sans difficulté, sauf les variations des raifes^noires de la
queue, fada figure du platycephalus spatula de Bloch
(pi. 424) et à' celle de Yirrwa de Russel (fig: 4^); , -
Que l’on réduise les prétendues jéchancriires^ des" âfeins
de Commëispn à des taches", etrîon verra que_ càsjtengpré
cette même espèce joh le c|essinateur.va négligé l^^détails
des lignes saillantes de la tête, parce que .dan^Iê frais
elles paraissent moins: or, quelque illusion?qu’aient pu
produire les faux traits.de r«artiste,^£btes*t:certam, qîW la
seule inscription de Commerson,-que ces-taches noirés,'ùe,
sont que des tachè^j car il y" désigne le poîsèon par%ès
m # : GoTTtrs spinis in capite quatuor lateralibusWçtro-'
versis, càuda variegata." -
Et de plus, Commerson a laissé une ,description étendue
,qlpnt il ne paraît pas que M. de Lacépède .iàit ÆU
connaissante;', où il dit de la queue : Caudoe nigro, albo,
luteOj elegantèr picta. Plus bas-ibajoute : Perpendicula-
ris indivisa, in extremo subrotundajee ^ui décidetOuf.
Noùs’ avons enfin un’ individu des Moluqùesy ofiwes
taches noires sont si parfaitement semblables 'au dessin de:
Commerson, que l’on dirait qu’il Iui a‘ servi ^original.
La dèsqription de ce voyageur est (pilleurs
la nôtre, excepté qu’elle semble .indiquer une plus grande
concavité entre les yeux 5 mais si c’est là un-.-Ga^ctère-sipé^
cifique, toujours faudra-fe-il conclure; que le-cotte madé-
casse est aussi voisin qu’il soit possible* d&sYinsidiateur.
Commerson ajoute à ce que nous avons dit, que l ’iris de
son cette est de couleur d’émeraude;
Le peu que Forskal (p. 25.) dit de son rogad^d&ccorde
encore parfaitement avec notre description, sauf l’erreur
déjà expliquée du huitième rayon branchial. J£oici comquââ'e
: Pinna caudalis, alba macula
media d>tfiâh‘, maculis\jn,e duübus inoequalibus
atris, linearibus obliquis. Il fitortflroiàarquer. qu’en "Ch^
piànt|^^^pp^cl%, Gmelin a-mis spour^j^^pondiS' dorsale
4QjlI3iaij!Ml|i^<jjc 0 P°ùrrab m m m erreur.
. ,T ika f f S tfaMffte;idofilldm moins {dejafiar^la mer Rouge
et jpsque^ii^v^ayant dans le golfe
du B(en^^i,ét jusqu’aux
« ' Selon«M^]âf^èhénault , les5 p éditeurs de Pondichéry la
n ommen.tr, $è$ôndou p a ti, eÙ§g|'en ne ntsùW(i ùt‘ à l’emboucfidié‘
d’eîila fivfërè d’Arian co ûp'Êfifg:ïéeux'dëi'Commèr-
souvlnaîént d’endroits peuipipdpnds,yodsins du fort Dau-
M. Ehrenberg a entendu|g|ÿnÆ>ncer à Massuah ragadaïy
au lipu de T?ègad-, ■
Forskalifest' jusqu’à présent lu seul cài àit observé l’habitude
de^èU poisson, 4dà^rês" laquelle on lui a donné
répit^ P j f t ’thiidngtenr, et qui-consiste,^^msê^;âir'fda,ns le
sable pourh^éh’cfrë: dês'^ëmbûch ék•auX'pfbMsons. La fôjrme
tranch-abte ^tjplfeteidéC^a'téte^bit luifdonner beaucoup
dlaptitude î^>l|lte|imanoeuvre/, jG’eSt- enfondant les. gués,
OÙdL'fejCatéhe, qu^P&%pê©hëiiïs parviennent; h le débusquer
et à le prendre.'! j
( Sa taille - ordinaire ,ésefon .Commerson et Russel j est de
dix-huit poü0qs$<Eèrskal lui donne jusqu’à, une aune et
demie',>çe qui, pour luijadéît signifier p*tè® dëNfôois pieds*
Ifous les auteurst s’accordent à le dire bon à manger.
Il est*arriyèdte divers" paràges de la mer des Indes au
Cabinet, du Roi trois platycéphales, qui ressemblent à