laire, à moihA;.qù?ilt.ne sjort ^ g o j^ n dm ^ -e p ; §es
Le scapulaire est très - petit, e t . lé&èrement grap^^uoe^L’] iiinm il,r
au-déssjus de-la base'de la pectorale taro crête longitudinale ? ter-
mfnée.par une petite pohït-e.- L a péêfo#aie ‘ p lu^ éloignée rïeU%uie
<p#à d’ordinaire, en-est éëahêetp^^:u^;eSpâ%e''lièsfe'âss'e?-'large,
1 sous 'lequel est >unçv Jètogue. plaque oâsetis© ù » p eÙ -V u d eq u i ^e
rejnd depuis lebmâlieu--de l’isthme, où elle se joiiuaàùhon'tSfru-
logufe, jusqu’à feswdti -ÿass^. Entre les:plaques Éëè.-deuxImités
et-le bassin ès’Psyuslht poitrine uri< espace lisse.et triangulai>peÿ-*f*Vi
pourra êffë »tenté de' ep^èÆîque» ces>dgûxiplJqiTes* qu i bordent
lÿ poitrine appartidh-n'enWfehtoEe ai l’os'humér.»], Jinaiv cel^m'esàt;
point." L ’in^péction du4 squelette; tocfntnê qù’effle&flbïit, partie1 de
Tufl dèStdelcs Jo s* qui sont’ ^It^hé^à^êAtïti-là ïfel q,ui> portent
carpe^de 'celuî que nous -l'égard cMs ^gtoâri|l^l>’analÙgÛ*e‘iSdù. < uhiius.
C’est lui qui se montreùoîSaiidécauvert dans foutes Sapbràmlhé >in-
fé|ie®rêi É j
La:*'qniFassè:‘‘'§1|PYentî^est formée par^^^®^*innoniiÉésa,!w^[i'
s’uMssenUpar «Unc-suturc ffiédâaiîè'‘effun trlaS^le, îiu-etf-strié ,’Refont
l a ‘fia§© ést-en avant, et qui sp tertmne em-arièèrelpar une*lcto|çue
pointe : il ii’adhère p«f* aU’os humerai, tomme ai lojdin.mp; h-,
angles datéFaus: de *sâ ^Msè• ùouohent seulement|8r lext-Sèm'ité.. des
plaques cf&itaïès^pe’nGtis venons! de ife rire ;emaîs$éhâque«i#m-
noralné donne depêH- bord externè e tprèslde^a’bWime'tbrùàbhe
plate, qtii m’onteîderrière;lâ>pectorale,betj ^attaché tauxftroisièlne,
quatrième et cinquième grandes écaflles'datérales daxsüfeqBps ^cgfete
brâncfeé;. pàraîf an teSveïâ de la peau et.-est «firnemem,Mriée : - bile"
^fofriae,^eqrùrrie 'Oii voit-, une pertfoii dftumürbdatéralfpqui’ tjsint
la-nuièasse du.ven^o avec .celle] dansjl’àùgle'i{entrant
que cette branche fait en arrière âvècde reste de l’os intua -
miné, qùe ^articuler l’épine'de la VentMe^^Wôfoiste',' pointue,
sttiée'-èt^fënuey'dénteléé sur ses bords*,'surtout au supérieur f du
septième de'la longueur 'totale 5 arti&ffllée-de manière q u e le pbis-
fôn, quand ü. le.v'ëiit j peut la maintenir iisémentrdans une iifeq-
ûon transversale.TÀ l’état^de qepos elle se rôtâfë sur -le>bord externe
dû l’Os-hmominé. DaQs son aisselle-’ eât tjne petite membrane, .'contenant
ua,«aÿSwi taeu* très^grêle, et qui nfà pas moitié de la lon-
• gueux v^itrales s’attachent éous l’extrémité posté-
/pectorales, en sortes que l’on a peine’ à comprendre
comment-rtaùs^feîauteurs /onii laissé l’épinofehe parmi les thora-
giquespmgme' çër# »qui ,}sfe|îï^se M- de Lajsépède, mettent les cir-
rhiteS ewdesreh^|lp^ot|ïèg parmi -lesl-abdominaux. La "pectorale
■ pâttatehë presqU'efài égalé distantei;detfouïe e^dieda branche mon-
^tanterde'Æosfinnominé - -la peau^fedement mue' et lisse devant et
.derrière, lui-daisse toute liberté^pBur ses mouVemens : cette na-
-geoiçeté^t pEeütei; du huitième de MJongueùd totale^ arrondie et
eb'mp'bsëe ,d'e, dix î ç o n s , e r a articulations peu
'*'dàp'p.raëh€es. La moitie^antéx»ieureUjdu dos hStisctu^sée par cinq
plaques ipetite-'sur^ la nùqpê'j, d eu # ^ an d e s à peu
'plès-îMides^ cMe^ées d’^ jj^ illo n 'tb f gitu^linal, ■ au milieu duquel
suméhàque ÿtfèqüé s'arûcule'’uùetdes deux-^prlniières épines ’SE|br-
< ^ le s ^llîquaüÈi'èmàp|aqa|fifesis ordinairement petite et sans épine;
mais lkséiûquième» p e tile ^Ù ^m n ^bo^lbjirs une. Ces trois épines
êsOM.%fortes,,pointües*, J ^ ^ é ^ à là hâse,jg|?enéè^'leu:r suVfeefe antérieure
/dentelées? eâÿ;scie à leurs'bords, creusées en -itrière d’un
• sillan^ifriiikiies/GhàGÙne&ïâèitiiribase^posfeerieure d’une petite membrane
:Vles deux premières ont .environ le tiérsîpl la hauteur du
<torps!|^siy/iÆsièùite)|^tiheaueo!ùp plus .courte. L^ prètiaière-SSt sùr
ladiasé des p?ëct-o#ffiles!; 1» ieeondùîrépond juste-anjdessus dé belle
dès épiffès''fentràlëssf'-et h trùi^emè’-àh’-'dilsüs Me la pôinte'iposté-
^,eure'-(fc^B©s innominérQuelqùefôi^rdetté troisième épine manque.
fBkutre^fois *ü»y m a’; au-ieputraire, une dé plus qu’à' hordinaire,
articulèë^ùr la quatrième.plaque du dp^i Immédiatement derrière
la troisième épine 's’élève la dorsale molle,-petite 'nagéoire trian-
gulairep'àj'^hx ou onze rayons, dont lè premier est simple et plus
dong quédêseutres,, qui sont tousèranchùs ; Éç derniers sont’fort'
petits'1 A pem.p|||jau x deux-tiers' dé’vla 'longuèur du corps; non
compris -la caudala,^’ouvre- l’anus.- Derrièrèslui et tout près naît
l’anale, petite ^nageoire triangulaire^vâ; neuf rayons, et de même
forme que la dorsalè m o le ' Au-devant de l’anale'est une petite
épine frè&- courte, 'quitsê redresse indépendamment dè%fetté ha