LIVRE Q.JJATÜÈM^.^JOüÆS,s£:üIK^S-SÆ®S.
nienfoncé entrelesvyeux. L’écha-neEure entüE&.se^ dfeux sous-*©rbi-
tprgs est très-peu o©nsidérab|p:,|j?b cha^tin deiôu«rs lobes-'se ||Vtôé
en trois ou quatre dentelures .bien parquées.’ 'Boutes,ïes«piÉè'esi^'
sa tête sont granulées, ainsi que son ép au la i! \ a.Heu-xvépintSau-
«ihite en «vv^t L a pointe lat’éj*cde*dejy#pci;ànete|
large-sJiyédi^rem<pt.longqe.et.sans dentelure ; elle ne.dépasseras
le Iobé«nembraneu^Pipérieur -de l"opercuàfe. tLeeçufé'opojGcul] t^â^jiiie
épi®| courte sous l’abgle inférieur de ropértîuïe, suivie d’une autre,
e^ffîplquefois de deux ou, Jjçmj^dentelures,, puiSF^diune^ échancrure
arrôîfdie^ iju# sàuyçirt t encore - deux jéfa; trois dentelures.'L’opdijéi^le
osseux a ’üa seebnde-épine très-pointue#forte, granuleuse, ç*t feisant
a peu près nioitié de la fongueür_ de ôêî ''(M-fJL^^^Miïéral è st^ ^ j,
nulé,. pyalçj et a unejépipe&ycte et pomme, grai}ipfâg,mn peu rmirjiaas
qrip Jg r^stfj^ r°&^|jpecloi:ale ne faitpas topt-à-fart le quart
de l^ |é^ u e^ r^ çH | est plus.cottftë que fa fèJeÂes^rois-rafoOns JÉ'rês
v ^ ^ e n diminuant, ae manière q u | leTtwtefet^TÙa
la longufeur de lâ-na'geqiré. Les- v ^ t r a l^ è j ll’a,t^^.TlonguW q ^ l e s
pedmrluepLéW'épinWæst-icFün tiers’ nM n u n fq u e les deuxième- tj,"
troisième raffcns. Tout lè'éq.rps1 ^ eob^iMter tr^ès^ke tites é èM fe
o y a l^ , Msses, et quion sent àsgpeine ayéjb le d d j g t^ ^ à l’a 5 ligne
latérale en a une rangée de plus |larges,,ï4 i^ndes~-'aussi,' (etïdc m( «üffciV.
cnne a au milieu uxmjjedtd ^ ê ^inégale. Ee sdlonidorsal' njest garni
latéralement,que paFde petites e r ê tf^ ^ ^ k s a illa n tq S j légèrement
granulées et nullement épineusesi Leé épines de la premià^Æd^'sale
sont fortes, surtout.-les jtrois premières- la^^Æaë/^^fa^'lus'-îon-
^ue, et surpasse la hauteur diiÿeorps"süüs 'elldêd^sbqtiâtr'e ©u cinq'
premières sont granulées sur toutes- Ieufs facës. ! -
■ D.’lf— 20 ; â.:204| 1 '. 11 J^f|lf§§pï
Ge poisson a la tête et Je dessus du oorps d’un -brun o u (d;un
cendré fonce, nettemefat distingue^du blanc de la gorgé âld& toute
la partie ^ en eu r e . La hgnelméràfe oiflse le brun en deux parties
par une raie blanche; | $ t1 y*à de plug partout sur ce brun* dans la
plupart des individus;-de petites taches* ir^égqlièreg blanches ,-^s(ejz
serrées, qui quelquefois sont fortaffaiblies, dont certaines sont ett-
^ b ^ u 4é,esi^dânsjqnclquesyndividu^f^dbme .tache noire, qui lés rend
Mpklyjl écs • f/J ljcs p^r.aisse»warieEi&méor^tde .plusieurs autres manitees.
,.. u La^^emièrevdorsale - est .brune, tâcheMé»%®la'n;e .comme iWcorps,
. pnh(an;dvJuffle .<partietel%s ^ i r e , souvent même mnèr tache
noi^e prononcée ; entrelaMbis^ème et la-cinquième épi«fe. La seconde
dorsalf'femftranspaVehte, ^ S w o m ontdésj bandes transverses
brunèl *La^p^©Eadfeï^igrisei|^|même) mbîw à saî fac'et postérieure^,
il^ ^ ^ ^ é lq u e s^ e in tsW to c s; vers le bord inféfiéurtnfte devientfrféans-
parente î.l%^:€plSïàtt^fe^îa!fatèt^èure©U! externe sont blancs. Les
centrales et1 liàn4 ’è3's4®tiêblan,cMtiïesiï oü. gris. pâle. La câudile est
brunât^eli Mais il /faut qëmîærquer que; de® couleurs sont sujettes à
Jpeajacoup d ^ y^ a tim is ; t qu£ l^ln^-voit non-Seülement des individus
gris, sahs<tachès, mais 'qrt^ify ’w^^ewcâdpi^âussi de rougeâtres et
,defoagespqiïe*souvent4,- dans le niême inaToljé, il n!y. en a pas dfeux
ressemblent entièrement par raStfteinteS;).
est piasp de j gcprylins-
venais d^».rrnamdie . de P ic a rd ie de-, -Hollande .^et^dfe
NQïw^égp^e,||%ite -en partie sur Jgs marchés a e ,P .a ^ en
PP^-^-s^l^^çeu.^Éd’jAbbeviMies.j, de D ie p p e jd’jAmsterdam;
mais y 'is^jùt-la^^limr^^^^individnSi, • les details
dje t aiit ésilenrs '’pnyii eJVs9 |M ^ >ta ê m e s ^ |
/jlVpt3s,S em s a.^si ;’(îf's î^inâias'>rfv;gnus de;; J^arsèMle , de
Tqjilpn;et d e ^ ^ p . (g ^ ^ ^ îia n b le n ^ à rfceju|i,de- L’0,Géap,s par
jifj^oriïçe-s .et, paij }es ^© jilen^ .et »d^nt quelques-uns ont
seuîeîBent' les premieres^pines dorsales un peu* moins
fortement granulées.
h f chair d«^ gf^ndin gps est de beaiuoqup inférieure à
c,elle du Vraî|*r.Qu§fiife et- iComm^CotonueuAe r’Vussi leur .prix
estjjil très-différent >sur lès ,în-a>rchés.
" ’Wep e n a lnO ë grondin est^gén^^ement qilus grand que
le rouget; t^ü^e^t pas rare-d’en voif jd é ^ in g t poue.èS, et,il
y en a de deux pieds.