui. arme
l’angle inférieur de cet ' Osi L’opercule, ' au contraire, n’est,
paS ^épineux. Les'dents des dactyloptères. sont en petits
pavés c e t ils n’en ont qu’aux mâchoires seulement, et non
au vomer ni aux palatins. Leurs o uïes,«Couvrent p eu , et il
n!y a-que six rayons-dans Leur mêmbrane-Il n’y en a que
quatre mous dans les ventrales; circonstance très-rare parmi
les acanthoptérÿgiens. Les pectorales n’ont point de rayons
libres; mais elles se divisent profondément en deux parties,
mne^t-Méme*, de longueur-;rUf^fiéfctîeidÉïde peu de, rayons,
ettàuBe'pQSsÉéBieîu^e, presque-aussi;longue que le corps, et
d o n j f i d e * s ç dédoublent.; ce-qui*en porte le nombre
îàf près de *t®ente. Lors^de^cette 'p^tiê^sléljend, elle, devient,
aussi largpjque longue ,. e t; c’est»,|âh moyen de la grande
surface quelle présente, que letpqissori^pêut.s’élever dans
l’air e t , s’ÿ* soutenir quelqué^n^|ajn&.
vjjLes dactyloptères .sont fev4fes, partout d écailles. dures,
au milieu desquelles on jura it peine à discerner une ligne
latéràleJQuelques-uns dss premiers rayons de leur dorsale
antérieure)sfinit. libres ; la pp^érieure, ainsi q u e l’anale, en
r©hfe;rilb|ns;^iie dans ïo^riglgs.f
f e ^ S i;d if fé re n ^ considératiotis^bêus -déterminent à sépare,
Rdns'dactyl@pt4r^^^ des^âpjâ^. t r i ^ s d’une -maniéré plus
tranrpée^jloe nousj«ij’agOBS .disÿmgi^sueux-p^entre e,iix.
èjjîlè^nom^de-^ .dactyloptère leur. %;été ,vd o ^ ^ » a r M. de
L | p $ | p è d e lornposition.de,leurs ailés,'soutenues
par-une p âme,des ray o h efÿ aeu rs pèptorales,!'c est-
à-drre de leurs doigts.
^wous ëh; pOnnaiss ouf; d eux ( d ofil raine ,' qui habite
la M ^ fle rran é e u è p u îsp p n e - temps ;
l’autre^ n a tiy ed n L mpr, des distinguéeSu j burd’hui
pour la première fois',,,-pièiC que divêrS autlurs en
ai^pf parlé ; Dqais on l’ayajt toujours confondue avëc la
p^^MèfftèfV
rwous en rêj-élO^gtéols’^ que l’on aurait p u intjioduire
dan$! ce ^génre, .ét dopt l’unetfY, â- Ctivement déjà
placée. La prern'fèré j nommée p a r Wal-Baum trigla tenta-
bunda1, n’es't établie que sur uhé figure d é Klein*,'faite sur
h,'yfaibaitm, rensjH', t. III, p. 362, note/— 2. Miss. IV, pl, r4, %• i