L e G r o n d in r o u g e , ou R o i j <s j ;t - cc^ im u n ^jDjE .P a r is .
4f$CTrigla çuculuSj Liban.1 Trigla pini, Bl., p. ,3?55$t,i i
Ce rouget commun de Paris passe rarement un pied d^longueur,
C est a la tête qu’IP-eStMe plus gros. Son'corps diminue ënsuite
jusqu'à la base de la'caudale. Sa hauteur 1 la «uque es?t près-de six
: fois dans sa longueur »totale; mais la longueur-de sa;tète n ’yiést pas
tout-a-fait quatre fois, elle est d’un quart moins .épaisse qiie.jamitp
sj ^tpc it et
devient cqfcqaye j le profil descend- obliquement, en faisan^vecie
cfaye un angle de çeht trente, à cent quarante degrés,; sa ligne descendante
est trèWlégèrement xoncaVe'j en bravéesiLxfrrondit! 'Les
'cotés de la tête 'sont plans et presque verticaux ■ toutes les parties
disposés«« én lignes serrqe^, qui partent de céitkins efefàs-hômme
dèseiiâ^ons-vlfy îa un de
appartient à Fetbpiqfde jde grand sc^-brbitair e en ,a. .trois * d^âftde
p^ncipaL^Qr^^mme un grand;-fpJLeil su» Ja^Q^ej il y en a un
sur le préoperqule, un sur l’opercule, un s,urtchaque pariétal, un
su r f os de l’epaule, t&c Les deux grands s ous-orbitair e ^ ^ p p rten t
en avîpt ddvtÿ^r^pdur fann^J^âKmité^ànïe^ile du u ,
par dfeux fobes 'arrondis très-peu’ saillanS, entré lesquels, est %ne
ëdtefflBÈüre très-péü; pro'foridéf’et qui ont’dfedun feur bord divisé
en sept o»;huk urénelures'ObtxîsésiÆJn peu’W-dtfsâijSjientre MŸtmer
êt'le grand spusTorbitaire, est un petit, espace'membraneux,- dams
lequel sont.percéqs .les deux ouvertures- de .la .narine, toutes-deux
petites ; l’antérieure estj rp.^dçf>p^ a^es bo'rds, uq .peure^es ; bau^re
•d^t oyale et oblique. L ’orbite tQjiche au bord supérieur, de la^ftête,
jmmedidîement derrière l’angle que fa ille njuseau.pvec- Igxrâne :
p“ est grand, son diamètre hoiizontal fait letters de la longueur çle
la tête. A son bord Supérieur, en ayant, sont deux et souvent trois
petites dents aiguës ,cd ont 'dernière est un peu plus" for té.
L’os surscapulairè s’engrènè par suture au crâne, et le prolonge
de chaque côté par une pointe qui, dans cette espèce, est dé fdrine^
s-,demi-ellipdquejret ar.Spn. bord interne gonvexe et dentelé; elle ne
dépasse, past l-’opercule.fGelui-ci à sa partie osseuse échancrée dans
ilevant,\erdécoupée e%deux pointes aiguës, dont.là supérieure se
dirige obliquemen§v.ers,le haut; l’inférieure, qui n’est pas beaucoup
plus longue,,se porte en arrière : elle est à peu près au tiers de la
hauteur de'liq^, qui'de là>va,*en s'e rétrécissant, jusqu’à son extrémité
inférieure. La» membrane qui étend l’opercule est'sürtout large
-dans le hautÆ&|É®ë<fSipercule est plat, sans limbeaildentelure’: étroit
dans lé>haut,<élargi à'sâ paTtiè'içtférieure'J il-a vers lé ba| une légère
arête, diriggfMtfavant en arrière*vqui se tertoine par une petite
.pointe s<£us le bas’ ^ ^ F o p ffi^ leyA^ jîenya,june .plus petite un peu
au-déssous. Derrière ces pointesjsef.qajdhf un très-petit sousroper-
„cul’e,'.réduit à une petite la^è..Oya(^ret transparente. Xéinteroperculc
estyâùssi-tf®*-peu apparent, lisse, etUR,ché,.en“ partie sous le bord
inïe r i eur- à u, p’Éé^pêftîiiè.' • -J
La ,fensteidn;la bouche^est médiocre; eile^ e s’ouvre que jusque
sous les naririe’SK^sa.GOuhbe esuà peu.prèsqJarabttlique. Le maxillaire
se - cacher quand la bouche s.erferme sîous le soînsf orbitaice ; il est lisse
^ s ’élargit peu. La lèvre-bupérieure- giyaaiçe presque autant que le
museau; l’inférieure un peu moins toutes»deu^sont minces,dt Ijsses.
.LaS branches ^d& la mâchoire,Jk|fëriejare,s§nt étroites-* pi'gsqne hoii-
zontalMsïj raarquées^seule/iient de-, quëbqties, pqçes' LaÉfceinBr-ane
branchiostege ésL'épaissçhhtre elles, et, fén'a|^sifr. les trois; quarts
de 'leur^le^gueîîSr ^iainsi'I’©Uyertüce-.dé liOttfiês est-très-grande. Il y a
septJjjEiyogs darisf'la; membrane^ ‘
. . ..Chaque m^'çhqèretàunqïhè^jdeî^N çhpts en.v<elouirè.r-as,et serré, et
il y. en a une -pente. l>ande?trgpss|er^al%en! avant, du- yomer^..mais le
meSte^du palais ëstf liss&,,^nsi que la languie, qui ,est large, épaisse,
et||dhère sans liberté ,^ ij plancher d q ^ ^o u feh eb L’os.-soapukire
proprement dit egtJ^^^mais, h xlayiculak^ formejnu-dgssus de la
pectorale un..yrianglegranulé,*■ ujupeu deïkflë-vers le haut, e t qui a
une arête-dirigée gn. arrière, terminée par une p'ointe courte, mais
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La peciorale^est’à peu jAès de'là longueur de la tête, ckst-à-dire
4h quÆrt deda. longueur to k le ; et quand on l’étend elle est d’un