1 4 4 |LIVRE QUATRIÈME. JiP lÉ ïM u lR AÉÉÈES*
Tusse cottus villesuSj et dont on ne rapporte, qu’une notion
incomplète laissée par Stellëf , o ù il en esfvparlé' en ees
termes': -1
Il a la taille, la;forme et'les dimensions du cottus quadricornis ,
et même ses: intestins ; mais il répand, une- odeng^désagçéable de
fumier: ses. différences consistent dans une peau molle, lâçpie, de
couleur de sablé', couverte de, t1Jlosi;ié s \$ ^ ^ L e îa lakeuë diun
veau. SujrVta ligne latérale lesVnlosités sont pïus -fortes et longues
d’une ligne sur deux tiers de ligné^de diamètre. Huitappendices
cutanées molles/longues .de trois lignes, divi^ées'jêu*dèuxnu trois
lanières,'adhèrent par intervalles égaux à JadinM-lidire TnP'rniire.
Son Ventre est blanchâtre, et^oû.’ dosTspïié êtjmmîîn^de uirun.
Il avait étf trouvé près du^oap Rronofc"ét de d^mb’éu-
chùre^de ptscha.'
Pallas se demande sîyoe n’est poidt^-^dirtaV grùïïnièns
ou n * re idtrdthùs grüriniens; e¥emVffeî n’est^peuuu‘ire
là |g£ q i ^ l ’od peut en dire de loffis VraisémHlflfrher^Wâ i s
alors comment ressenntila^ k tant au cottus quaclricornis?
et tçpmment un p q i^ à q ^ ^ Indesî'venm n tg r^ l, jusqu’au
Kamchatka IhM.- Tilesius prétend ra^c^r"trouvé u n à i^ h ,
mais U?avoir pu 'em faire qu’un dessin^trop imparfait pour
mériter d’être publie.: Il faut donc attendri, pour Èg*dl^fer,
que de nouveaux observateurs l’aient fait connaître plus
exactement.
W Ê Ê m k