dos, il est bien évident qu’il: »’a voulu gauler qm* de la
grande sébaste, du jNbrd|'appelée ;f>ar Linnæus />erca marina
, que nohusi déoriro®s, adleurs. De quatre pieds
qu’il lui; attribue y Bloch a fait deux.aùnes^ (e/Zen),;».
que l’aune, allemande n’a en général que deux pieds! Son
traducteur a, rais brasses pour., aunes,, et voilà comment
un poisson de quelques pouces est cru subitement jusqu’à
une. longueur de. dix pmdÉir--
:. f c f e l^ c â o ^ ÿ « j a n t jamais * étéitrailtée @3^È®n j|plu de
critique^- est pleine de .semblables bévuesv >
. Bloch s’qst-bien aperçu ensuite que ’ce marulk nfest
pas le chaboiss^u j U le dit formellement dans son .article
de la scorpènç truie $ maisjsa remarque u ’a.sêryi qu’à-transporter
.aussi à mette scorpène ce qu’il avait,dit:de la taille
du chaboisseau et .inéme.ù l’exagérer enoopé^iibomme nlpus
de verrons à l’article des,.scorp ènes-. ■
;r Oes chaboisseaux vivent très-longtemps hors ue l’eaupet
sont du nombre des poissons que l’on à nommés grogneurs,
çoqs-bruyans. ou, coqs-de-mer {knorr-hahn, seex-murnèf,
parce: qu’ils font entendre, un bruit quand on des prend ou
quon les presse dans la main, et meme, à.c,e que dit Klein,
parce qu’ils répètentjce, bruit à l’approche des tempêtes ;
mais cette dernière circonstance, rapportée d’après l’opinion
populaire des marins d e, Daritzig, est. fort ' contestée
par Bloch.. ,
D’après l’observation d’Edwards1, l’espèce commune
pond au,moisde Janvier, et adonne des oeufs rouges de la
grosseur d’un grain de navette.
1. Glanures, pl. 284-"
L e C H A B O ^ j S E A U B E ’M E R n C O M M U N .
||P |è ? ô i'iiis*sÇjlmjëls, Bl., pl. /fo.)
NduO T^crîfbns d ’a b q îd l ’|ÿ |) é ç e c om m u n e , c e lle d u c h a -
b Yjpjnpsi' ’ ’
•» §»• forme test -grand la même mie, celle du chabot de riviëçe$
uueigr^sse^te,* qu’il peut élangirfÈeafico up en écartant ses oper-
, cules e%,e^çei^flant sa membrane des ouïes,, çt u%çç>rps qui diminue
par v(^,gr|^ j;us<qua la caùdale.
hauteur, à la nuque', e s f cmq lè is dansj.sa longueur; la largeur
de<sa .tête à j|||t endroit^ lorsque les, branchies sont resserrées,
n^expëde.paS beaùfepnp cètte haut&n'r jÿa^is’fil petp? écarter ses opercules.
ei>sses>prê(|pereiiiles de manâ^raà donner à sa tête une largeur
presque,; dôiLble—dë .Fordinaire ^ et, alors il • rappelle beaucoup la
forme de 14 ba^d^ifeV^Sa^gueule 'est. fendue jusque squs l’oe i l , et
sa large ouverture s’agrandit .eg$oi|e. par la protractilité de lamâ-
r,fçl¥?ire siipirieure, <rô,alqrs dggas\e un ,peu. l’autre. Les»ÿeux sont
grands&un peu plu£ .rapprochés, du museau que de la nuque; leur
inter^allj.est»c^ijqa,yeoet n’ég,ale-pas leur diamètre. La tète, le corps
, et lëà-pagêoires s&t^^^as^mie peau molle' et lâche, au travers
dé. laquell^f^p'f|ute^ dès* aigmlfons^se font quelquefois jour. Àu-
...dfefant^P l’interyalle d'eS;orbites, sont d’abord deux très-petites
Opines verticale^, qui appartiennent chacune au nasal de son'opté,
g .S ^ l e boyd* supérieur (je,l’orbite,, en arrière, est un pptit tubercule
plus ou-moips pointu, d’où part une ligne légèrement saillante, qui
sépare (je chaque côté,le dessus dufcrâjue de la tempe, et.se termine
à. la^nj^qpe par un autre tubercule : l’intervalle de ces deux lignes
serait Sj peu près carré, s’il ne sè rétrécissait un peu. en arrière. Le
premier sousr orbitaire est sous l ’orbite, plusildng què large - le
1 secdid , encore,plus;,étrait, traverse obliquement le. haut é f l ’âr-
^ g ièr e d e là joue "pour aller joindre le préopeï-cule j mais ni l’un ni
l’autre ne se montrent au travers de Ja^peau par aucune épine ou
dyeqtelure, et on ne les, sent qu’au doigt : le bord montant du préo