262 fcI^‘Rivf!|U^TRIÈMB. JOUES CUIRASSÉES.
La éopfefuraie ce poisso® est^i».sLi;ùin^Qu^ ti^v^sé- w tr c ile -
mentpar des. lignes ;poses., disposées; par pâires;.©imqtd&'ées. paires
0eeBpent4®s»BSèai»;1d^S^^ftte(ai3®jfcfe;rB^ieaill;}%|(^ls».ïpife^ïfSair la
joué, donc- le» lignes se bifurquent quelquefois à leur partie infé-
rieure; une paire qui descend de la nuque sur l'opercule , jusqu’à
son to r J iMérieur ; ’dtiisc qui be terminent au haut dé: l’oiOTéEtsure
des ouïes-et sûr la base de la pectorale ; et quatorze qui entourent
le corps et te queue^ mais^ii Jsà quelques-yariétés à-cet é^ard, et il
y en a surtout beaucoup dans te largeur «des lignes? roses, -qui tantôt
sojot fort étroitess tantôt occupent presque» autant, d?espace^ù-b; le
fond. Il y a des individus oit l;entre|deiæxde chaque paasréest plus
clair que leurs intervalles; Le dessous du corps a le*fond r.©$e. Jllin1 y
à point de lignes sous la tête; mais à la,poitrine-l^s intervalles bruns
yienqent quelquefois s’unir, en fo rmant d es ares c om e \e s ena-d^uit1
Céfe lignes pt le bfr|k-rOug<| .qui les' siêpàfre\’ëtend>iint 'sur uàfunerri-
brahe^oiirtb qWi unit les bases d ^ é |^ t e f e ^ Ô î^ ^ |; 'n i^ ^ 'ï>ès¥é de
cé^é|Mîl|^dst j^uk^re, àTee des anneaitix bruns ; ce'^qiiî rapjpëile
touf-à-faitcéllBsi^^porcs-épîcs. Lés raywrfô'm*efâs'%trrtt a&ssu’jiîiünes',
et-rWlbngde chacun d ,ëu,x^0ndqùàtre.<#5ù c i r i p W n s ,
Les intervalles bruns du corps, ou-du moins^quelquês^oe^entre
euxffjlse prolôngènWiiîsâ'1 un peu sur M-Msê dé cette tjtertie' de la
nage'oîrer La" partie iMolïe de"l?aHalfe~ét là’5 Caufl&lé- m^ne
jaune&i,?semées-de :-gfos"points bruns, et les'intervallesrBruns sfe
prolongent égaljmîènt Vur te base dé te pr emie r^ îpai's sâ "partie
épifibSaie* est brune otï violette, a?éc qk'éfques- ^iMè#rdkdéb d’un
blanc de lait opaqtre^' La peCtomè*est g'risf ou Màs, le plus^oS.-
Vent avefc de grandes tâches nùâgéiïs’es hoi'râtres d'ans les intervalles
de ses rayons, et dfes tonneaux'blanchâtres suy Ils ràyôhsîeux-mêmes.
A sa base intérieure, lÿîifest dit même brun-rouge que fe ’Bc^rpsse
Voient quelques ÎSgbês irrégulières ' rosëS, et des gouttes?-plus ou
moins nombreuses die blanc de lait LTn‘e de ces* gddtlès \ plus grdsse
qu'é'fës autres, se fait remarquer dâns le Ü^ut de l’ai^sèlle^'ét la pectorale
né la couvre .point qüaUcf -eîîe *est rejjfôyée;']! y efi a aussi
cinq ou six fë lOHg dë la lign^tetéralè. La' f entra l’e“1êsFde ■ la même
couleur que la pectorale, c?fet-à^dke où v io l é e du ktesyàflb des
■ CHA¥. XI. PTÉROiS. ' . 265
* tâches nuageuses noirâtres-;enlre ses;rayons et sur sa lace interne,
, piàncipalemenîiV&S'lajbâse, j ù il yfadès gouttes d’un blanc opaque
tiionil)Temses. que^sirateâpelctprale^^dqnti quelques-unes se voient
- même àÀ|faee externe. -
Ces jgouttés blanches, plus -©ff-hioins larg’éWplus ou moins nombreuses
, 'selon%s inMvrqtis' rappellent celles de vaisselle pectorale
de‘s^ufel^tép Sètüfpëii'fe's proprement ‘dites, nômtaéùiÉnt de notre
- scèrp cen a ,buj%: '*']
? 'tqliestgrandsdarnbeàùx des sourcils sont bruns', variés ou piquetés
de blanc à,leur base; ceux des, jcôêés du mus^aù- ebjdfeda tête parti-
, pipent à la couleur d’e,s,parties voisinas.
( -(,GeŸptéroiis.a 1e^^e.ipèta£, noiE^vcom,pp|iêvde.deux lobes à peu près
't eptex-, La |^ ^ S®% lE ie l est longue èhétroite» k ,
L’pesophage est assez lon g , et il se dilate erfun estomac médiocre,
> àrr okaî^rr^ffiëfé ƒ La branche mpntauté, qufîapfe pyloreaVon extré-
' - '■ mltéfe mai s courte, il ékkjùms1, gros; médiocrement
‘longs, dont deïix'sont à-droite.
Liîitestin ftit deux replis avant dè se rendre à, l’anus; dans la
longueur des replis il prend un diâmètre beaucoup plus large.
La lÿessie ‘natatoire est, assez : grande, ovale, arrondie^ eu avant ;
/^ ^ p a r o ’te »sont fibreuses, très-solides., et brillent d’un bel éclsft
purgent. * .
Nous aÆW^ouyé^ôn estomac rempli de divers petits crustacés.
Son sjqiiemtte’ a neuf vertébrés àbd'ominàlés'^t quinze caudales.
J iEès 'trois deikiëèés'* abdôm^tâ’èf ont leurs apbphysfefe transverses
descendant obïiqbe‘i|tènt ; leâ aülrè^ n’èfi dût point. Les côtes sont
- assez* cPùrtes et Le| Ïntèiêpïn'eikx; d è 'la dorsale ont léùrs
---ar-ètes-antérieures-Ôï- postérieures larges et minces , sorte qu’ils
oonïposent tous ensemble une espece dé ^foison verticale. Les trois
: os inféxieurs du carpe sont plus longs que larges, et échanerés sur
■ Vies côtes:'Le b'àssin est rectangulaire, plein, médiocrement profond.
Sa tige osseuse est dirigée en avant.
* BièJjque loxt ne manque pas pie figures de e,e poisson,
je neii*connais de bonne que cille dè BÏ. Bennet, qui ne