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{j4spidophorus'superciliosüs,\Tiob;-, Càttùs jap.ojijÊ^eX Phalangistes
jj}ponicusr, JE?all.; Jlg&jnpk jdp'ojnjcuy Bl. Sehn. LJlspi-
daphare japonais,,
La plus ’anciejmement côifnue vient aiissi 3 u* nord de
l’oc^n';Pacifique. Elit1 ir ;ege t|efinjçe^% i-afiresbal-de: na^
Pillas, dans j e l SpjaXçgia \ y y epfierÇ jg. pl. Wj]
d ’a p r è s ,n ïi in d i y id u ^ e s s ^ É ^ ’.qiië! A te lie r .,ayau trou'véggni'
Juin '8^43 sur le rivage d’une des- jlfes K o u r i l ^ ^ g ^ i i ’il
s’était empressé» d’envoyer à Pëfersbourg $ Pallas Æâ:^ |« i-r
mée îco ttu s japomcus^, parce quer, séfèn l&^Me de î^lEbi)
jointe à J’éehantillon ? elle -devaié êtfe1 plüs I fem u n e f5?rs
le and y-n'ôn®mément au Japon?; mais -M. Tîlcsivi^issürea
qu’il n’en a point vu f e r les côtes du Japon Éffl. il airfié-
Tait mieux qu’on l’appelât a g en ü s curiIicû$.'Mttive§b0, il
Le- bprne^ili Copier descrip|Mn dë* Pàilas ; fea fftP j.oint
ensuite sojas son ag o n u s ste g o p h ta h n u s^ èejie d^.jS^ellenj
^ » c ’est d’après les deux què. nous § 3 ^ |t |r é . ^ ^ i >
Cet aspidoptore japonais, n u des Kouriles-, sSL^esttun peu dé-
primé à la n u q u e e s t comprimé sur ta plus grande partit dfe
corps et de l&sqifeue. Sa hauteur, à la nuques, est dUf àixième^de
là longueùr totale, et sa tê'te en-fait plus du îhm^üÿèm'ê. Ily5&:a
aUrdéssuS,de'cmqué êeil une proémirieàce ossWse, plate, triangulaire,:
dirigée obliquement eia dehors et ten ' haut ,'lfiâ>^rantot-,ïkiftl
comme ferait un auvent, et jempêche qu’on ne le-jrofe quand on
regarde en dessus la tête du poisson. Cette tête; assçzretroite jusque
vers là tempe, sJélargit entre les opercules. La iMèhcTire inférieure
i T. QejstÆë^tieJ nous apprend ta note d® Stelîer: publiée par M; TUesiusffMéin.
de l’Aead. dePéteisbourgTJi. IV^®à'i^,p.'î431)
; 2. Mémoires de l’Académie de Pétersbourg, t. IV, p.. 4 i6. .
dépassera peineautre.,i©n jyeàt peu d'inégalités sur le crâne : une
petite, »épine nasal®; se|m©ntreîwefésjl‘e i.l)orut -du museau. Le sous-
orhitaira.. feéri6d^#Wteà^^ÈÔois" petites. : épines en avant, à la
première desquellesï&s’aKache1 um petit barbillon ; le postérieur
couvre presqi#ttt>raÿe. la joue ; son ‘centre 'est bombé. Trois tubercules.
mousses.'-hérissent’le . bwd horizontal d u préopercule, dont
l’an^fe ‘ë: ’'aussi -tin. fort tubercule ; il y a un angle saillant à son
bord montant :,“l’b©eiFculfe:^Pnit ans» en ariglè.fLa membranfe des
cpïgsfest rudévmaisiKQiPgarnie dé^^iesÿ-ses. rayons sont au nombre
de «M®. .De chaque opté du corps -régnent quatre rangées d’écaüles
ou; de ipl^ues-plus laïsgçspqiïe lcfeigues, pyramidales; #èst{- à~ dire
1 sailMntes»p^slleur milieu', striées en rayons; deux sont àti-desSus,
deux au-dessous-de la ligne lastérale : cèllè-ci forme jusqu’au droit
de l’aniis une cinquième ntngÆ^d."1 é<-ai 11 es semblables'1 *, mais plus
petites. En sj&pposâmt'la figure exacte sur o s 5point, on compterait
JqùefràlÉê-- cinq, plapues par /rangée; Le dessous de la poitrine, et
'mêmé'enf parafe celui du ventre, n?esif garni que d’une peau rude»
ou plhtot giiïmue7teôffiiïfe du m'a'rbqpïn ^sur laquelle sont éparses
filfpetites écailles : il y a aussi quelques-unes de1 des petites écailles
sur la nuque.,L’àniis èst au tiers antérieur et en fèrnie de fente. Les
pectoralés se rapprochent de l’ouïe plus que1 dans les espèces à
dorsales contiguës ; leur longueur est du, cinquième de là longueur
• totale, et-leurs n’ombre de douze ,ctto«s simples;
[él|ésmOàp arrondies. l_.es \entr alèses ont comme dans- Ig reste du
gerire,, et.mont -guère ®®à>^u®itië de,- iàj.lpkgueusr, des"1 pectorales.
Xa'prêmiére dorsale commence, immédiatement derrière la nuque,
et ne s’étend pas* p,lû& loin en arrière que les pectorales (jusque
sur la huitième plaque); elle a six rayons pointus, forts,,trartdhans
à -chaque côté de leur base, unis par une membrane épaisse, qui
est rude : sa hauteur est des deux tiers de celle du corps au-dessous
d’elle. La seconde, en est séparée par un espace plus long que l’une
et l’aùtfé (de sept ou huit plaques), ef s'élè-ve-jm peu moins. Elle
a- sept rayons articulés', mais non raraeux. L’anale est sous la deuxième
dorsale, mai® s’étend un peu plus en avant; elle a huit rayons
simples, mais articulés , dont le premier est le plus long. La mem