Ces trigles proprement dits ont lès joues à peu .près ver-
ticales ét? assez hautes pour rendre la coupe transvèïse de
leur tête-, à l’endroit des yeux -par exempte*,pkf peu près
carrée. Leur museau descend plus? ou moins* Obliquement;
leurs doigts libres, sous les pectoaiates$vs’ont toujours au
nombre de trois.;: ils ont des dents »eh velours taux deiix
mâchoires , sur une bande au-dêvaut du vomer et^lrx-
pharyngiens ** mais ils en manquent aux palatinseet snr la®*
langue. Leur ligne latérale 'est! droite , -et^e prold^jge’tou?*
jours sur la caudale, en s’y bifurquant. Ils vâriêntfeemtre eux
parTarmulê dè-cette ligne làtérai^jÉ#r celle des>S®d^**â1è?
leur sillon dorsal, par le plus ou menus de Mhgaeur ’dès'.
épines;deleur tête e td e leur épaule, ainsi que ipar^elle'dei
leuts pectorales, mais au milieu de toutes-Cès vaTiatiènS ils
conservent toujours un ait de laniille^qui-apor-Lé^dasiéW'Fs
auteurs Ile s _çonl on dre et à mêler diverse unMUdeu'FS<a'feài>?
tères et leurs déterminations, âpîhopnt que h ■ 11 r s\ iïTmVnffi*
est devenue .assez-.difïicilelà .établir.
ToUs* aces poissons ; quand on/les tire de Terril -; fouit»
entendre'un brüit/ou grognemerit’ plus ofe-moirif^ôrt^t;
« capable- de,vôlertiors de- Peau ; c’est pcterquUfeje l'â1%appd^!sini[iieiîicuiî/-o«^ei
« “Hé. La pfemuri dors.Tli a S(pt rivons l'pineux. d poiHtifsVSt'l^ctcSSiilii^âiusi
« que la seconde, dans un sillon osseux jWôfï&tî le long duîdâs p â t e u x suites
« d’écailles aiguës. L’anale, qui s’étend sous' l^'quëü’èÿ W'a'montré'quatoiîë 'raÿo'ns
« et la caudale autant ; les yen.tfales -en ont.sk>, comm'e'ta rb rd in a irè .^ ^ r
Gmelm'a fait de dette description iticônîpfète'ün extrait^lul^m^Êti'eicôfo’paratiyéi'
ment très-incomplet, où de plus il a’jmislau lieu de mâchoire supérieürè^hlj^en-kaak'],
■mâchoire inférieure. Lui Seul, a étéfeoùsùltë“et copie; ‘eu/est ainsi que l’on- a traîh'é
d’ouvrage en ouvrage, so>% un trigla hlata*;ïsoit-Wdactyloptire japonais3;îd»on‘tUa
mâchoire- inférieure serah^armée d!épîncs, etc.
i. Gmelin, Sjrst. Lmn-, p. t3ÆS,~* 2. Wa lbaum, flr te d i renovatus, t. II I,
w i t - i e Scfcn >P '*> Shaw, Genef. Zfôols, t IV , 2.’ partl,«p*» 6#4’>i= 3.' Lacepèd'e/t I I I ,
>¥• 33&, e t les divers dictionnaires d’histoire naturelle.
c*est «ce- qui leur a-»vuluteh fran5çai*s> tes noms de grondins,)
de gronumj ^êig&rnardsy de gourlim9yé'ous \esd[ueh leurs
diverses espèces sont connues. On donne »aussi, à Paris',
cèoune nous l’avons déjà remarqué, le.nom de-rouget à»
deux espèeésirotegesy et sep. divers ports ©n l’étend.à toutes
les^spèCes*de-1 cetteUcouleur. Oncles a enfin comparés.^
dés ïSoqs^ei^^iteuadaltvaluÿteS'. noms gadlines,g galii-i
nette#, 0
• la* grosseur de leur t^te» qiji en ^S& ^p ^ -
pelef quelques-uns l en Italie t capone. ’ A, Venise leur nom
géhériqué'-’ êst tmzolètto: : i 1
»Sais l’emploi-^S^OQs/différen-tes dénominations est. fort
irrégulier * e ffo rt -Vâriablq(y;seldBv les lieiix-,,*'et mêmedans:
chaque lieiWSefen lres&tejaaps et les personnes,-et il ««MMÉaS
pâis -faire- grande attention dans la déteEminatioimdes espèc
e^ .
■"‘à f ^ R r G f t ’è8 a*'CûhtPS^ÉftÊïjé:- JNous
placerons emtête .dm-gQnre deux espèiçesjpde nos-
meri-, doiïi le ’'oQsrj^est-.Gerélé^enr^Qt- ou en partie ^ d e
lignes résultant de la disposition de^^aijle^. o u ^ e ce que
lél>naturali'Stes;;mo‘m m e n ïfe ^ /n «m ^ .'é e ^ ic ^ /^ ë e ^ ?Us
Elles abondent.d’une.e-fed’auhre., en ^g tp n e s saisons,-et
ensemble, sur lestmî£fec0éàidfeParis,%ùJ.’une des deux, qui
a le museau plus alongéy- dés lignes transvers.ef.ss^r le ftanç
settlên&f&t'/et ’la ligne!latérale nom artné^ge-^uom-ihe plus
spécialement rongef, ,ou r o u g e t * c o m m u n ,Fautre^ qui
a-le i museau plus iGourt, là -ligne l-Méralé-.l^i^e^usev et/ des
cercles-tout* autour du^^oapsk,, est-, appelée, r&uget camavd.
Lès auteursr-qui ont parlé deux ospééc%les. ayant
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