CHAP. Y IÏÏ. BEMBRAS. 2 0 9
longues; leur épine ,est|âe moitié plus courte que les rayons mous.
fia^prpmière dorsale commence yi^a-1j.§J’a Ltaeh. e des pectorales;
'èUë’^onzMayo^iernies'* et’ piquans, 'saris^être gros. Le premier est
jpl es que aussi long' que les trois auivans, quiont plus des trois quarts
p |,la hautOTr^^"«^^ ensuite il's dimmuenti, 'et5 le onzième est fort
petite L?epânel’,dei la deuxième( dorsale vient immédiatement après, et
est^lEuksi diaute que l à fteûviè'jéie aauïla première c’est-à-dire moitié
autant?quélté®3®'rps..Les rayons mo.us;qui la suivent,’au noipbre de
.onze, lalépa§|en||;p>eu,vL’ànâle»|Qp;Qp|lsucette deuxième dorsale,, et
a'jdgux. Lebqut dé' queue, derrière ces
ideuXj.mageqiî'ése est dUjsepùème^dJ;_la longueur totale. La caudale
estrcoupée Ganement'oU ariotidie, tt a 1 rei/<‘ rayons entiers.
jjsL e dessus » f e p àn^.!lefekaiU,de»Lotaer'Cule«.l& bas de la jque, ont
i:dfes, écaillés rt^Æj^Y^n. ^aams^Lde Fetite.S sur la base, d e là caudale :
^fcqr^s en a 'plus de soixante-dix sur une liane longitudinale; elles
gjjgfl tiiiemuijfl^riçesffi denftiéjes aubord. La lignefau^à^^est droite,
jîrescpu'ipuai]cl e au uu^forîn ée par une suitmcOntmue d et légères
%xevmesi simmèl'et’étratl'é^ ,'uln peff^'caréé'qe%u, commèiïcemeîÎL
ilsoîi*, ’dans ré®P^®®S'b,êïisl'’àybns vü| paraît tibut entier
d’un j Sunipponplitrê ■ : Osai* voit ; quelq-ues', restfes de- taches* brunâtres
(q^||^èsarréguliéremenys^iljripremigr.e^doisàfe. Il est long de^Mpt
p.ouces;,et demi.
* ^ u & fn é ;,&v6:ÈiS r ie n :'dê! s o n a n a tom ie n i d e ses h a b i