ont parlé de la lyre- (Auffc) .l,;se bornent à lui atttibuçr^en
commun, avec ,1e chromis, d e e n t e n d r e un certain
bruit ou grognement, ce qpi peut se* dire de beaucoup “de
poisSQUS^:
Quant a'u coucou (kokkuI), Aristote2 n’en dit attire chpse,
singn que le bruit qu’il fait i£SSèmble.;à celui déJ’o$&eau
dti meme nom,.,et3 qu’il vit. à la fois dans la haute mer et
près des rivapfej mais ibym dès caractères plus-positifs dans
Numenius, citévpar Athéné^ qui lui* donne' r^ditH^te dé
muge^cQuleur en-effet trèsrïnarquée dans plusieurs trigles,
et^luns Mqrcellus SideteSj qui lui appliqueÉè^flé iïê£mo/Jiaç
( poils aigus), qù fpn»|ÿeut voir une allusion aux épines
dont lèîir té te. et une\pa>rtie de leur ^cofeps fsémt h é riss a i
Ce rapport même, établiselon Typhon*', éufre 1P o%écou
eTle mulle, peut être allégué1 en^preuve. Il fatft q-uibsMt
bien* naturel p u i s q u e le peuple de u ô stp u rs l’a ^fisi
comme celui de l’antiquité.,”-
Bcs motifs encore plus vraisemblableëifeut' fait;Jp‘éhser
quê ç’est dans; feigenip ‘de-rnos trigles queVi^j#'d6it{^l^P
cher l’hi rondelle de ineffdes- anciens ,ÿet peut4'êtrê aussi
leur milari.
Uhiromdelle surtout ,< dont J.e vb’l est repT^Venté comme
puissant4, ^qui ressemblait ah^coifëèis u t aux mnllésA^ët
quf .'était ariuée de lougues opines^pne «peut guère etfe que
le dactyloptèrë;(trigta valitans^%.%car l’e x a c t, auquel
on a aùssi voulu rapporter-ee-nom* n’a pas- d’ép in ^ , et
ressemble aux harengs beaucoup plus-qu’aux trigles oü aux:
1 . Aristote, Hist. anîm,, L IV, c. g^Ælien, ]. X ,j£ r i. — 2..Hist. arîimt., I. IV,
C- 9- — S, L. VIII,'8§p3l". — 4, Aristote, 1. IV/C./g. — 5. Speusippus, ap. Aihèn.,
1. VU, p. 32’4. — 6. Oppien, Hal., 1. H, .y.*45,ÿ. îmellë&
On doi^ croire plutôt que ’dèst le tkeutis d’Ælien
e t‘ d’Oppien,’édout l e ‘vol êt^it plus puissant encore que
- celui Adé rhirondelle, qui'volait en troupes et très-haut,
om m é t lr am p ia iu 1. lies Latins Qbt, traduit quelquefois
tsuôB par ïlolligOy, don t on fait liau jour d’hui le nom du
calmar/ eh-fiâme Vsemble en effet lolligo auprès
dësf Seiches ;t iipâiss’e’ni supposant quêTe .calmar S’élève pors
del lffeau^,- assurément il ne peut ;av,oir un vol semblable à
celui qu’on attribue au
rlLjépdbwer. ^IWl^-e^ P ^ -milans { milvus et mityagoy ne
soutlpa^'aSssÿ faciles à déterminer.
Le vol <§ëH’épëréie$f|êèt infëtïè;ig|’Aa|é:elui de l’hirondelle
et du teuthis ; il r|s'eMd«['êr®t1dion|V|è -milieu' entre un
vbl véritable ipf la naMffl0;il£3‘
L e . miJluHgo-airmoi^teb*un changement 0êv temps chaque
fois f<pi|pü leîVai'B 'ÿolant' au-dëMpBideT|èaü.4
Pourll'ê| le p^^igê;îq^iél^lsl'^ijéêîip^, dans Pline",
esfjîrsu^ëëprlifhle de -diyersj^^iisj^si>iivant qu’flh> le p on ctu e-
Datas lies,-préuàiè#!es ujiiti|@ps.d’absefl^ej,id’un' p o in t, faisais
r è|,afâN^‘é'ëï##ife§ô®^^fHim%'iderffiqffl.e ayeci le luce^na,
nomméï!dÿps|ia‘ périofe^jn^ànite,-, e t dont la langue serait
lummeuséAifgb. a peqasié depuis* qu’il faut r é d u ir a i la faculté
de?voler tomï c e -j^ u i® dit du q u § le lucçrna
é®tâa®.%utre animal5.' Il estjS<içroir^, ën*effet, qu’ibs’agit 'là
dë quel^pilf mollusque;«opT-gf ophytpf phpspl|©rique ,-,,et
1■ 'Q ^ r à e n „'Mal. . 1 a » . ,- l . I X y , c , 5g / — 2, P l in e ,,
1. VIII, c. 29. — 3. Optuè n Hali, y ? 43 5 ; Ælien, Hist. a n ,,\ . R /K w p » - *
4. IdeAïfS XXXH^Sa. '
5. Pline, 1. IX, c. 27. Au Heu de ^ hirundp)pprquam\simil/'*volucri,hirun*
dini ,v iitm, ^mfUW&subil in summa maria, piscis ex argumento appellatus lucerna,
i ïihgua ignêa ptr^ôs exs(?iiiî”{fa>Tqüillis ~riQ~çtibus rïluc'et y il faut écrire' ï"item milyus.
Subit' in ‘s'iimma' maria, piscis, etc.