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. La S ébast\ 4 rt^b aJ ^ lajs^ J ^
( Sébastes albofasciatus, Hol&fentrus albofasciatus, L a cép .,
t i V , p-v5 ^ J ^ ,«
f] y a de cëS ^éfiastesjukque dans- lés iner^d^ lsTCKine
et du Japon. Un impriitt^‘]^ponàî&'"dfe la bibliothèque îüu
Muséum eÉ^dffre une1 figure/parfaitement ^connaissable
quant an. ^e'nre, ët.'péintc des memeshcotfleÛTS ^ueSies
n^trës, sur ïa<juelle M. dé5 Lâbépède a établi son fîplôceh-
trus albofasciatus. ; *
Elle est {Tua beau-rouge de,minlum, ayecdurblanclialre a 1 abdomen,
aü bord du préopercule et de l ^ g t dnlfe, et stqÆopt $vec
un ruban blanc stir la ratifie' de la caudale :t^ e^ e 'm o n tr é que
i onzeTp'asons épineux à la.dorsale. ,
Bien-que nous eussions aisemen%^r^do’nnu une sçbdste
dans cette figure, elle ne nous paraissail^jja} ÿssez authentique
.dans ses détails -ppur qufe n d u sm ^ |® s .4 décider si
l’espèee est ou no n Jidentique l’une dt^îcS#^/que
nous avons dbservf^^Heùre^gel^ent nota* vendus '?de#'e-
eevoir de la coïnplaisanee de&M. Lichtenstein .le poisson
lu i- mêmej^qui *h été jcéde- au^ Ga|)inet6) de Berlin f par
]\L, Langsdorf.
Quoique devenu presque blanchâtre par le dessèchement, on y
distingue igB'cetç - le ruban blanc d<£La ba^e de l|t*cau^lale^iw|iis
ne reste point de traces de bandes verticales. Du re§t,e, il est difficile
» qu’un poisson ressemble plus à un autfrê qué cëlui-îa a la s^bastede
la Méditerranée Noyis lui tr^uvuRs1 seulement le museau Vji peu
plus avancé,'le sous.-orbitaire plus large , et l’oe il plus petit. Les
épines placées immédiatement derrière les jmux sont sur quatre
rangs, et à la sébaste de la Méditerranée il Jff y ‘ én a que deux rangs ;
elles sont aussi toutes plus' fortes à proportion dans 1 espèce du
M i | SÉBAST ES. 253
'Japon. Les rayons simples de la -pectorale paraissent un peu plus
grêles, moins séparés.,.et il y en a un de moins.
D. 3/6 ; C. 1&; P. 17, dont t simples; V. 1/5.
^ L T 'h f f p e d e l’ouvrage japonais se trouve répétée daris
rE n^ y âp pédié. japonaise, jtv^c.un t e x tp q u e A b e l Re~
rnusat a b ie n voulu nous interpréter, e t où il est d it que
resp èce’»est p/ès-commune sur les cotes d u J a p o n ; q u e lle
a tte in t à .f cm k ^ e d s -d e langueur; q ue,sa chair est blanche
*et de b o n g o û t, "et qu’on la recherche surtout pendant
l’hiver:‘S é s propriétès?paraissent d on c 'k rappiodher beaucou
p d e notre sebâste du ÿ b rd .
L a i à l p f -MARBRÉE. H
B f»$fcbàstes- màrmoratus, nob.)
$'.&&$otre imprimé japonais con tien t la figure ■Æpne shitre
sébasÿe, qui n a|$^i pmpprtée par M. Langsdorf,
H èt'qui. a ie rouge dé'stin dos etîde sesilâncs marbré de- prun ou de
noivaire, dè«màÆère àicè|qùeS'l|Ès' intervalle^ rongés y ressemblent
'à'des'»tà.clîesï rondes, et assez grandes.- Ses nagèoires sont également
- vfeàéesi-clp brun et de rouge^Sup les pectorales, l’anale et la .partie
- .„mollsé/< fl| la caudale, le brun.est'semé' en points; sür la caudale il
„ liait des xnaÉtes continués. Quant aux formés et aux épines , cette
espèce l-ess'e^ble' à la précédente ■; mais sa tète est plus courte à
proportion.
* D. 12/12: A. 3/6'; C. 16; P. 18„doû\8 simples;
L a S é b a s t e /t c r â n e ‘sa n s é p in e s . '
, • (Sebastes inermis, nob.)^ ,
, U n e troisième ^sébastj^” d u J a p o n , "rapportée aussi par
M. Langsdorf, ^ d i s t in g u e .de tputes les autres,