qu’on ne doit point chercher Gér/wcern«ipàran. les triées ;
car', si l’on excepte ce* que' l'on a "conclu de cette fausse
leçon, je ne vois pas qu’aucun témoin*tfculaire ait observé
en eux la faculté Âé luire , si-ice n’est7, comme .dans , les
autres poissons, quand ils sé décomposent.
Un dernier caractère attribué au mihusjiéît lejdqanoir;
ët nigto térgere miivil/*et peut-être «e trait pourrait-il
faire1 porter lescbÉtjectures sur leperlon(trigla hirund&ïhty
dont le dos est brun, et auquel ses grandes pectorales ont
pù faire attribuer le p o u v o ir ^ s’élevcrVau-d^
Peut-être'àussi, et c’est malkefifeusenfent: a-fquof? aboutissent
à1 la fin toutes' ces .recherches, „ces, noms ont-ils3ëte
employés diversement;: èV-soôt-ils* quelquefois synonymes
les uns des “autres,^ ■
Il aurait‘ été facile i^ux anciens naturalistçsodîé. donher
dliis de certitude à’ c#tte nomenllMiiWpËàïdesi trigles ont
deux caractères'dos'-plus dis tin pt-iis'|; ' h ■ rnSP-Cùt e cuiiasVée",
large en dessus, dont le- front re t 1-esMSdtés deéefedîêat rapidement
et presque VerticapÊfent)||e qui leur do.tane’’ 'a'u
total une foraie^approchant d’un'cubeH0u~ d’un^paralléléA
pipède, et les rayons libres placés au-dessous- de,chacune
dé leurs^pectorales. Maïs cÿs'f,autètos’î dbhnaiént pehidfat1
tention aux détails dé structure : Ss'fs;emblèM%t avoir# cru
non-seulement-que leur langue' ne* mourrait ^0iht'|imaïs
que Ceux qui la parleraient s’entendaient toujbufs^sîÊtr lés
dénominations deS "êtres naturel^^ét qu’ri était inutile ;d î
fixët le Sèhs"' des noins par, desV'çàractèrçs'pïis dâfis^és
choses mêmes. C’est xettè erreur d e le tir jugement qui
inflige aujourd’hui tant dé torturés aui critiques curieux
J. Oyide, Halieut., y. 96.
de,ces sortes de questions, et si nous-mêmes nous en occupons
nos lecteurs, peut-être plus qu’il ne serait nécessaire
poür l’histoire naturelle proprement dite, c’est dans la vue
de leur faire sentir combien tout cet échafaudage métho-
diqueydes} naturalistes modernes a d’importance, et quel
servi|p$É|! inventeurs ont rendu, malgré.tout ce- qu’en ont
pu dire Buffon et ceux qui n’ont pas dédaigné de se faire
ses' éehfsdlA.
eovDfe îqj|S leà »poissonsv,àqbues-i'cuiTassée^tdes trigles sont
ë&ux-où^^p l fesfeMfmieux. Leur premier sous-orbitaire
est é^qrropî^i et la réouvre-entièrement, s’articulant d’une
'part aveëileîinuspauj et de l’autre tàyec le préopercule et
deux*sous-'orMtairésfâplus petits, placés- ü l’angle postérieur
l’orbite. ("Stôjns^artitculati®in ave'c le préopercule se fait
mêm^paa?:suturc immobile, en sorte que les sous-orbitaires
et le^jll'w^mcule ne', peuvent mouvoir. qu’ensemble.
Uansufeé^epnîes^ kij ets^éêprumier; sous-orbitaire se divise
lui-mênie^en deux p$ècj08^ une^pèitlr le inpseau, l’autre
pourd|i joue#s*i
Leur »muse^seffôrme aussi par la suture immobile des
frontaux antérieurs; cdqs nasaux, jde rrextrémité antérieure
deihethmoïdè«,£qui|^élargit en disque, et même»dans les
\q ordinaires de celle du vomer, qui se montre un peu
sousda^peaïii*tentre les nasaux. Au-devant de tout cet assem-
'bfâ.ge'1ééi pofté fenéore la partie antérieure du sous-orbitaire,
qüi sy produit en. proéminence plus ou moins saillante.
Leipxéopercule >est grand et plus ou moins élargi dans
le bas, mais Toperêule est médiocre ; le sous-opercule et
rinteropef culfe Sjont petits, minées et cachés dans la membrane
qui » b ordë l’opèreule.
Toutes, ces* pièces osseuses, ainsi que celles qui compo