2 9 8 LIVÏtÊ " JOUES CÜIRAS&Éès.
d iffè r e m f în iu ïe n td eM e lu ï a u q u e l i l d o n n e - l e m ê m e n om
d a d s ^dn. te x te p . â d ^ l â ’o it eiacôr'é ê tr e p la c é ic i1/
* Ü est à/siiap muséan .eoxift ^liklïSÿ-f^fa-ddrsale
naissant entre les yen«;, trèsMaute dans son .commencement, et
se continuantjjusqu’à la queue,,4 laquelle eUe.s’xmit ,;mah par une,
très-courte iftémbrâne:-
-Sa hauteur est trois fois et deux tiers,dans sa longueur ; son
épaisseur fait moitié de sajiaxitenr, çt la longueur sa tête
n’égale pas'entièrement cetftfe hauteur fC’e sfVla brièveté du) mus eau
qu’est due Scellé de Ifx tête. Le profil descend presque VQEhcalçm’ènt.
S^ lwuçhe.est oblique et peu fendue. Le premier ^u^®rbitaire est
fendu en deux pointes.aiguës, dirigées en arrière, dontla supéçiqUçe,
1 qui est la plus grande ,n e dépasse pas cependant le milieu dp dess
o u s d ë ïc e il. Le grand^sons-prbitâire se-M antre ù peine au toav{ers
'd e là peau. j£a grande épine dumrép^rcple e^argup|^^t-n’atteint
qu’au milieu de'iajargeur de î^ e r p ^ e j^ e lk en ajrp ls^çtites^au-
dessops d’elle. L’operclpë’a deux arêtes, terminées^^aeune par^ une
épine; mais on,n’entvoit nas aux qarinés, n i a^orbite^^^m^fflae.
Je ne peux lui ^découvrir que cinq rayons aii%pjuam-l hh-s. Ses puJ«i-
tins ont’des denis^ Mais'sur une’très-petW plaqué) Les autres ^ n t
comme dans les schrpènes.
Le premier rayon de la dorsale- répond au dessus d u i^ d ram é -
rieur de l’orbite, et termine dans le'bàut la ligne verticale du profil.
Elle est assez: courte,, quoique forte pla seconde est quatre fêisipîus
haute> et égale la hauteur du corps aux pectorales; ensuiteWes
diminuent jusqu’à la cinquième, qui n’a que Moitié dë^ceWé'fitXU-
teur. et les suivantes, jusqu’à la dix-sep dème, ■ demeurent 'fiiîime
la cinquième- La nageoire se termine par huit rayons; mous, ét.se
relève un peu au cinquième et au sixième.' Le dernier s’irnit par
une membrane à la partie de la queue et 4ux -petits r^oM-simé-
rieurs de la caudale. Celle-ci est rhomboidale,) eUa douze "ray on s
entiers. Sa longueur fait le quart du total. L’anale a -trot? épir^ ét
six rayons‘mou s, et! laisse u n pétât" espacé’ nu ëntrè fel’le et lâxau-
daté. Lbs pectorales soft^a^séa pd intu es,a$s#idu quart de la Ibn*
CH AP. XIII. APISTE5. 299
• gueun totale, et-n’ont-qsuc onze rayons;, tous, rameux. Les ventrales
Sortent un peu. plus: .en asyière , et se- portent aussi- loin. Leur
nombre,.est, l’ardMaire- .
B. V? D^lTf^j % % lC - 12; P. 11; Y(. ijh.
Le' Corps'.est entièrement' couvert de très-petites écailles, presque
absdrhéés dans Pépicfèi'tne. La ligne Meralê demeure parallèle au
do^flpf esC "du'aVanf attlréfs' de la hauteür. Elle sè marque par ûnç
‘ ’''Sùifé dfe fùbeS, 'ët' d’éSp'a'êè; etf éspaée pà'r bftê petxtebrânche.
^ “’Èiifs m li^üeûr" fiè'p'OiKSôMpàÿâit'd^uft roux-brun uniforme,
ëxcepfeîun^taeme- hoir aire1'ovalè qu il a Sur la' dorsale, à là cinquième’
et’ à la sixièmè.'epiné: 1 1
La 'longueur de nôjtre individu^st , ’dëy.près^e quatre polices.
Cet^aniste a lé, .foie, 'inëdïofii'ê' formé. d’un, seul lobe
ovMë'/ alon g é , et p la c é îe long tl^mo^ganVlti-Ile l'oesophage. La
^véSicmenu hër e m ^ ' è s - p e t i t e , l a S g î e 'droit antérieur du
atfijie/presque sol i s «fér < rfâJmVâgiiid Les clnâl‘npdreTO^ue^K&èl-flâ r
" 4'M«fe'M-'e#tehg; il dé'seend le long' de'l’mSpphâj^èf;‘poüF aboutir
dan« le duodénuih^auprès d’un- opeumfisolé' dont nous pajrlèr'oris
plusMas-.,, ,
- L’çésopkSgeyest lar-ge|^ssm|léngi4^ |f e |Q ^ iinueiaV.eh l’estomac
, sahs. que. l’,<m|p|uisse, r |n r5distijmp'er. I l.||ë termine gggjjgjgd cul-de-
saé-pointu^à peungrès a l.Lmsra^de.l^ longueur de ,l^dtnnçn.;
' % - a quatre coecU-mPauj pyfore'îîoetm aî'gauyhejît deux^a dioite ,
r ii dî< (9Ar<i est Beaucoup plus'haut que L T O u v r e dans
le duodénum ■mèmeî^È’ë ^ ^ t^ fè f’ Hè ëanal
éh'èlédhqhe^ L’intfestiïx fait dexix i?éplisrhqtd*ïl, )-àyant^éi^ rër|$r e
à- l’anus ; il se dilate vers le rectum, w '»J
. La teS^Ç'nâtatôire.esJî «dsëz grandesun peu dépriméébdans lé
M ilieu ^ « l’e n flé P ^ ^ lè s eitië'réités. Les réiiïs, son ttg f^y cou r ts,
plus en arrièi'e qùe la vèssie aérienne, et versent l’urine dans, une
vfifsie -
La figure de M. de Lacépède a été dessinée d’après un
individu long de trois pouces y à demi desséché et dpïït
la é ta it rflutiïée-.^