L e D a ç ty l p p ïè ^ e ^ geet4 ^ e . la, ^ eii d es I ndes*
' ‘ÇPacijrfopTèftis 'orientalis't
Tant que l’or*^a>:eu que-des figures-grossières des dac-
tÿloptèfësV'dë“ W’thër déS' Indes ,1'telles' que les dbhuent
Y al entyn1'5^ Rëüàr-d, on a pu lès ’croire identiqùèS' Web
celui dé la mer Wédite/raqéeTet'un prèmier m*up d’oeil,
jeté ayec légére^^^eeTui que nous _allo||| décïïml aurait
pu, confirmer ^gtte ,qgjjp«jni mais une çompa^p§qn.Æi£te
et suivie AP us a prouvé que l’espace; en est fort, différente«
Son caractère" le plus sensible consiste en^oéiqupleseasque osseux
de sa tète est-échaaîêré'en arrière bien plus profondément, ëtqusqü’ku-
- dessus?(fed’anglë supérieur du'^éOp’ereUlfeyentScrrte que gavant en
' arrière, et dansda ligne mitoyenne! sOn-.iofân’e-,-a largeur é g a le r a
guère plus taê,;fp'ditîé‘*d'ë ls longueifr de L’espèce c.ômïrimëS'' 1
Sôfttepreniïer-rayon ‘dorsal S*a^a'nce jusque d’âÉi§iillÆPn'gl.e dp#e|tte
échancrure, en sorte qü’il Æpond -#ussi âd^ dêSsiâ^f :fe'd’ânïgfle’:>siSpé-
rieur du pré'opercul'e; tandis que dans lîespèce GOmmune il répond
à' peiné *'àl là4b’ase postérieure delaspëctorale.*' <
> Ge rayon’ est-aussi; beaucoup phis long ; il a'près 'dU-’l^pîeldéda
hauteur du cdrps à cét èndrcàt; Une-membrane étroite garnit ^â|Msei'>
Un long-espace libre le’ Sépare du deuxième rayon ;''quî^èst'&^ljfeu1
prè^‘k?læ plkëe qu’il occupe dans le daétyloptère ordinaire -ëtifort
coüVt^lte troisièm^'granait de tfôUveau, et do'îi^mëÙé^pf^ii^Ænt
- ' ’ ’làî1 lïagçôijë. '
^Ué-dactÿlaptère des lndes a’ éxï outre, Fethinoïde pldsï&vâheé|lce
qui empêche :l®‘soüsrdrbitaires de se joindre l’un àTâutre sdüs-^on
bord inférieur r et eë ’qui ldi rendile mnsèau un peu -plûS saillant.
Le‘bord inférieur de son Sbùs-orbitai-re ni’â! pas de dents en’Scie* ses
surscapülaîr'ès’sont plus arrondis véi^leur' pointé r- toûtes ses écailles
sont aussi' plus arrondies vers le boi$ Une seule de5~sériks de crêtes
t. Cyanopter, Go mm ersonmanuscrits J Moare-godoo, Russel, p; t6 1 .
qui vont vprss.la,.queue, l'inférieure, en,a;de plus fortes que les.au-
t£|s>, e|jm,êfl|fe celles qui. excèdent la mesure commune de cette série
sTOt.phi^ saillantes ptfplqs^yges que celles qui jouent le même rôle
dans lJcStfém commune.
Les ventrales sont un peu étroites'iet un pèu plus en arrière,
* ^t-TO^ail(è|^nous'ont paru encore^un peu! plus longues;- mais leur
partie antérieure eii%sj^ppinsî p'rofOndéràeU^sépare'‘e. Du resté ces
deux pôisÿons^sè ressemblent extrërherilënt.
—8; i f e . 11; P. fi'-JÉf v. 1/L
ffisMdividus des.Indps, oaps la liqueur, ,npus. paraissent gris-
v f l l j n < |«é,,d%1sus,‘ plus blanchâtres' mais: h dus savons par
a M. Dussiimi’èn q,u’e dans le fraîs|Jest llkpougérbrnn et le noîtâtre qui
dominer^. Leurs grandes mÿgèôffes sont seùjlesfde taches brunes
plus lkijges,. ê'pd?^utçes blânpMâStres m bleuâtres, plias-petites
H L uni de^es individus â vers la pointe
I de petite’ -pôt™
/^ a 'd é^ a r id e si^K ^ i^ ^ n ^ a g eû sè s/ép am e s'su r le dos. Il y en a
- deux q j^ h ’ën^o^^ucünes. t'?’
7 Les W eoe e sq u ’dâct^lopfère* oriental sont assez semMables-à ceux
du coinmM?Uepén3ânf^®xi-n<e lui edi^pte’ que dix-neuf appendices
coe‘Q|ik sd on t 'dix sont aflâ fauche d'eifëStomac. î'
aérienne est pHsrgrand^ ëll(3î.eslf,dé5p|me jdivisée en
depx ljjjBfejSj, dont chacun a ’sux la face ^c>rsale ^"én orme musclé
quim^fec6,uvr-eM*
surtout r e c u l e poissp n d e risWdè-Fraiffee^
Q u o y ej^Gaypiard, e t M .lffissum ie r , l’ëq ont
ap p o rté . Il est ( aussi, vonu d e y^aigiou-, p a r 'la dernière
expëgïfcion autour du mdfidel^lommersou^eja avait- déjà
'laisse u n e .figure .d’u n e je x a e titu d l .singulière, o ù il n’avaît
mis d’autre (étiquette q ue le m o t cyanopfere/, mais^M. de
Lac ép èd e n y a point! a o n n e d ’a tten tio n , e t ne la p o in t
C’e s t le moore-god&o de Yizagapatam, que M. Russel