2 9 2 LIY R Evff'TU.T RIÈM E., -JO U E S £§@1 R A-S^ÉE S .-I~
Ce p oisson 'avaii> éfeéfeenvoyé^à Bloch de Tramquebar,
et n’é$âkdOng q w de**cpiatre, procès.':--
j L 'A p i ^ ^ p È S I&R4ÉMJES. ,
> :\idpis£usl Isfoelitarum,. E h r en b A q*
M. Ehrepberg la' mfer Rouge un ajusté
; a ^ ^ irn tu li^m e n t^ ÈTcelui de T^trssel:,“
qui adës,,mêmes ;£'arbiIlon&, K m eme'épjne '^jj^uWôrtu^ahe.,yle
même r^yooeijibre squ$ laÿ^ptôEale, la, mêx^e ttacfc*Mi|e à lajcfor-
s% 5 et où seulement o n n ë ,yqiÿpasg l a n d e s r^omls sur la'Âprsdè
molle, n i§ u f l’amfte.Aespectoraltes-'pafaissènt moins'longues^ e|,sa
dorsale un peu-plus basse.
, B. A. S/ï ; €£ . . ; P. lb , et 1 lib r e ;T . 1/5- +
^ “Ce petit poisson a*l* d&s * ropssâire gms -dotés et,, le^aiMfù&du
corps blanchâtres ; la dorsale ‘épibëûsùj variée de brun et^efblanc,
avec “une grande taclfe^Sîôire. ^Lu dixième^ au cfnîjieipe^ra^,©>n; la
pectôrale 'iioirâtré antérieurement, et“ j^ S t iîe bôxâ'ee*Me bleu a sa,
~'%ei interne; lé reste dé 'ses nagê^rés^ést blanchâtre.
Sâ l'OHgueur est de qUatife poucesl
Cet apëteLyjple ^omme le s^ lc ty lp ^ e te s et .lè's prio-
n,ote&. ,M-. • Ehrenberg l’a observe p p s de Tûr^-çt. chaque
fois tjtfe ta mer était, Sgfçélpil lui, en. tombait- quelques-
uns î dans 4 a ^nacelle. Comme tp lsr’ le seüb pVision ,yolànt
de la mer Réu|e’>,et qü’il1 e ^M r tm it^ ^& d a n t sur la
côte du désert où les Israélfires ïèy’èrent pendant sï longtemps,
iLest ^phu,1if L’icféé’ ' rd^cè!^Yânt|^o^â^u4 q u ë ; fcfp
pourrait bien êtfé^de lui quil .faudrait entendre ^c,e que
l’Exode1 rtobnte des cailles qïïi~"servirent à une certaine
époque de nourriture-à *eê“peuple'. Les interprétés- au-
J. M m m H w
■ CH1'P-.,3&HI. -JÜPISTES» 2 9 3
ront traduit^p'aT^^aèlfèi un oeiwhébreu qui avait primiti-
veuuSt, u n f ^ ^W u t différent.
'L è s f i^ ^ ^ P ^ nomment gherad? el bahr%ce qui signifie
sauterelle; d e mer.* ’
Apisl qs" ijfà illeuæ sans rayons libres.
L ’’h v f ^ i S %È É r£ RA L.
, ï(yèpfc£us àustrulis, nob. ; Cottus -aüstralis, J. W h.)
A la suite de ç t S l o n g u e s pectorales et à
rayais lib ^ s“ viendra un [Kjp\o.u-,du port Jaçkjîpp^ qui a
pour -çasafe^è^e particülierJa nudité de la partie antérieure
^ supéil||ù'e 'Aéj^fnMos^ q^ieS failles manquent comme
à sa' tê te, tandis que te ïeste' 4efsoù coups en a,de petites,
âprê_4 rs4mblablfeWâ peu prlÉ à celles de notre scorpoena
porcùsy ’ '
Sà ’4àutfùr fairun peu plu s du quart de sa longueur; et son
épaisseur jffimlfiî de sa hauteur. La longueur de sa tête ‘égale pres-
-^ S e< lX haiïïeù'raje éon'corps? Ses?mâchoires“ sont à peu près égales.
Ù f à- dne''êpîn1^ riasàl, “trois petites sur chaque orbite ,
‘ une petite ,>prêcrédéë d’une âéëtri, sur'chaque côté du craney une
sur ■lalfempa, ipue a ]£os surscapulaire, deux à | l operculé, toutes
petites ^ët ^luloi pes terminaisons 'd’àrêtes cfue des épines vérita-
? dfpj|;'mais l’épine postérieure’de sSnyèus-orbitaire antérieur est une
' longue eMdttë pointe ,'tpes-aigùë,’ qui s e ’prôlonge sous l’oeil jus-
qu’aùjhof’d duvpréopercule, et;que,1e poisson peut écarter a'volonté.
La première du préopercule, est presque aussi^grariaé,- et"se prolonge
jusqu’au Bcbd der- l’opeicule : elle est suivie de quatre autres, de
plus en plus- petites. Du rîeste, les.formes de ce' poisson ressemblent
à celles des.scorpènes, sfcce n’est quuses pectorales sont plus
étroites et n’ont que treize rayons, to.us rameux. Je ne lui trouve