Selon Fabricins, la chair de dette-sfcoïpeaè) est maigrei,
mais agréable au goût 5 on la mange sé’chëë ' o ü ’Cuite f-SaHête
et sa' peau sont grasses/SCà lè’Vrel lé ‘rnangent ëFdès*. TT
Le même ob'sérvatèur nôûs àpj/rend qu'au 'Groenland
ce poisson (se dent dans les gplfes1 méridionaux des plus
profûn?3ifs qu’il n’agpj^^eJ^giais^ du. Rivage. que.;l|0|squ’il
y est amené à la surface par la tempête-/ et alors,son| estomac
soft par sa bouehe,>>oe qui le fai^pécir. Cfe<seul fait,
lu daUssFabEiciu^,,m’avait fâit p-ress©ûtir qu’à la différence'
des attirés* seorphnéls^feé sébasfê^ devaient' a^èir/Une^^ie
nâfatôiî^f mais ma Gonjeëtûre -ii^ s’ésTpàs' vérifree pplur;
toütésv W e s f m ^
Il se nQurrit surtout de J’esûèce de pli-e nommm ptea-
ronectes cynoplossurp.f! auunilipu de laquelle il vit. |Qn lgv
pêche,comme le flétan, rpais,,a$fç.des;ligi|eSî/du double
plus longues : il prend volontiers? l’hapaaefon.
LesàGæoëhlànâais employaient autrefois ses-é^inés-dor-
sales eu place d aiguilles. ‘
., L a S é b a s t e d e l a M é d it e r r a n é e ! ' .
OU.ScORPÈÎtE DACTYLO PrÈRE! DE L iAROCHE 5,pERRj^N I]M-PÉ^IAL
(Seha&tes îtnperialis, nob. j Scorpoena dactjloptertil' lie Lai’, §)•
Il est singulier quun si beau poisson,/qui n’est ra^é dans
aucune partie de la Méditerranée^ riait point ëLé^Sécrit
avant MM. de Laroche hTRisso; mais'céla tréhï, je crois,
à Ce que les uns le prépaient pour le cottus massiîiensis
de Forskal, et d’autres pour le perça des; auteurs.
1. Annales du Muséum, t. XIII, pl. 22, fig. 9.
Il est èmeffet tr*ès^semblable‘'à«beà^>eireia marina de L in -
uséus|» ‘lé b lë te d u ü f b f t : que ’ nôlts venons -'de
debrfre / e t il'ffàUt T?^s<IUe 'lës'Vôîr' à>-fçôté l’un dé l’autre
pour I f e ^ l l l l ^ p e r c L e p e n d a n t ' l l a Mediterranée
a Jes épines,d$r$flèg»^pfqs '^m e^ ^ pjjOppT^ç^iljla troisième „et- la
quatrième lq^t£mo.mé<Tde; lp;hapteur «fu, ppjgàanr(^2^qus -d’ç llq^ et
rlar^g jgpspè/ft di] g l^ p ^ e r^ n t pas Iq tiers de plus^g^ épines
^ne^sbntdu’mpQipbiîgÿdfi^mp^jSpiyms.dp^r^f jçayqj^ ^ Q ^ jÇi
qui fait |rQisTépinefoët..«L'A? ^ffiPs-vv
î LinteryallCjâ^„ypu® est,dé,moitiéjp^us, gttqjt,} ponçage, et
/■ à 1 j gn p.s sa j 1 lame s qu’ o n . .np .‘voit. pa^s dans l'espèce Nord.
4 ,/Lçs ieiïMs lîUjbom fJpjVw orfitg^pnt plus maxqg.é^s;lf d^upèyie
de spi£ préopeipulè excède davantage ^es aptfqs l’<p'>êjtç,de^op
orhitaip^^dsMrienTllsIfefait sentir au travers dp^a peau ;,les,ycay,qns
rglm::^Lt p lu s ^ g s iL ^
5 ^payaniag^dp. la membrane d'ordinaire ils n y sjoqtjpas engagés de
4j plug fjfj mqiii^rl^ leur longpepr, .et qfjspr^tèrgj mie lyi. de
' LarqSig; .W^PL speeifjqj^e^penfin,,,!^ tout, entier
, e§t plgs^q g ^ t ^proportion :, aiqsi. .e’pst. bien pn% [gsppc.e distincte.
B .ld D .W 1 3 ; AvB/6 ,jA3 . 1 6 } P^l»”, dant 8.ân»pteî «tt
; . Sa oôüleu^est,. cbnï®ie' dans- la-' i éMidte ?dü: Nord-, un: beau t>nuge,
tirant plus-ibu tïioilis auCminium- otfiàU^càrmin, et plus pâle, même
blan châtre.,’’vers l’abdomen ; f y a ll^ ^ a în ë ieifitè üdirâtrê btfr^lo'-
i| ;perôûle dàïts ^pbisiêttp's infhvidtisî jfefeiq largèsl^aiidés btunes^bü d’un
, rbugeifencê 'destmdent sur"le ' fond «fe&h i^ y a t^ d ^ s é ù is -de la
ligné latérale :1a première allant dë là -nuque SHr 1’ëpereüle ; la
' .sec($ade et la troisième, »sop^'hcpartie épineuse de la doEsalè-j la
qoàtri^ne,, potjs/ lalpartks molle lâîcinquiètnei, ^UrikaqueM®, J.
■ Jftixfâfp. ipdiyidps p ’qnt Iqifb taghes, huagfiusos brunes
«énaraes.sur différens.,pûintg£dp<dps^^
La loiAieur à r. j b p ^ e t ^ ^ n ^ m
.poucesVü pèse'alors quatre livres p u à peu’près.
1. M. Risso ne lui-donne que six rayons branchiaux; mais elle én-Ànsefrt.'