vure saillante dans ;spntmilA’eu^Tj.adidnfelatérale semarque par cinquante
e t .quelques. petites?,epip|^:,pointues et.dirigées en arrière,
eominer toutes æeUes‘dg Jaÿ.êt.e. Elle reste pins- pftèsAdes dorsales qp.e
dans 1’ÎE^Iiateür. Toutes les proportions sont-d’ailleurs à peu près
les mêmes.
B. 1 «PD. 8— 18 ; PASa^Vf^P^*
v: Ce poisson est bruni 8u gris tfoussâtre dessus et blanchâtré dessous1,
ët: M. Lesché^üh rnoii^ 8itiëxpVes§iSmènt-5^^'%4?^PPi*‘
génlMe.»èst la même,iquîà' l’insidiateOT. Saiiprenâèreid'îïr^rle :as une
bande noire;su»fsa membrané, .epmùir dansikLpaactué. Ta seconde,
ainsi que la eaudale-e^des p^ctoples^ont d^t^clles ,b^n,ef|||E Jgs
rayons et,un fond pâle; mats k,m|iugÿ©^éÿieuiteigte,la^ddale
est noirâtre; ïenale 'est blanchâtre : il y a du noirâtre vers l’extré-
mité dès ventrales et du brunjsur la plus graVde^|M des pectorale#.
: ÿoiiis}â^®ps5rpeu;îe .poisson que nous^ycnons.gMOf(l,<;7
nrlre d’e Pondfchéî^,' par MM. & n p e ra l& t^Ë g ^ ^ n a ^ i
Les pécheurs de e£ lÈanton^lui donnent le mime nom
qua rinsidialeur (<ue?oudo«r/?«fr )• Laetix de^iaagapatam
comprennent aussi les'deux espèces.%us le nom icommain
dVrw« , '.selon - lM. RnSseT. - *
On pêche1 abondamment ces yMbudohf^afild^lilesp’fece
ra^btéuse pendant t^pe^l’a n n ^ dans là jr«a| 'de 'Pondi-
ché.ry. Ils y parviennent à la langueur d’un pied etMont
bons à manger.^'; i
Il y a apgsi dje ces raboteux ?sans bandas dans l’archipel
dés Indes. M. Reÿnand en,a.rapporté plusieurs de:.Râta\ia;,
on il les a entendu appeler mount o^erébo. '
; Dâüs un individu, de b^coieMe MalabàV^bâppôyfépar
M» Dussumier, ;
1. M. de Làfcépécle né m^f ^ c tix ’rayons àuxbranchies de cetté espèce ; mais il y
en a sept, comme dans les autres platycépliales. Bloch les lui doone aïissi.
le brun du dessus esu-vsjié dhin brun plus foncé mais par taches
ç.,,. nuageuses. Le noir'de là ptemiète dorsale est pâle et comme lavé,
fflpfMpus ne Cêmmehnéih^'à^apercéviÔiÈjdos traces .de bandes
c|ue sur un in d iv id u VCmii de JjoMichéffif dans la liq u eu r ,
’ et'hui n ’en1 a gffé^sjir, la partie brune, mais sans qu’elles s’étendent
U ^sufe le bMn'c nfee iniébreuféf Wk du“reste’ la Baifdë* noire sur
_ l'a^ dorsale ët .tous. les autres caractères des précédens, et ne peut
guère en é&elqa’une Variété.
. - Mais la mer d<& Ih deséproduit q uelque s platyeêphales
^'Mg&'diRtêEdpJiépineitse, qui ’différent» d u scciber, tel que
n ou s yegMis ,de le d é c r ir e f cÿuelquésdétaïls d e larmure
■de%ur tête.. r
Le P la^ céphÂléybe Bourbo;w. ,
J‘( Platycephâlus borbomensis, nob. )
L’un d’eux a ;êp | en v o y é de M e d e B ou rb on par M. My-
lius : comparé a^u. i l ^s’en distingue^ ,
>.° parce qu’il n^que^ifleux épines sur la crête du troisième sous-
orBitaarè; tandis que Jç^.sc‘a&er en a cinq cm six; 3?** parce que
i l’épiuVsmjjédéureidê'Pangl^jde-s.on préopercûle est courte et- forte,
[ , et que l’inférieure est presque parée que ses yeqx sont plus
grands et-leur intervalle plus étr,oit. à proportion ; 4-° les épines de
la ligne latéraleJsont beaucoup moins saillantes;.^.1’ le premier
rayopTde la dorsale est plus grêle et plus long.
D. 9 — 13; A. 1 2 ^
Ce poisson est long de six pouces ; ,il paraît tout entier d’un gris
brunâtre : o n ’n é v e it que des points sur ses nageoires ; mais ses
•• ‘couleurs ne semblent pas s?être bien conservées^