'1 2 * LIVRE QUATRIÈME.- JOUE^'OUIRAtS^ÉES^ \
sent; le dêssus du crân e/è t mérite celle®,d»e l’épaula, f^d t
dures, grenuQS^utstriiées; sauvent armées d ’épihestet dl&Èêtes
tranchantes;-en sorte que peu;de ;pqlss:@ri®|j>nt la «télé 'aussi
bien garantie: contre les attaques dedeurs~e;^emis
Les -ouïes-sont bien tendues» ei leur meinbjtan'(nesfASptU-
tenue par fseptcrayons. Les RâteluresM^^arcs^b^s^jbFux
ne- èonstotent qu’ën tub&^bfeÿftîouveïts1 d’u n ^ ^ !0|Lj.^< ras.
La bopche est métlik^ tep ^elle -s’ouvre ^sousc lai prdémi-
nence -du museau, et quand elle.se ferme, les maxillaires
sei retirent sous les sous^orbïtaires^ .
Les dents deapharyogiens, sppt/toujours. en ."^feours:;
mais.*poûr,'Celles- des mâchoires et du.palais-, iLyîhydes
varié té plus (ju’il nQitl ordinaire dans.les- famillesmàtu-r
relies ; et eest pTincipalememt/sur. leurs * difféSM^Éque
nous fondons .lesîdwisions que nous ayohyncablies dans te
grand genre dés- trigles.-
Les pectorales sont grarid.es assez dans quelques - esf
peeestpour leur donner'la faculté de slélevewen fein.pendant
quelques instans. et dfexëpujge'F, comme nous l’avons
dit, une espèces d envol. 11 séndiétache ^fe,sl,euT*^paFtie inferieure
des rayons libres, plus gros que les autres,^antioi^bS
mais non branehus ; etædit T on voitîqMus- ^s;ëmhht?d^div>Çf
sion en adfeux .filetsy commune à- tous les rayoïistu,■
-.GGes -pectorales s’attadhisnt â p ’épaule par^six: ossplytsg
dont deuxpsavoir, le radial etJ^jfuhitalyyidl^^
huméraly et sont chacun! percés d’un tn@u; te^sisbitah est;te
plus grand. Les quatre autres, domt le supérieur estdepîkis;
petit^eppésenteut le carpe-, et portérit. les', rayons?; 'Sè^ôir,
les deux supérieurs/ceux de la nageoire, et-^ës deuxdnjfét
rieurs, les rayons librfefedÈ/étendue de cet> appareil donne
plus, de force-aux muscles de ^membre,;
CIIAP. I; TRIG-LES. 1 3
Il en e^t; deapéjpe pouf fe.membre ipl^rifèùr- Les os du
feà§sih4forment ensemble un disqrie rhomboïdaljiassez large,
f^Qnt la moijtM f ^ î& i e ^ r e ^ popte,mm jyrriè-çe, entre les
i v e t é r i e u E e ml l j &f e b 0rds perpendiculaires à son
plan,,; eljsdpp^htjunq^|ièle » uneMppphyseidahs- son mi-
J n ^ ^ diVsposiyiqnfipÿlbitoe pfaoqÀ.des muscles plps^épais
popr lest^p.jtrMgs,ïesqneUeSjSQntaussii^énéra-lemeut grandes.
■ natation se joint la
forme dtedeur -e(fppsw/q u i gsî|alôngé-,îpop.dïO.npfen comprimé,
«aminci ker&da.iÿiteiiM;':ii&omt uneipremi^^ dorsale- épineuâe,
pluSjêT&ée^st uné se^pnde^pljia^a^evuttplus longue; Routes
les deu^sdnt implan-t^^danîf|L^Ôj^|gJ^de sillon garni/de
deux rangs d’écailles ou plutôt de lames osseuses, qui spnt
dey dilata tions, riesa©yf ifate rripinrinxi t ^ qui &§jjterminerit le
p‘lus„ s o u>s,en]t. e n p p ip t^ em arri^èdg^^qid.'dAhne lalprâ, aux
bords de qg|jiill.aTOA ^
^|»»4dtha;uc©up de v a r |^ ^ p ^ p p 4 ^ ^ e^ l ‘leH ï ^ ^ euiière'
m en t pouficelles^te L ligue latéiy^^iGùétqnefoisftkcQmUie
•malarmatyyJ^^açailley ;tsom3;rrempla/ceeâi:'pàr dé
Ivprifables plaques fossettsësf, qui t i r a s s e n t .tout slet corps.
^hUèsIfîleits lite r ^ |k n sdésjÿè^tpralès^ quij-qapfetérisent les
n$t’teiïE}fdratàj'qfjaiag)ifgane,de tacfrrti^s^enlsible;
..cr>^h^:P^fs-Iqui*i^»:rendént soS^t gfogf e fe il^ a j sse n t mêmes,
.ainsi .que ceux .du,ir,es|e de l'extrémité ‘îihfé'rieupe,-,y^ôus des
tubq^diles p à rd ^p liê^ , aum^pabpe de quatre ou cinqido
c h a q u e .g ^ é ^ p l4 ^ ^ iur' l’origine deJa^moeUe^pinière, à,la
Suite .des tu t e r ^ l e s y io r d ih a î f d e l'ample „du jfgryelét.
{Get'-te strudtpre, est entièrement« propjÉb àalle grand genre.
Dmx® .fèur;gèpveauselodtnipo,sre., comme, à l’ordinaire,.de
deuy^dbes- deldbè&upérieÙTS, une pleine et Une^cpeuçe,
d u n e pairé, inférieure et d u cervelet. L a paire pleine op