totale M H l formeSojfKmr aM.siîidài'e monstyueusesy
« t dé?s,~'Éâyons libres- son®'*teupë'cfOirales.,-, ôomîmeSièj^^n a
dans .lêS- :tri|pl®§pf is
Mais le genre^qui s’4oigne;surtcwit des>=se«pènesbien
quW^j^iÿrfc lnhg-t'emps^Réuni, G’esfMcékii des^^synafué'ées,
«?én ' moK^'bideux que ëg a l^ en ^ fep ^ ia àlé
d ecajüses , don-t aucun rayon peëtd'rkl n ’e^$impl^$et qui
Sltrtout demt®;«ak^yoraeF^'a5(ÀiÆien qu’lhx
pa^tias'5 énfeëpMe fquè^s^tpalais cehtréîiiïfeffe --lis® cotiÉrriè
d afiS7 lesj SÆiÉ-afe et dans' le§àsjpa<neku:<
Deuf^efire®- n.Quvmuxëviën%eïj$^ ëncfre tfefâ placer .à la
suite ^ ^ to u s Igs^éQaemBrembnsïjdesM^Tp'èùes Æ)sèe «ont
les zigriope's 'ç t les lépisàeaütfÊÊ0fà
L(*s [Jiemiorv ont la longue dorsales,-portéêvténuf5;}^antfe,
dés» Cæ'n*ianôtêis y mais leur ‘ r^usetu «saillait ^^étr^it ! est
'presque d'épourMia? $4e derïïfê&^lfeà^a.ütr^', S’ont^.wgul-iere-
ment euiràssees^pai.'/d^^éGailles^ép^sses®%i®ÉmiîÉes<|pÉd*’une
structure touté^partreulîèreA" « >
Uoj^eô^rfië-^st bien plüFsingulier elêëèEe^ai-àë* d^nzainè
de b auclierS\c®niqu‘es lîëëissent son corp-s, efâs^iprésà»terùt
en queltjfoê^sorte comm^d&simqntagiaes' sur/ un glo be.
Peiif-êtEl^fë^se d outé'-t-drr» p.oint q% e^le^épi'n&ehes^ sens
jolis poissons,Communs danss-tous nfs^ruis&eau'x,-.appartiennent
à Sëdttfec famille ^ doift -les Autres' genlrest^snt^dfes
foâ^esî-si bizarres*j^anais^rien n^est -plus vrai.ÆeimjicSateiSèst
âussi!>Guirasséë,', jj et tout leur:ensem-Me* en fait une sorÆe^d^e
lieu eotre;|:ë^jèëdrf)èrïes’, les'aspïdophoÉgs^êt la» grande|,.fa-
millê des, sçombéroïdes.
'Nous joignons icLfe tableau’deltous ces genres, disposés
dans un ordre synoptique ,, et de manière ,à en faciliter
A.C A N T H O P T É R Y G Ï E N S A JO U E C U I R A S S É E . 5
rëMd^l^êmme n©u"s layons fait pour la famille des per-
!(>ôi#és, mai^'nnf^^q^anfla même observation : c’est que
c tf n f lB f t d'ansîGes-sbrtes de tables qu’il fàùt chercher les
yéritablesiraSpparts delegs, animaux,,et^que l’on ne peut en
p r e h ^ ^ u n e S ütoifeanù'e1 cnmpïète* que par les détails
ex<t^iears ^,ih^j,eüm«ç o n te nus dans leurs descriptions.
POISSONS OSSEUX.
sous-orbitaires recouvrant une portion plus ou moins grande
; s’ar-ticulaût ^ ^© le préojp.er
' ^Sansrayons epinéux libres en avant de la dorsale.
A deux doicsàlës.'
I? ^ ;; A tê te parallé lépipède , >
J-1 ?• ^ S K S B I^p e ç td pd ê i H
"’dn^fefoiutf&flx mâchoires ét au-devant du vomer.
. PltiÔKOTESt ^Çorpa^d^ dents' eu velours aux mâchoires, au-devant du vomer
H H u n e ; grand e nageoire 9
Dactyloptères. Tête plate, grenue; une, très-longue épine au bas du préopercule.
.a.,Z|Point fie r av^'af s ép a res; ^ u.s?,l^iàe c tor a les.
, CÈPHALAÇANTHES. Mêmes; formes de.iête gp,’au^dàctyldptèrés/
~ A t'êtè^rqrtdë-
BD .T'éntral^lr^Mm^î^p^S^r
a^^mà‘cbdjffies\^t au-devant- du vomer; corps ^aps écailles,
t- IgEikTRlFrÈKES. ©^ts'en vnloûrs aux mâchoires, àù vomer et aux palatins;cqrps garni
• ■ det lambeaux cutanés ^premi.èrq.d'bfsâle. profondément échancrée.
- Bembra's. - D en||'énj velb^^MX ;mâbHë|K^^^nf^-'et aux palàtins ; tête peu. déprimée; 11 ■ i *
•t A sPÇdoiphore^ ^ ^ de dents au ^al^M^^jrps j cuirassé.
Yen traies en^a%ri:ë^ê:^^^q>'ënto.r^^ •;•>,
* Tête très-déprimée, épineuse ; corps, écailleux, des dents aiguës aüx
A ùnè seule'dorsale.
• A t ê t e comprimée. ■
- Des, dents en Velours'*’ au^i^aclxpiVes j tau vanner .et aux palatins! *
Hémil^Pidotes. Six rayons aux ouïes; corps écailleux sur quelques bandés longitudi-
••., wBjBWB] B^MHB
Blepsias. ;G^q^i'yp5is àux ouïes ; dors^ejtrilobée; corps nu ; avec des lambeaux cutanés.
Apis tes. Six rayons aux ouïes; une épine au sous-orbitaire, qui peut se redresser.