d e s^ é c a ille s operculai,Éè§ e t d e c e lle s dp la ^ em p e ?;(j\»0n
p o u r r a it êtr e t e n t e * aO a r eg a ra e r c r a i in e u n è rvariét%-nÊkds
toutes lesMirêtes sont finement denlumrees, et hîenie eeW'ewf^l’ëmg^
( cule, .ce qui lui est particulier.jFfiesjépiqegpe sointpasmonfplM'.pSffl
‘ à-fait lés mêmes :a ly & <%**; petites j|||fit§y^t .tjfe chaque oe il, fô
, une sur le jqc^iÜL^Wj fiix ua.tx^ea.ûj;, .çellc^ydc, Kangle du préopercule est
langue, et en porte une seconde^ couyte^ sur la fu.se de 1 areie. En
qeàSôus ilvy en a feinq; mais il iPy en à ptoi’n tq y § |i|gmi|gée en
avant, ce qüi forme une dlfferehcVtrès-sensible. LadigneTperalerest
presque S}0si &mêuse qu’au scàtrër^ /
, i/iji^'cviSi.p. 2 4 ^ ,
^ Lës couleurs bout dû brun rougeâtre sur ' le * dbs|ldu blaïiê'âèus
le Ventre; il y* (a* quelques bandes nüMgeûses sur le 'corps jMteâ'ma-
gèoires ont des points noirâtres sur leurs ikyolns.
L e P latycéph&le a arêtes
. : (Platjcephalus serratus, noh.^d j
y IJn a u tr e p lS L tj^ p lia ïé y ê g a le in e n tir^ p i^ ^ jp a rK ^ I . R a y n
a u d d e la rad e d e T r iin q u em a lé , a , c om m e les>d<*ux p&tMj-
d e n s , les. a r ê te s d e s d iffé r en te s p i è é e s d u c r â n e fe tis e e lle sd u
sôïë-tjÊDitâire firiernehï; dentetéfetf e t sans a u cu n e s ép in e s.
S'a tête n’a que le quart de là longueur tdtalèf Les cmrt|ï.sur('i-
* ; lières sont-relevées, et rapÿrqcbiees de. façon qu’elles Jaissent^entre
elles un sillon qui n’a en largeur que lié quart du diamètrê^rans-
yerse de l’ôrMle. La crêté" principale diï dédsâfâËfe ^us-JôfbJÆàir^
qui cuirasse la joue, est très-reïèÿée et finement denteleè ; au-dessous
i l y en a itneautre mépris saillante et lisse. 'L’àiêtè^ê l ’opercule n’a
point de dentelures, et Cst tout-à-fait lis se ,L ’é.pine supérieure du
prédjpercule est Ta plus-forte^ elle est suivie d’une autre plus iÉ&iM e .
et sur le bord dé linteropercide *oh en voit deux plus petifëift-'il n’y
en a pas qui soit dirigée en avant, ou du moins « 1b est înèè-pétitb.
(0 ^s,d^tS)Spjàtitrèstfees-%R l%ne?]iatél‘aléïn?a point d’épines. Toutes
très-rudes à ^ u r (bord’
jj , Ut.-- .
Niii^elpoissiqfi idain.s;là liqueur paraît brun rougeâtre, avec six; ou
huil.bjai^j^brunes, irrégulières, descendant-du dps sur le ventre,
^^qui^stj blanc. X^s ^iag|^L£es jo ç .t mi^es ..tacfie^es. ^Ç,'points noirà-
* Très., Il y a sur lej haut de^ls doisaWunê tache'fioirâtrç, La caudal?
^g!jstHmsslil)oraee de noir Les ventrales sont bleuâtres et noirâtres en
L dessus fé v BlancMBS’^n'!Mepaus. '
"*• Notre individu es’|;’long de Sept polices.
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h î™piatfckp1iÜlu3 pfïspëef'ÿiiü'à.y
MM. Q q i^ e t'^X ja^ tu a rd la.NûWeUe,rÇ>tumée
un p la ty c ép lia le - tr.gsT v o isjr t, d-ju, ■pt’ddéd.^nt» .
». lij l Î^éplsîmêmes! ifprmes, les mêmes ^$tes oenteléesj mais; on lui
^ q iU u q g JpiiJç ajJ^deymtde l’oeil, etd’au^eaùférièuridél’iiuteroper-
„ ï.cql^^dprLnye'en^yant unepointe fort}aiguë. Il n’y a qu^ane seule crête
- sur le, soW-orbit.aire postêcieur , et l’arête de roperçulén’est pas toutr
« aÿPaitdiss&i mai w;eM jdm ô t avec le aoigt que par la vue que l’on
J péut apercevoir T'estimes .aspérités quelle porté.
r‘ JXa l’ïgp'e latérale est lisSe ; les'efeàilles du corps' sont âpres. La cou-
lèu^ é si iif in r t» !r§fi^eâtrë(ïé^aJèiùrait mârbéé sur le dos :1e vehtre
est blanc; le hautdè la dé¥lpe esV noirâtre; Le long de àhaqué rayon
il y a unejléri^.idetàuhesïblanches. La- caudale-est noirâtre ; les ven-
|j I traljésj bleuâtrëf.jj s®pt;trayersles-par des sgpjesgde points bruns, j (
-, SD. a?ÿ-pb>5 A. i/lRj-sg.H3vR. 21; V. l$.< a
j^’Xiës mëÆte s/,y o y a g eurs o n t pr is aux Célèbes u n e Variété
de ce tte èspueef,
- dont la couleur es«plus brune, et qui parait même avoir le* museau
•—u a -pèu plus pointu et lès dentelures des crêtes surcilières un peu
plus prononc^lè’s.