2 9 4 1IVRE QUATRIÈME. rOÜES'TlUMC'ASSÉES.
que six. rayons branühiôstèges; mais ses- dents ..sonttlès- mêmes
qu’aux scorpènes.
B. B. 16/»>X3/5; c. 1 1 ; P_. A-3 Y, 1/6, . -
L’espace nu de son dos est cîrconscritde, chaqueiçôté par une
ligne qui part du haut de l’orifice branchial, et monte obliquem
en t en se rapprochant de la dorsale' .jusqu’à son dernier rayon
épineux.
Je ne lui vois pas de lambeaux.
Sa couleur paraît un gris brunâtre, plus pâle en desvjjjf룮£<;
des marbrures plus brunes, qui forment surtout quatre bandes
au droit des pectorales, une sotàs ïe commencement d e fe&orpde
, molle, une autre’sur le bout de la q u e y e ^ t là dernieçe fiers
postérieur de là1 caudale. Il y a des points bruns dans les mte^valleSi.
La1 longueur de notre individu est de trôî|“ ;
]N o u s l ’av^qn?, rjQJpïjP*’ MM. Q u o y rte t G -a y n w d ^tpa .tu -
ralistps^ d p l'e x p é d it io n d e M. Ç t^ q iiie jt.
l i e . cottus australis d e J o h n .W h it'^ f noms, p a jia it.jq jq
m a u v a ise r ep r é s en ta tio n d e n e tt e ësppnfvts.
Sa forme generale esi JLiméme On } \o il «Inlmeltment ^oii ai,-
guillon sop^orbitaire, qui ne dépare pIsToçü ; son pieopftc y b
semble en "avoir cinq oii six. asSezÇ grands ,^t^son o^èrcule' deux.
On discerne quinze épines et hmt^râyôns m o u |y ^ ^ ^ dor-sBe,
trois épines et sept rayons moussa son anale; systcu tres-tuurinres
sont indéchiffrables. Ses écailles parassent très-pètiïeT; "ÿoï^jn
corps, d’un gris'roùssatréymôntre trois bandes WTOCales, in-
: complète^ et nuageuses d’un gris noirâtre*
L’individu est long de quatre pouces^ r
Bloch * suppose que ce c&ttùs australis jde Whiteüfèt
le même que son scorpoena malabarica, auquel il attribue
î . Voyage &W«v*Sbutä-jföksJ, j»D râle*.
2. Systerna, édition de Schneider, p. »‘94-
une*.tête 6eaiHe,pse^des ^cailles m;lâ base d^s nageoires verticales,
.etdes. Hombrés ^dofrgyjdn^.:,.,
B*«-.; Ä C‘/12j; P. 19; Y.
lar tête et les nombres 4’es rayons
dorsaux; ne^iÿcQerdent p a s -^ e c que l’on voit dans la
fi‘gür<^e'{ifoht déjà pressenAir*,^ce qui'e^t vrai en effet,
quelle vscOrpæna malabüHüä* est une * sébastçj comme
ndfis l’af^&hs^vu cié'dé|||fs f . î
'^fâ’^ S p r ô h à b l c m e p i ' / u n e faute d’impr'ession
que, Bloch5 jilt h a h itéM fj^ W ^ f e h Amérique ; ■ on aura
mis jijnej'fQa Mustpqlij pÆw çustrpl^- ,
( Â p istùg ' 'traçhw oïébes, /np'b.1
'if|^pL dH/pius1 remàrquàBl^pâïrfiî t ’ous %ès’hetits ajustes
a '^ es
promiors'rayons epm^x.|]dQ|pa. dorsale, plages su£ la
nuque, sont tellement.qç§ç|és,!de^,|ajQ)ÇE^sq}et la membrane
qu^lés unit aû. reste/d h |j a ;mgQoi|IS l basse ,/quiIs
»pm^ht, p p ^ J ^W u f e , unemoeoiiè''distktpte, en sorte
qu’aii’' p da if|) dfôpil dh.feptylehfë’de' ^rçiftïrè le pç>is-
M t^ y fu r .ujfe vi^ jl r^ajs^Ton sé d e f u s e • promptement
q u a n d '^ ^remarque que ‘ les payons Juiyans sppt encore
.^ S ^ X 's u r prlsque liptjjlj la longueur de la |@rs^j.e.
'à- Ses foimes*sontjà pcmp'rèS en petit Jqeiîé&du seorptma Scrofa.
La VBèi^èigssenabfe beaucoup à- ©elle^’taes|3&®rpène ; 1© profil’ ne
descendVjflbsquëpgs- Les yeux, mqdîo.cres jf 'sonfi'séparés» par un
„ in te r v a lle | * double de' leur diamètre. La- éÂljk>irè inférieure
montef>obliquementfitiMâêvâhf1-,de.'l’atilre.- Il ƒ ra des dents en ve-
f l ferifiS'âux mâGh'Qiresÿ’-ay-détant du Vomer et aiàx palatins. L’Orbite