Il a la iûlêMè'têté, là ^ pirébpefôtïte,‘lès
: mêmes marbrures de difierens bruns1 sur de seorpsf les’ mêBîes'points
bruns sur les nageoires, et à peu près le même nombre de rayons.
: D. 9 « — 17 5. A. 13^ 13.., etc.. ,
■ Peut-être somiïmlseâii esV-il- un ■ peu • moins obtus, et les .'épines
i d’au-dessus de ses narines
que ce sont là des différence$'cot^tantes, il faudrait le§s§v^©i®r retrou-
ÿ , vé^.dans des., individus plus nombreux. vi,,(
La lojjgqedr de .cjeljp fîq,ue no y s .ayxtns,. obs grvéest dewpis-po'uces.
Il avait ëte^dènnéi à ■Pallas>tpaj? îMeA fiea iie proy eaèàmt
de te nter d’Ochetzk-; maisTien ne- protive-qu’il ne. vantais
Ôe quelquune des rivières qu i s-yi je.ttqnt.: |
DE^CH*ÀBOTS*DÈ MER,ÔU CHAB’bîsnEÂUX,
. V u lg a irem en t - a ussi ;; s c o r p io n . d e . m e r , erapaudiide.jfmer*,
V d iab le d e mer]’ tê ta rd ,-fath.er-lasher des- A n ^ l a i s J p S ^ ^ ,
* scosjptvs, L in n .) , è t:d e s ::d eu a ^ ^ e ^ ^$ s -^ ^0> ^ 0 à ^ -4 ig i0 i
ces noms' SeobBPivs%-nx)h., :et Gorrms $qbjli,s ,
Euphra&en ).. p .
. Les poissons dê nos côtek-maritittiës qui resseninlent le
plug»am.chabotL de rivière ,^ ) n tearmés d ëpiiies|.mus’ i iuin -
b reu ||s çt plus dangereusesjfÿè^qui, imM-afà laidèuroeue
leur donnent leur,,grosse jtjête, .leur large gueule pt^jes
teintes peu agréables de leur peau, Imir avâlu toùtè sorte
de noms odieux. On leur a Iransfççe éeiui d e Icerpioti,
qui appartenait originairement è la rascasse.' .Celui ae era-
p â üA Tient à le u r' couleur“^ à îetfr nuditë~èt ir le u r grande'
1. Pallas dit sept ; mais il -n’est pas 'difficile ’d’ôn compter keuf- silï son^inditidu".
boußbe. Ondesfoomme dteèfetepateequ’ils sont laids et
méohans.ïLes-sànglIais* sont allés jusqu’à.les appeleï^/àifÂer-
lasher ( qui frap pe^feLVp tee)^ÿeomarie .si destraits si hideux
devaient^té? farm once. d-ertous les -vi-ces*.'.’, •.
11 'On-n-ous ëassaare qu’ils-partagent surr quelques-un es de
noncotés lefmom,<de b a i de/roc' smaêWaL petite- vive, et
quais ne so n t guère* moins-TedîèuÆs. Sur te-basse. Seine,
oui ils remontent quelquefois’aussi”baut que la marée., 'on
fo#. appelle, éà ram a ê& o k& r , , :
‘' Jfai dit quede nom de s c o r p io n d e m e r n’appartenait pas
originairementauasf©iate)iisseaux, et.en effet ee nom, pris
deS?anc|eusi,e ne-tp eut appartenit à des'pc^S'Qns, étrangers à
la Méd-ifeermpïfeiÿtitâs .n’en avons jama^jiSçu'de -Götte-mer
fffyils; netsoùt indiqués, par a-uoun des {auteurs qui en ont
dêerit les pOksonè,j),Ceim’est pas,#pmme lè ^roit Pennant
lafsqprpène^e. Biélon, qui est une.jraseasse. Cetti, le ?eul
Italiemdonl -réekmède temoigaagej, n’a parlé aussi
qùetd’une rascasse ** Ada vérité, -Aldrovân i e s -a. donné une
figureag^ssière- qu’à la rigueur on pourrait croire d’un, de
nos ch-abois^aüîx;- mais il ne. d i t p a rd o n -il l’avait reèue
etfjjon^saat quil a r^j^ésentéi plusieurs paissons du*,Word.“
Au contraire j ^ u s lés auteurs.diml^rd ont parlé .de ees
p ^ o n s ^^semWe,*memeî qu’ils- deviennent chez eux plus
abondàn^^et.’.plus; grands. On en voit dansntoute la mer
Baltique, nous en^l rappotté du acap,Mord en
Laponie Göpepd^nt ilsr sont-, aussi forteommuns sur nos
cotes, soit dgpsda Ma«nehe ,-soi-t dans l’t'gplfe'dé,Gascogne.'
e^t.e^seia^el^dè^faire obséder qu’ri èn. existe deux
espèoegi que presque tousles^naturalistes ont confondues^
1. Hist. nai. sard., t. DI, p.Jioô. — 2. Piscyioz.