2 8 l i ÿ r e ^ u a t r ïè Sï ë . ro.rMs$èWMass'é’-e s .
■Çtë$t-’fe grondifv têtard oürbécard de* Duhamel- (fs>écti V,
Pi. 8 h ‘ T ‘!
rt,îCe'p^sâoff MfâteTOWéS;? mpï^s. jusqu’aux GàniKes’;
car il, nousa été envqyé de Tgaeriffe par M. G|Iat. ^
M.vd-e»ïjaqépède a pense que le lastoviza de BÇpnnich,
ou trigla adriatica de Gmelini ust le.{mgme -poisson que
Ler#râg&z liïveaia;ïWc: déjVtarténs?esi arri\5.éfdeÆSpiiî)^téfà la
même^eojâ^tfSï^n ; effet la description que
donné de Ye lastovizas\c&&$kè parfaiteâétÉ-?fdanS tout
ce quelle exprimé^aroc le trigla lineat'à.. !
J®ais’les individus que nmiSi^o^ls:«îéiis^de laM^emier-
ranée, sOus le nom d’itnbriag^^m^t aussi t^-s'emblah|es
àmecix de $ 9 ^ et touttfoisr.%^nb||s>; ^ t ^ p r t i p çæ e . r '
par une.épine un peu plus, pointuelaaL^crâmé-v à.Eépaule et
à-lopeirndei; .pariiês^épêms moin^Êén^lp^sJ&dongî^da
ddrSâle^ e îfpafce que les" p^ct^ales onfo^des liguesvtrans-
vérsésW^non de 'gi#ESé#‘tiâL%l^^ tandis que^fè'feorps a
‘souvent des taches pltfs faf^ês, plus nuâ|eûses'| qu)l#és$em-
bleWt à-des marbri^éf^^Àtï dt^moins cjf<jue'UoTïs- observons
sur dgs individus venus de; Malte ; Priais’
légers caractères ne, sembléront-ils annonce. qu’une
* fin autre* imbriago, que mou&>àvbns >reçu de. Sicile,
différé de^notfêtoûget cartiàrd par'des*t^ntéfeplMS>brunes^
surtout-aux .pectcrraïeà, et de plus la lingpeur, iieleés nageoires
est plus grande que dans la’ plupart dèw^rosrindi-
vidus de Paris : elle n’esUéomprise que, deux fqislét d'eux
tiers dans la longueur "totale, TXb'us attendrons dè^.obser-
vpfé>a#plus multipliées pour drécidèr s’il y aquelque c^pse
de spécifique dans%esdifférQSeesvC»
On reconnaît céféâracbèié dunévépine humérale plus
pointue, dalis la figuré5 excellente pour lé temps,, que
. m jm & m T RI U I®Sw 2 9
Rd<slet a publiséë|(p:’ 2g5 ) de sdu imhriago. On-kd,.donnè^
,(Ütjil,i ce profil, qui enlanguedoçienfsignifie wnog'ne^.aïcause
idéîla couteurjpiàî^e ;s et couleur* .d® naéiWé ftgmpssque
jSpn profila tombant^lsg)^ ■ ée qui a déterminé, cet auteur à
le co^lddBer^pnpne. un mullç imberbe.
Ml'Biss^dî*fe.’qq’^W^^bn lui -donne le nom de b&Lugan.
que BjUnùicK-'pr^é'tendfiftfe‘;àf]^a#serlAe» celui .du '.trigla
hirundo. A Y ,M. de -Martens.^on l’appelle
anzdleiÏÏOE^rnuso-cturo.
Du P erlo^t*, nomrrté aussi R o u 'q lï, GRéfi d 1 N.
jpjfll Wfcigîa. hirundo f B l., plVi'éâ)t n
' Cpipoisson-ressemble .rouget* ^oquimun plus qu’a aucune
autre espèi©é-,^ar,la .forme..eb les proportions de-la
tête ,uinsl'(fue^par«savdi«.e|ilatérale ,/eb,il n’ést pas étonnant
que les‘noms Ûêipërlàw%^0ëYougê^sê prennent quelquefois
Pun'polir dautre, d’autant plus ‘que* ce .pèjlon tiredpi-
méinê'mlus ou moipsjaupspüge, etîfj^,.èffei c’est lui, qfnon
pas le ip|iget,à flancs.s^igs, que Duhamel.a représente sous
le i |m de rouget grojidj.it. Le fond de? la- cpuleur de son
do^est. cependant généralement grisâtre qU brunJd^e. >
J-e nfeyois- pas-trop ï-eequra .déterminé, lesva&teurs à «ap-
piiqiâéiHr éette*esp‘ècé le .nom âhirundo, car sés pectorales
nejM'ojnt pa's plus gràndes que dâfis /te.féspèéès dont nous
venons dfè pârléi1’, ei meine je trouve que dans nos individus
de la Manche leu^nropt)rtion,vajie. Dans lesjins leur
longueur est ,quat^et fq|s..et un .cinquième dans la longueur
(toJalg.,;;et.. elles dépassent à peine les ventrales $ d«jms le?
autEes elle n’y est que quatre fois moitts un.quart ou un
cinquième, et elles dépassent alors lès ventrales d’un quart.