xontaje. Il y a des-dentelures plus nombreuses aux crêtes dp? ?pur-
, ; .c ils ^ u cràneiçtde la nuque. Scs^grands Jpabeapjxdes soqrpils^ont
alternativement minces et dilatés ,J comme s’ils étaient ;artûjnl,és, Les
parties mince^sont planches, et les,parties dilatées et .plates sont
brunes., pe qui donné à* ces j lambeaux quelque ‘ ressemblance ' avec
lès antennes de Certains inscrites : dans les iridiyiuus bien conéètvés’,
il y a’’ ë é p t - - et autant d’iûtervallë'S -blancs.
Les autres lambeaux de sa tête-différent peu- de-eeux de là première
: espèce. -'
Sa nuque .et sa joue n !qnt que quatre lignes blaneheSifq u in e rsp#t
pas \ Le |Oor|*si
. .ges paires ellesttPéfnes sqnt r ja p ÿ ^ À ^ ^ e p ^
de ses pectorales sont plus longs ? et s’étendent fort au-del^de la
' caudale ; leur partie libre n’est point*accompagnée^ d’une Bancle pe
la membrane, mais consiste en unsimpléfilet. Lesuacnés noiratles
dëdêtie mffibraûen^Sonfê h3® si nombreuses il on plus qu e WfMigne^
de feuîr goutté blâtafehiè âuAdlM4s |iè litfè
base, et une ou deux vers le b a s d e l’ïiissèlle., Sur Ijes ventitelesîsfflW;
, une' oif,deux lignes obliques blancbesÿl.
Les nageoires ,yertiç$leS(Sgp'| jçqmmé dnqss5l’^igtèp%ÿif épédeqte.; |
, B. I ; p . lSyWjj.À. 3/6,:, G.13 ; P. 18, tous .simples ; %%&&■/$ y
Le foie du ptéroïs antennê est tfès:^olttmineux et d’pne couleur
: , rQugçâtre,,Le?, deqx Jbhe& fflÿ l^gpn^sçgiLse. p o r t e ^ s L ^ ^ r e ,
à peu près à la moitié de chaquebÿpocamfbe.
L’oesophage" est plus'long et plus étrqit que dans-le prétfédent.Je
n’ai pu rien voir de ‘fèsfômac etcïés cæcums : ils étaient eflleyës-; Cé
qui restajtidug5eç^\nP*\B°Ws aprgdVé'.qti>U. n^eçgpfts dilaté (Opn^l
celui du ptéroïs volant.
Là’Vessie, aérienne est beaucoup plus grande ; elle occJupè! tèute
la longneuF de l’abdbffldn r é lle est: piàsadenfléé en avantirbes »parois
I sont, çomgP^ies dé .fi^re? sph§es .|t.gqgeppæsv i>% ;
Bledfi a donné ^pl. une figuré de »cetfte espêæeiifâsez
exacte,.ut. qui ne pèche guère .que pour avoir tronqué de
moitié les lambeaux de. » dessus, les yeux.
^ lë ïê S # ' J)àî/âît• b e itféb tt^ p il'iïs- rare; q u e l’au tr e ; le
Cab'i^éy ®u R o i n ’e n p ô s s è d e q u ’u n in d iv fd ü , a p p ô r t é 'd e
]’Id e ^ d e - ï r^a!nM p a t 1/'M. Ma tth ieu .’* B l o c h , le s e u l q u i a it
ay an t n ou s; p a r le 'd e 'T g sù è c e d ’aprea hafigtre, 1 1 e d i t p a s
^ , r eçu e ,; d*
^IfëjffîWinuriêÿtial nbbr)JI*j>
M a G e o ffr o y ajtrénivé'dansSlîa m e r tR o u ^ e 'ü n p t é r o ïs d o n t
la lel'eT^s’ifïmVdlarmc’ê1 d ’êpiriëS qdë^qène d h u cu û e /s é ftrp è n e
p ^ || f e in ¥ n t J g i t ^ f ,
ii" a,non,-s,eùlEtien.t ;à>la.nadne^àjla±crètendes spprçils' a
ji^enq,de|k len ^ e^ ijg ld g jl.uye|^n§.„ l/on,en peyi,ayqu,e‘^p/tput
onp,jgd)S?c<et;coufte^Gébi)patmeéré©mmë une lam^d^raMéaù’: “sur
le« s^3^-orbitaire « eUe&.ne'JfornitcnfetpASSsimplemenV'uné ëïêtefsntâis
tpüt^da^firf^Ge-fde JjQs j.estycyuxVfegfei>.,et elksMinstinferi $, ainsi
qne, largqrband&toute;fei|isssée Uqui. s_,é.tendrlQûeb.L^indfnieti i depuis
le milieu du.1 ,ma^I^ire,,jm|ru’a Tt^^^^u^ëTO^rculm ioù il
s’eb trouve plusieurs grosses en courtes, et un peu plus bas’un
grdç^âfflyjppütçs, Lanteàvalle1 de ses^OPKtesGst plus lange.eTmoml
^ ” côncâve que dans hdsMeuitpretoières^^pècêferLes épiriê^ue'la^aibr^1
111 ^alé ' s o ^ ’^fest4®Mtës-* ^^^®^én|tralJas-tte'iplSê teiràles' - n? ont' qtiè
le liers’deSsadt) rigueur y et la membrane n’en estJ,découpée .qu’entre
s les;trOis j®n «qul^.pFenaiers rayqns^jet jusqu’tiq-tiprs, seulement. ;Sgs
.hîyeptçales dfpa-^fByutérn.e se? p^ctqrâl鮫'
^yçàci, ?es,pprnm£&: s
^ 43'Æ^P| Y. fisl *
i,«rtl Sé§-couleuF&nu^ n$ais^m^topMaldé^,^de| dfôpntres^espèees :
un IIMdprun^et.^ ^ bandos^rucüles, routie pâle, raiH^ c n e e s par
i naitè^ V
Il y ®favq u a ffe p ® e ^ n r l^ o n e , tro^m r la tempe I t r opercule,
■ quï'se dontihu'exïï obliquement Vers la j^ciorale^et quinze ou seize