2 J 8 L I tR l •ï'OBOEJ^pÛIRASSÉ^$;* •
l’où cherchait la source de l’assertion de Ponfcoppidan,
trouverait-on qu’il n’a féjl&jque traduire une ligne- deWil-
lughby sur la scorpène comparée au porcus (præcedentè
triplo aut quaaruplo major1 j. MaisWillughby ne voulait
parier que du poids et non pas de la longueur. -
Cette.„espèce-, abondante par -Jou|é, la M-editerranée,^|e
Upmme à Montpellier rascasse Marseille j$foàrGépes,
scorpion ou scorpenoV^-Nice., papoun4; en .Sardaigne,
pesce-capçnpb Qi cause de’sa grosse tête); à-Rome, sfcro-
fa n o 6; à Iviça, rojèl; àÿenisê, scarpena8; en Sicile ^ n o T
f/in/ip 1.xnrnfana gaderana; à'Çataqe.en particulier,scazu-
pulij et à Trapani, cepola ou cipolàïpe^fjfXkce^çorpidi.1*
Elle est beaucoup plus rare dans VOceau, ^néanmoins
Cornide parle de Xescarpena parmi ^^oo-issonsde G^liced*
Il y en a bien plus avant dans le-tg^lf^ deAÇascogne y car
c’est manifestement un poisSpop, de ce tte espëco,.fdessèch||'
que Duhamel représente sous le nom de probe de Biarritz
où de saccarailla de Saint-Jean-de-Luz.^ ^
Il y en a aussi plus au midi,-car nous .qn^vpns -vu un
b,eau dessin fait à Madère par M.meBowdich; maison ne
peut laç suivre plus au. n ord, car le diable-dp D iep p e
représenté »par Duhamel, appartient à lnsp^oç ts|i]^antê
(scorpoena porctis), et Pennant ne parle d’a^pune ;d?es
deux, ni dans sap'oologie britannique, ni dans sàÆodlogie
arctique., Donovan garde lé même silence -adeur., égard. j
1. 'Vyilltighbj, P isc., p.‘33i*: — '2'. Rondelet, pl'àetiV— 3. I d : i b \ ,
J q ,, jm m Ê $ 4.‘ Risso, p. i8 8 r— 5. Cetti, t.III, p. 1 0 8 ^ &. Salvieir, fol.-1 9 8 .
l î M De I^qcW, An», du Muséum, t. i3. 8 . MartepSjJpj3ge à Venise;, t.n,
p. 346. — 9. Rafiûesque, Indice d’ ittiologia sicïliana, p. 2 7 . ^ 10. .Béion, lac. ciu
_ 11. Comide, Ensayo de las pestes, etc., p. 2 7 . 12. Pèches, 2 .e part., $ect. 5,
p . 94?'pi- 4-
" -?CHAP. I X.‘ j S e (0;RP'È N® S » 219
-.’.-C’est, oommenrousti’aïViOBS dfijl|dity une erreur dePon-
teppidan, |<||piée.par «Blochtelppar d’autres, qui a fait
p^endre^ùqur n,Otre.é^'rpÉÜ^aclitiélle l^grande espèce
dmblti^nomnféùiv^Siird ^erett' marina par linnæusy
etélnsàite perça norvè'gica& j) ^ ftèt^iw, ttès-voisine en
effet desKc)aK[)ènes,^quoique très-différeùtëtiê toutes celles
aiIX qfi ê11.esfen(è ^ ^ lâvOr§-ÙÙâihtefaatit\Ce nom.
ous.^^mqrtons à fe sp ^ fe ^ tu e lle ^ ,d’après-,Grdnoviu|
lui-inême 1y\p§wp^pcena capitt çaüemosp gemini£
in màacîlia inferiore'f èqt auteur, qu’il"fv ||t cÇalâ^d
^Sgardë» l mnï&Luto;é1'esp..éc^^ftArt ,dét dont MM. Bonna-
Iji rfe^fl'T.a('<*pèd^'ontifait leur scorpène fbatbued. Gtono-
* s u ( f;ib p rd , q u un B
dans vlai $ u j|e j^ a in u . soji i<ficm;. %^
* .^i|iWin)|^nuuis eiihAca^t^d^^'t iipu^,parlerons plus loin
r\p 'd m i\ y^pèr(.^^Lrangèr.es. que. Schneider ,y a réunies^lé
rascacio de Parfa i t X^perep. cinrhosa^àe Thunberg.
La graiidp%orpèqe,’:, sur les^âffs de ,Prpyençese l de
. Li^n®ijê’2,>h.dÿi'tc' p 1 incipalement'parmîflês-.rochers. A Iyiça
Lilf f iraî't q u f e léA plus ‘|epé|aleip,ent;(|q hatuterinefe6. Dans
le |©1T(‘ (fe G ^ ^ ^ j lôsp.êSietlrs W Biarritz yont jusqu’à
ÿ|Jx lieues au large au nord-que^t^hen prennent avec d’am-
très-p^i^ons, surtout depuis,,Te mois^de Juillet jusqu’au
commencement de1 l ’hiver7. Béipn dit'^que'-fe^ést sur les
côtes de Négrepont que l’on ;péehe lês^)lus ^ a n d |^Æ
^elon cet observateur, les Vèorpènè|'ont la Vie dure,, et
Süfilïstemloh^temps ,|iprs('de Tejh|l ef e V onsè^ent même
du nimivement aprël^u’on les ^uoupéés.Æn^ moFC|au^..
1. Z hoptyl. ', t I, p. 87, 2]' Mus. ichi. ^ t. I, p; ,4^, n.®^ï©3. —
3 : Laeépède, t. III, p.'àf4. — ■ 4. 'Zçopï&l., toc. cit. — 5‘. Risso---6. De Laroche.