bran fauve. On j% nomme ■çes.deux-($\loubang-batou •
de diable;} mâlejefc femelle.
YalesÉtyn donne étés c'opîeë dd "ces 'dernières, mais gros-
^es n°dces qu’jil f
joint ne portent pas toutes'lqs deux le même nom ni Iqs
mêmes détails. Son n.° 17, qui-esb/lê mâle*.selon, de^ia-y
ming^est atqsgi appelé en malaisikan-hebangrfiqto&ÿpms.
en hollandais ilie nomme spelong^yisch (poisson de &a~
Verae )*, et il 1«; dit très - b ©et à manger. Sorb-nt? 3 4*, ‘fuient
la femelle de Ykming f résb intitülé en malais ikan-
sowangi - jcmg. warna ^voepartfiB f pOîs§©n S'éîfciéï’ bien
tgcbetp},.?t l’auteur- aj^jiie - q q t y n : ^ l e ,
quoiqu’il n’ait rien,de laauvais, iqai^^eau's.e^def,afaa nç)|n^
qui lait trembler les indigènes seulement}à l’entendra
MOLLOnoer.,. .
J ai fait nés japprochepaens pour qu’on voreipoinj^ien il
j^a pemjde sûreté: dana G^nqtàces*.dfjÆe^rnom:en!çlatnres,j.
que des écrivains hollandais Ont adaptées 1(àD qgs.yfigfu£es
faites des peintres indiens.
ILa StNascèe ÂLôkÀék.
,, - :,{Sjtüinceia el&ngata,^ noh^' 1
M. Leschënâült à envoyé aè là “cqtë de' Côrôittandel
une SÿnânëêY qont la tête ressettfolerait' assez' à-cfelle dn
bracîtïdh', mâis dont le ’côrps^éfet bien plus'Plongé a pi?p>
pOttidn,. et que nou$ nommons, à câusê de Cette éîrcons-
taficëy sytianceià elorigûtâ.
Sës~ÿeüx sphtepcore plüs~compréfement dnigés^vérî
le ciel que ceux au bmchion,e t au poipt qu’on fa prendrait
pour un uîanoseope ; si lion ne faisait pas attention
à la p o s itio n de; ses j v en tr a le s. A u s si MM. K u h l e t Y a n
HassehïA, q u i l ’o n t tr ou v é e : à Java ; l’a v a ie n t - ils n om m é e
urânosc&pusv inâicüsl'
Sa h^utem a,ux pectorales est près d e cinq fois dâqssa longueur;
tïlp t ^ â issep n ip m|me endroit n’est que d’un cinquième moindre
| qiM sa.hanteun
J.. tête est aussi large que longue,1 et d’un quart moins haute que
large. Sa l ongueur fait moins du quart du total. Le dessus en est
plat, mat^resrinégal par lesJbôssefûr‘es des arêtes et des tubercules.
Les yeux sont plus petits et plus écartes l’un dé l’autre que dans
le ^rachion. Les trois’ races au crâne ,sont presque dans le même
plan, et, celle du milieu est plus longue que large. Les arêtes qui
( , les Asépaft;nt om uu ^ou deux tubérosités à chaque angle. Le préo-
pe'/culj© a quatre tubercules, ou .deqtsun-peu crochues. L’opercule
esjt^Tt petit, très-remonté, vers le haut, et a ses deux arêtes et ses
d eu xp om teS-ordinaires. Les petites échancrures rondes, formées
iaürdèssusidè lui, ont f ’îû id e deuy trous fonds., presque comme les
ouvertures des ornes du callionyme. La dorsale règne tout le long
du dos!jusque fort près de la caudale. Ses trois premières épines
'son t un peu plus dégagées que les, suivantes, mais celles-ci sont
tellement enfermées dans la chair du-dos,-qu’elles présentent une
suite de petites pointes , plutôt qu’une Vraie nageoire. La dorsale
'^ am in c it cependant par degrés, où commencent les rayons mous,
lifaâis là encore elle iêest pas très-haute. L’anale répond à ses deux
’ tièrss|’Osmh.êûi's,'La caudale es^ êoupée carrément; la péctôrale est
1 #MpiêeÉ obliquement pêé la Ventrale adhère au ventre comme dans
3.%s antres synahcëes, a
" m * m . i_l; P. 14; Y*.'1/5.
La peau est à peu près lisse, sauf quelques verrues éparses, et très-
petites. La ligne latérale en a, de distance en distance, de plüs inài-
quéés ; éHe est partout très-voisine du dos. Arrivée à la caudale,
elle se Courbe pour se continuer sur le milieu de cette nageoire.
La .couleur- paraît un-brun foncé;mais la gorge et la région-pectorale
sont d’un gris-brun pâle ; le tout est pointillé, dans les petits