l’insidi&teur parles forme&vgeixérales et 4hsii^êtail§Ldei la
tête, etmême/|Wid’ênspmble( dejcupj^ayiet^s;huais$qui
ërn düfôEéatfpar quelques pr.Qpc^tioB&|^*e^l(ètirs.,épipëiS^ ©u.
par fabsencesdes tàob^,g.,dé la;queue, '.
Le Pl Auvcép^ aæ,e> <n’Rwpu
(Pldtÿcëpfèâlus ëhdraGfifèjisfPl Quoy^ef*&aym.)
Le, premier, a./nême à ja caudale le .foqd jaune] euMapc^et- les
bandes noires rm s id ia i^ r^M ^ l^d e 's< 'j^nw u
nombre dè quatre : jeux supérieur es; obliqnf-s
j inférieures ,;dongituAndps et glus'lâ|ges ■ mai« il ÿ a pnfb.thTemcrit
aussi quelque vaiiflé «1 cerT^afîl.- E n r y ly cÇ ^ pm ^ s fm iH , n S i
que Jts deux denteluies du sbus-ophilâiie anterieur, qm.trOTscnt‘
sur le 'matitlaire; 'ai#iLfeuî'd,êtrfe,-ë%i’l * é ^ i ‘éèl*et peu apparentes, sont
étroites, saillantes; et^trèS-pointueséSon museau^paraît* aéfe&Éft^peu’
moins obtus qu a. i’nisiduteur se*v 'nombo s de lat otrr sont les
i mêipes.i L épine -inf^rigijreyde son préop^Eenle^fist mu perà^pk ^J on
.^eue que l’autre.,, .
D. 8 13 j C. 15^R. î20. ;Æ ÿ S t - t
Il a été pris dans la baie dés Cbicàs'marins à lanterre
d’Endraeht, côte ouest de.' fa Nouvelle -Hollarid^||Ip;ap
MMw Quoy et», Gaymard, .naturalistes -de diexpédSlufe
Freycinet, qui l’ont décrit dans la Relation dé!xfed^y’&ge'
(zoologié^p. îl&â) sous le nôm d& p la tÿ b e p h a lu s enir'ctch-
tensiw\ On l ’aÆrouv^ enfon/eé^dkns le fablierpairisi:‘s&& Mabi^
Indes sont les mêmes que celles de l’espjècfajpÿ'éëédéïifiei
1. Quoique leur description ne soit ÿas tout-à-faî f d’accord avec la nôtre/ellejaéçé
faite sur le même'indiyidù. Nous en faisons la remarque pourvue quelque conipilateur
ne vienne pas encore en faire une espèce de .plus.
^ Æ êî ^LATYCÉP H ALE BRUN.
| |tanob. )•
Unysél oja'd, rappqrté pa|[ces naturalistes du port Jacl-
j^ ^ jm p n ^ jp a r^ eÆ îlj^ k n d e , est encore plus
Sjgiijblable ^qugje pRé^dejatà rin^idiateur,
'’qaar re& jPofw§|ue'5'Barfête et les^3ent§féfaBüæe'és’ de son sdus*orbi-
wî*taÈtrë1 -, ‘‘mlqs^sâ’raîiaâle^eSrmorrâtre famfaèu de' sa moitié* pdsté-
■ K*rreuré*ëf‘sétnëê dtë tÿcbé^wüye^érs'Isa base et^sës1 boÿds ; des autres
Ua^Sôiffes^O’rit' des taches brunes. Les deux épines'de son preôpercule
Méfiât?' a< pfeûV-^^^sg
fetlrll). 8—*13; A. 13; c: 15; P. 19;ty. 1/5.
Les,teintes, de*,sa( partie supérieure sont plus foncées que dans
aucun-des atitres ,s ce qjii nqus, engagé à le nommer platycéphale
brun. L’individu est long, de quinze pouces.
Nous, en trouvbnSvun parmi les dessins que Parkinson a
faits à Otaâti ’p/pnr sir Jbseph Banks, qui est aussi
brun foncé sur fo corps, avec dès points bruns, pâles, sur les
1 nageoires. '
Bip^ qu’il ,qait pas la bande noirâtre-sur le milieu de la
c a u d a le b u / peut doMer que ce soit autre chose qu’une
‘variétéde uQtre espèce actuelle.
Parkinson le nommait cottus ofaitensis} et nous en trouvons?
sous ce nom une description dans les manuscrits #§
Sôlânèfer, oié sai couleur .es t exprimée en ces tfermes : Supra
e gJauCo et fusco. irrotato-nébulosiisy infra albus. Il
se nbmmefa^Otaïd earrhahmv aelhaaru-ara.
Nous'croyons également en avoir trouvé la. figure, dans
limprimé japonais./oe.la bibliothèque du Muséum, que
nous^ayons ^déjà eu plusieurs fois l’occasion de citer-
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