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la membrane jusqaîà le«irr€Mrémité|)|^p^èât unpetit filtet^au bout
des trois premiers, J^le- ,çté s’échaucre qu’entfe les huit inférieurs.',
qui sont tous simples et sans brandaesfIjeuir:çp\ileqr.est,bIancbâtF^
avec, des espèces de bandes i^gTaîiè^es formées pactes»suites traits4-.
Lversales de taches brunes ou^aoirâtres. $ur leur base extérieurè, des
bandes ou lignes tortueusesvp |le s ,.forment une sorte dé'marhrure
qui n’est pas dans rantenüêymàis il y aâmsi 'des gouttes -Manches •
Savçiir^ quelque? petites sur^ur.^as^ interne,, et, trqjs;pfetscgrarrdes
dans d’aisselle même, dont une^ panait, au-ideskus> ’Le qe^te du corps
est comme dans Vantennata,; mais à la tête les.coul-erors wKsttiri.
I?hüéesUnpeu autrement, ëjt ïerbblgé-bftm, au Iiéud’urfeïiri|ë bande;
entre deux lfghès blanches q ü ï: ïir&véféMàqdue ' de l’autr'e éspëce,
forme deux îlës' entourées de bandteà étriôîfes ■erbê&hrbW dftcbti'Mirs
plbs 'ékîreS. les- ventrales sbht brunes,’ avedsquélquesl p e tite tacnei
blàhêMtyes^èi^lf^fExtrémité. ®a? cr^ê^sWmHêfd-'a cinq ou six
petites deîrts ; Ttnats'cellés du reste de1l^¥èn^bon't^di§p'osêes!à 'peu
’;pfèsi;!ëdifniàd dans le ®âMhfé!ikxfHïê l 4)Æitë
quatre aftriëaux'blancs, ét'quatre nolts?**'■’
B"- 7; B.‘A3/i0j(JL s^. M^jfjpnt^ slïnples-; Y. iyÜ-.
Sur ,up-,exemplaire plus frais,
,. P ^ .4 g .f^ pqr^er de leur deuxième v o y a g é k Nouvelle-Guinée,
, nous trouvdns plu? , de^tacbes. hlanclieÆrjdap^l^aigspIl^ ,-et^àd^tbase
interne des rayons,de la pectorale. JJnalarge bande bruneitràvërsS*
obliquement en j^issant parte eeil, "et.se.terminq sur 1-angla inférieur
de l-upeE«|^ ou ellei devient noirâ’frè et ’forme ailfôi~,vuarejj gcande
tache n ^ ^ ^ u n en voit unë ^ tr e plus pâle sur k basqç externe «dqs?
rayons inférieurs de 1a jlætorale. "
Nos individus ne dépassent pas cinq pouces.
* L e Ptéroïs a àile£ c obérai! .5^
^Ptèroisbrdcfijptera, non. 1 « .
Le Cabinet; d tr Eoi ^possède, d’aneienrie datèy une
sixièDfïe espèce de qïtëïéÉ^ -
CHAR.. XI. PTÉROÏS. . 2 7 1
d.ontvïêsÿpecùorales sont encore un peu,plus courtes qu’au zébra,
• yrgiîiaistdiSPoiéeA|fie même en cequi- concerne leur membrane. Elle
se-distingue principalement parce que les ci êtes de ses; orbites, de
jy&qn crâne, de sa tempe, et^uftWat celles^dft’ses,sous-or bitaires, sont
• divisées eh. une mml#tuue de petites creneîurés: elle hé parait pas
' 'avoir <èu d'é bandes suri le'^eqrps. Les pectorales ont des bandés
transvbrisâles’ btitneS suri ^ A É d ^ lé^ lé è Ventralèë sbiït bordées de
même |îp y a quelques Restés de points blancs à la. face interne des
unes et des autres. Les autres na^êôires n’ônt. que de petits points
bruns.j^à
* 7; D. 1 3 /9 ^ ,3m C . ip>j P. 17, dQijt 8 simples; V. 1/5.
La taille detegpois^q^festïde quatre ou cinq pouces.
f .aÜ $niro4lftônihbï par Bloch, daUsdes Nouveaux Mémoires
de$$Éÿàôlm?f & X , p i rf)fè'QXis le nom à& morpoena Koe-
nigii^jrêsdemble extr'ênihment àlcette^espèceq mais il n y
marqué‘jpoint lafcr^të' du sojus-’orbitaire, ni les dentelures.
* |^S llè s du crâné. 11 dessine comme?4 l; suit les nombres
des ’rayons*1:^*
D. y . b®.
Le Pter®^ RAYONNÉ.
„ (.Pteràis radia tdj\ 1 !
On, trouve dans la Bibliothèque de Banks un dessin de
Parkinson, fait, à Otaïti, et intitulé scorpoena radiata, qui
ressemble beaucoup;,âu,,p,térois antenne,
et qui' â’&ë'même aux pectorales' de très-longs rayons simples e t
dépassant* la membrane j mais ,stes lambeaux des. soufcils sont plus
.'■‘éoiirts, minces et 'Aaïfs^ârti!cxÛâtions; ses rayons dorsaux (s’ilâ n’â-
vaient pas éte 'caspf)' sont trèVcourts : ils n’ont pas le huitième de
la hauteur du^oorps j les bandés,,»soit du corps, soit de la tete,
soht moins régulièrement distribuées : il y en a même une longi