5 EIVRE QUAf RIÈME. J"OUSS<G ÜIR AS'SÉES.
moins élevé, ce qui rend la première. dQrsate. plus; arrondie tous
ses aiguillons sont d’ailleurs jdus.faibles5 le .premier es»plus sensiblement
crénelé àÿpn bord intérieur, et le dixième est-plus grand
et nullement .caché. ,La seconde dorsale n’a que_ seize rayftns, et
l’anale treize. Les.écailles qui arment le dcfe de chaque àSte. des
.’dorsales sont au riombre de vingt-cinq seulement, et feui^bord est
dentelé ëd sèie. La figiie làtérSfë*est relevée d’ééaiTiës’ carénées,,Boùt
chacuAe ASâ càfène divisée.en deux, trois ou quatre petites pointes :
il y; en ft'environ soixante-cinq-; elles Sont plus fortes et plus profondément
dentelées dans.de mâle .que dans Ja.;fèmdle.N Cette ligne se
bifurqué sur la caudale comme dans les autres trigles; mais il faut
de F^tention pour bfan^tes., Iæs, U^gb,^s q u i^p ^èu ti
entièrernent le corps de ce^oi^s.on,, excepté soqV l%.pqitrijjer ol l ’abdomen,
sont en même nombre que les écailles'de^la ligne latérale:
pè sont des replis de la peau, et dans chacun de lmrsdmervalles’
il y a deux rangées transversales d’écadles'régulièrement* disposées :
ainsi le, nombre des rangées' d’écailles ya^'ccpt trente: Les écailles
élles-mêmes sont très-jfètîtës, presque narrées, nettement dentelées
ou ciliées à le^dbprdfsailfeBt, trpisf çrénelures à ;]#ur^p!eine,
B. Tj B. 10-—16; A. 4 3ÿC^tfo u l ï , et/pielqi/és p e t i t s e t 3'lfBresf Y. 1/5.
Cette ësjjèçeatteint -rpi^inent un|pied : .tomt S.oit^'cQrp.s^.est. d’.ùn
beau rougeysemé sur la tête et sur le dosgdè petites taches noirâtres,
irrégulièi^%inégalement éparses. Les pectorales, sonj^^sesa^.e.içées
de taches noires'plus grandes que celles dur corps „ e t qui y,*pnt
disposées à.peu près en bandes xjansyersaleg. qui .reg^rcle le
cqpps est en partie hojre,.Lès çjptres^ nageoires, son], ^ p g^ r^ s,-^
| SpthjÉffl&ost»peu volunûneuxa presque çntièremçm d u ^ ^ é , droit.
La vésicule du fiçl est grande, Gâchée.sur d’estomac, .assez loin du
fqi#*Ù .c^use de la longueur du canal cystique, qui^ L assez gros :
il verse la bile dans l’æstomac auprès : du pylore.
L'oesophage est la^ge, mais«très-court;'ilse-dilate en un estomac
pe”u ‘long, mms. làrge, situé, en travers dans- la cavité abdominale :
ses parois «on^tsès-BilAceS;, sans plis à l’intérieur. Le pylore est
fermé par une valvule épaisse, et muni de dix cæcums longs ;ôt
t . TRI&LES. 27
1 grêles,squi embrassent l’ostomac en se roulant autour de lui. L’intestin
.fait quatre rfeplis inégaux sur lui-haême, dont le troisième
seul est ,pljiy en -arrière que ,1’estomae^^Le duodénum est*un peu
renflé à Æa naissance ,’ puis le diamètre de l’intestin diminue, et
, reste ajusij.us qu’au dernier repli. P n peu avapt cfe repli il y a une
v a le u r assisI ‘^ É 's^ ^ i,iïia r q u e Iè colon. Après le premier repli
le icMofï.sè” aîlÀVé'^bèàulôûp,^^ j'ù^u^'mMdé/de É/'’longueun;'il se
! -rélS'éÜh 'ërisuitë' en fdévenaftt un peu^hfô é|fais. En général, le'■tube
intestiîtal tesj; mince: ;
-Ivraie est>très-7petite et cachée sur l’qstopia^ 'entre les replis des
coeeutns dé 'droite.
» Lesjdaifan^es^sOPt.. longues, qu^nqu’ellgs me remplissent que les
. trois guarts^jupérieurs de l’abdomen. TJn long canal spermatique
oommuniqi^avêC l’extrémité du rectum. '
La ^ IP m it '^ m rè^êst^fe^oldb1 ‘ 4tn ^'eû déprimée5, sim^ïè ^éahs
aticunlHfehfleîîiens o'À'appendicfes ;* elle deetjptile second tiers de la
*' longuèür de laKdomèn, immédiatemèh't en arrière de FestPinaeéSes
''parois sont folâAdhes, madttes«, épaisses; elle â"de,chaque fe^é tin
muscle vprpppje idÊShrg’S" transverse®,pissez .puissant.
- L’estornaçi-était^plçin de( eyevettes-et de petits cailloux. ,
^. .Le.s^quele^e (hkY^UgPt^canaard a tre^verjè^res abdominales, et
"vingt caudales s^leiqent ^^.çotp|/sont'imKfes ét siçnpîes. Il'res-
sen^lé^ ffle u r s pffll n ^ agSus lem p i ffiTou^EoniHiun,-^exc'ept;é
;Jes difféfa^es que1 ISn pé^^J^a apprêcTér par la forme extérieure.
' Gette*dçseriptiom.est .prise de sujets achetés à la "halle
de Paris.
tLa.-chair,cbiæouget carna&d y.psj aussi bonne quenelle
du rouget /commun.:, .il y^yient dans les paew.es saispus e t
awocbl^même. abonda^p^, f qq, qui a .fait, croire à p.os ,pois-
. « a | | p b e a tQu ^ ü i e i t r - | | â | ^ ] i a i u n e . grreur. Indépendamment
de\’leurs .ear*|.etè.res .extérieurs 3 .nous uous
a©mmes^»ésïde 1’ejsis.toa oéides deux, sexes dansées deux
espèces. ■