un individu , et oùWalbaumavait
pris uneépine courbée pour un .tentacule.
1 TJ®e«aultM|y^ppetee par Bloch tod,glafimâata ’jsëeposé
aussi sur une figure de- Klein2, que id n là ^ p è é è en la falsifiant
i 'gt îqui ne représentait qu'un jeune daetykoptère
commun desséfch.jg$ipN
Enfin, ^ tro isièm e a qui est le tritia alata de? Umelin,
ou le daêtyloptère japonais de: M. dc;Lac%êéé, est-un
trigle ordinairef ièt nous ‘ayons vu ed-dessus que c’est pour
a#©ir mal compris un texte , à la VéMtétassifc m^l rrM^é^
de Houttuyn, qu’on a eru .devoir en faire un idaetyloptère.
OU H lR O N D E L L ^D E m e r DE LA MÉp^fERRANÉE-'.H^
' 'K Ti'igla voûtant; Lianr)^.''
Ce poiésqp étairtrop remarquable, sort paîr îa tf a ^ té
l l l l l a ttn dêgré égal ou su p e ^ u r ’^ p f u j de tous
les autres pôfslërnS volans ,
soit meme par sa conformation y i o ^ qu’il p e u 'H H B M H
quesjiçn,. à toutes les époques, dans les Jivres où il est parlé
objets d’inspiré naturelle.
Le nqm d’aronde du ^Hirondelle, qu’il fiorte encore
sur les c o t^ ’^ l a Méditerranée en commud '^ ^Ÿ è x û ç e tJt
lui avait déJPete donné pard e s^fe çl et par rèsÿSaÿns.8
Il ne nous paraît pas meme que c^ez les ^anciens il l’ait
p a rta g é ^ ^ d ^ t^ a u tre poisson, et nous .sommes par conséquent
bien éloignés d e j’opinion dê Salvien et de Béfon,
qui ont voulu voir l’hirpndilfe exclusivement dans l’exocet.
 la vérité,, ce qu Aristote dit de l’hirondelle n’est pas
1. BIoeh>ï § « . ^ a6J etpL5>% x. - ,.2 . Miss. IF ^ L # 4 , æ.
G B IP ; IV. BACTYLOPTÈRES. 8 7
eneo®«bienfdsiiistfi^^ Il parle dîétlln^vob élevé?ÿ«e* lui attribué
un braitpmaâsrsJj semble expliquer Jbe bruit parlfeehoc
déstraageoèreSÆQntre^ t’a-ir^ ce' qui peut s’entendre; é lém e n t
bien:t^ip«demxpoii»i^id-s
'yMais lorsque Oppién* range.d’hirondelle avec les scor-
pi° ns >les dragons, efc- les autres «poissons- dont les^épines
faisaient des blessures mortefies^lôrsque Ælien3 répète la
mjémexchose, ils n’ôntîpu'youloiiii^irlm- ■déd’e ^ ïie tj qui n’a
point df épines; c’est le dac-tyloptèrereft- les terribles épines
d#s®®îprébfpercule qu’iismvaient»èn v u eb ^
Un temjoigùage- tout aussi décisif est-lcelui de Speusippe
dans» Atbenée-% qui dit -q?ùé de^ébuSau, l’hirondelle; et le
trigle. se^W ém l^nt. Ôn ne peut l’appliquer^ l’exo ce t, qui
ressemble? bi-éb plutôt’ à unésérdine ou à un muge, et qui
a meme recède quelques auteurs Ife nom de muge volant.
L é dâ§tplfeptè»e es9t itc|sroonnu dans la Méditerranée.
T*ous les auteurs «qui ont déerit les poissons de cette mer
eu-wuéparlé eu détail. Béloia, Pelvien, Bondelet, en ont
dérifié défiguresi^siraon jparfaitemeut exactes., du moins
11(‘É u f méme fort bofifiés pour leur tempë.
J Un le nommé Marseille landolé5 et rondolë% b Montpellier
j . àmade-j ar onde lie mtrate -penade, te’^strà-dire
chapve^&ouiis.^;^«Rome, nibio,\èjt pespe-rondine*, nom
q ^ iÉ lui donne aussi en-Sardaignd?3 ; dans l’Adriatique,
randela et rondola11 • à.JSube;, gallina1* p en Espagne?,« vo<-
ladorfy en SiciLe'et:à, Malte, galinedda efâipe&c&-fitlo&ne.1^
I. Misi.àn., 1. I V , '2. Ha t., 1.BP/t./45J A ^ f gpL%l Æfîen,Miei. an.,
1.11-^ cH rr— 4. L. VH, p; nr.- ifezj.—‘dnBéloTr; prrg"5v— fr. ftorrctelet, pÂ&5.
— 'l’. Idém, ïbid., rate-penade, rat empenné. —*!&. Bélon, pi JÈg&s.i'JiT. à. SalvSçn,
fol..u&4i.— 10- Cetti, t. III, p. 194* ^ 1P Rondelet, p. 2$4— 12. Risso, p. 20-1 .
— 13. Rondelet, p, 'a&5. —1 14. Willughbj, p. 2R3 ; Rafinesqne,'indke, p. 28.