C H A P IT R E X I.
■ De$-.P4éro$$r • - '
Ces rharmans poissons * que Ton a rangés1'tan tô t parmi
les ^mocAe^j, tantôt parmi les: co ïte r, ~e^qiîe’ l’on ârâttssi
appelés scorpènes volantes frie- sôn&;**à” proprement parler,
ni^dès p o fles, ni dus epinoches, ni dés^^flipmifes, mais
doivent; faire un "petit gé’hrè près' d e ^ |^ dernierés.
Ils onp,j^meffët la têïe c ^ ^ r im é l ^ . épineuse lambéa^
x Charnus ,1e corps écailleux, lés ray dns simple^ aux
péotorales des scorpènes, mais ils manquent de dents aux
p a l a t i n s nUt f ; conservent^comme lés^®#fet*e&£ qu’au -
dev^nt d u ^ té in ^ fV t d’aifiêtrrs la longue nr,-re&c>Sbi.vè de
leurs ydolËdesrct de leurs 'rl^misf’ pecloiaux*les
distinguerait à elle ^eufe^de téus^s^pôiWèâis, connus.
_Les Indes, nous en en v o ie^C d e® ^ 1()ng-temps deux
espèces! principales, de couleurs aussida elles qu’ag^ablc-
menfedistribuées {feorpoena volityms, Gm., &Wscappêena
antennata, Bl.J) ^ e t i nou4; en avions ajouté quelques-unes
rapp ôf^éês‘dés ménæs paragêsffjar les nouveaux-voyageurs.
h ç . vP t M oï‘s v o j c t i g æ Ü n t .
(iPterois 'volitahsy nob^'iScorpfiena'voUùanS} Gm. ),,
L a premièrey q u i pafait aussi »devenir la p lu s graimlg^ a
été d’aborçl observée dans les Mohiqués.,, ét surtouUà Am-
boine ; jnais elle n est pas-miuyà l’Isle-de^Lrance- et.kd’île
de Bourbon.Tïo’u s l avdn^te'èqe récemment de Pondichéry;
M. Bennet l’a dessinée a Ceilan; enfin, M. Geoffroy l’a- rappoitéefde
la mer B@ù|é. Elle à'-:anssi; été - trouvée à Mahé,
datïs' lèfe^éçh’eîles eWhous nous sotùmeS' assurés par Une
lêcturë' âftéïïtrve qüe1 l’article oe ’Commerson, sur lequel
BL.fteljdcAiéiIe^H établi sbn^éspèçe de la scorpène m a h é \
n’a rappqrt qu’à l’espèce qctqgîle, en sorte qu’on d oit rayer
la scarpbnjê. mahé du tableau du genre. Elle, habite toute
Iétendu© defelarner des IndeSvï
M.-de Laeépède en p arte coanme îsiqelle se1 trouvait aqssi
ÖU Japón*3!; niais je' hédsâi&suT qtfel téinoignagC*Nelie n ’est
p bS ïî^ iy ^ éih fan s' Y ouvrage ' j ap oüais qhAüous'avons cité
quAîqdfff)fs? _ ? ** tv ° ' ' 1 é', ' «
, m e u h o f3, gPBlôcIi d’apres d u i. ^mV.rljt. que c était un
ppigson d’,eau d%u^|L^t il e^pjp^-g^rai- q u ’il entre daps les
maraisiv#i§ini‘ddhWïP‘<ir■> jet?,que.l’on en.,élève mêp,f à
Bjatav'ïai .dàns des;bassins; mais il ha-bite anssi l’eau s^lée,
et*Mî Leschepault, dans, Ses notes; nj0.ti|i| d it expressément
qtéôn le pêche dans la raâe dé Pondichéry.1 n
Sep çprps p.à.peaprès b Ad^'.perphe. La ligne
du d4 § esLplus tçônvexé que celle qlu ventre La hauteur ai^x peetomes
est du quartdleJa longueur.totale, et 1’ëpaisseur de,moitié de
la Imuîeiuf. têtqp;.up<pgp, plus, dopquart dq la longueur totale.
^ Spn profil d&ïpeçd* p^licptçment £j, e,stj un, peu poneaye entre les
yeux, cjui spnt, grands,,et dont l’orhqe^e, relèye.^.a deux petites
‘ pp^qtes. jLa Ipuche. ^st fendùe |iu bout rouseau et, ipédiocre. La
mâchoire inférieure avance un peu plus dans l’état de repos; mais
l^supéxieure èst^ssez protracdbyppur lar dépasser, un peu, j, efie a
entre deuXj interniaxillarBiçs upç .naarqiiée. Des dents
en vél'ùurs rag.,qpipent uate hande, étroite aj.tçhaque,mâchoire, et
un petit chevron en avant dp^vpmçr. Les palatins^ n’en, ont pas ,
non plus que la langue, qui est petite et peu libre. Les dejxx ouver-
't. flBé^ède> t. — 2 / Ibid.', ÿP3^?^— W Willagbby, App% p. ».