2 1 6 LIVRE QUATRIÈME. JOUES CU>ï3LAS‘Spp|i -
certaines saisons citte^sêorpène a des" leinifes?^plù|#j|®ïÿesfl)u plus
furies.'' Plus les individuS'®e®bvjèuta:s j plus les jnarbruresï?éi(Jles
rivulations qiïi, varient le, fondidedeurs couleurs 'So'nï'n&mfcreiïSies,
fines, et divers e^^Ws'rsfüssi ■ 1-éürs; kmbeaux^çR^ntïs îsoiçtià propeiy.
don grainds etJd?së^^çÉetésj'i;~ :
l/ Jfems, devons dire que nous av ons^dâtap are aâejcr le »plus
grandt'soin des 4ndiyidus*^nvoMp4|iar M.TiisbQ lui-iûêto-ey
Qpmme étant de éê&t scprpoena ÏÜteumkt cpare
nous n’avon§ pu y découvrir de difféfè1i| | | ^pïe la
nature de_ celles rd©nt nous venons ^dè^^rîer, et qui tiennent’aux
diVêl^ëtats du P§i§|llM7^
Les • viscères. ,des ^scoFpènes ‘ Eessemblehft ^«^GOup<:^j&eûx,^des
.■îéqtjes- Le^oi^d.è.É grande’e^t^njlofise'tnangiilaiFe^3&tùé,!epi»i.-
ver^ans^Cfsophage, plus à gauche tç^|à{d|j^lè!*;îLa<’^ |^ ü l e drrfiel
»eft grande,, en caBal^dtel^<fe^^ested^ttgfei8.et
Abysse, ainsi que les. vaiss,eaux.7Eiép5®p-.(''\|S:l>iqjitiS!f''dAiis le 4$ûfrijjl,é-
num, auprès du pylône-J,
L’,oesophage s e ^ 1ontinne,f,#&ge' dilate en un» kygejj^ass^^pajlois
épaisses et irrégulièrement ridées^pçuqjformeE r estomac. Le pylore
a^huit jcoecums^ros' et peu longs.-
L’intestin fait deux repn^ayajij, ;de5sç ,rendÿ,elàjdiânns-J;ijç
Les jqx^F^es^ontpetits ,;et placés ..yersd'O [diaphragme. Il" ew^Stqe
même des reins,qui, ne descendent.pas^auTdèl^dr&liesiomac.
Il n’y, a »pas, de^gessie najtatqip^^;,;.
- Le sqqelette n’a d u e huit vertèhres qüed’on puisse nolnmer ab-
dormmdes,, étalés deux dernières f ont même déjà leurs»apophyses
transvëfses réunies, pour "former Faimeau^|ân^^énpl^OT&l.es a;
descendantes’,, niais non réunies,: il.y^erfq,,s,ekè#caudales, vingt-
quatre en tout. Le prelmier ixiterépineux de l’anale est, très-lôsngpet
placé obliquemènt, de manière qrfil s’attache, à la huitième' vertêfire,
quoique les deux épines qu’il -porte ne répondent qu’a là treizième
et à la quatorzième. Les apophyses épineuses- antériêurés du-dos et
les trois ou quatre premières de la queue sont assez fortes. Les qs du
^ é f k p . IX.^‘SCORPÈNES. L 2 1 7
Carpe d’anâ -leur milieu , èt élargis à
; i leurs! ,eÉljfén|iiéi|^;
aisément à rpi^y.ft et dix-huit
papl!fii quelquéloï^,ra»ettiemg'èmri Brünnibn,' à deux pieds
"die Ion guérir, e t à trois ffiil qiyàtré liViës de poids.N M. de
M a f m ê m é - quelle ^helquefôis six livres;
lua^wl^’^loin-'éWore ‘de là' aux dimëirsiohs que lui attribuent
BloaHréfe W;v"defLacépède . reiffiér lui donne
trois ^ijukfirle aliipés <fSs [éhë'et • huit
plwl^^pllefsecoud' qqatT!è^moWës,?t’est-à'-<d’ir^ douze pieds.
Tout celâ' vient BloW, après àvdîr reco’nnu que
le ç^stre sèbastes norvégiens',
perca nàV'ÿègic'a ' de'm§fâ,h.si) nM pas, l^natàe il l’avait
crû d’âbq^pç le jÉpjb'oissfe'pû :cb$nmun (cottus àèbrpius), a
îfiîaginé,-<p^'de’ déyI&^PeiIa'®îï^^^ûè dont noüs traitons
myihtëhkhtF'^^cômdipTontoppidan d it3,:-qûé'©ë nàaralke
a1 ^iftlqifènn^^Maïre pièds, Bloch n’â;îpa'S crû a^p'pàrëûi-
ment exâgéreribeaûoe^pw0*11 disant trois 'bit quatre1 aunes,
cé~qui ‘fait‘‘|)ourtant six^tihuit pieaf!, ‘ë t’M. de Lac’ép'ède
sûbsfituant de Berlin f longtres*âe deux piéds,
|||Ss mèîres de France, qui eùiont trois, et donnant
mêMé-jo/tw dé quatre, vbiïà1 notre scorpènexqni de dix-
huit po'ù-éhs grandi jusqu’à douze et treize pieds. Ce qui
ésF'èfëorë’ plus1 cürieux^'-'cest'-que le même passage, la.
mêirie . ligne de Pbntôppidan a serVi à porter ainsi l’un
aprèè' iautre à une grosseur, imaginaire deux poissons dif—
férens, le chaboisseauëet lajâçorpène.,Peut-être meme, si
1. Ml Rosentha} donne-1 une figure du- squelette du scorpcena scrofa (.Tables
ilshtyotomiques, ph*fÿ> figt
• 21 Voyag'ê'à VeniSe>,< t. ir,'p.*'426?' S. Poillb^pidan, Hîst,. nat. of florway, t Uj p. iÇé.;;
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