M. palais >de !ée*^di0 l o * ^ 4 ïW?)
en effet, n’étaieni ^§ffW®t
lpngTtçigps daps la liqueur. ^Ceupc .qu^jpms
Nord , ne nous qnt^ien montré de «semblable; majs eelartien^ geut-
etrè à une plus Ibngüè macération. ' -
Le foie de la sébaste impéirMë est jcoïhdoréMé d eux Tb'be^ moins
longs' et ;p'lüs‘‘grés1 que' ceux' dÿi foite de’ M'^pfé^êflenté.
L’rééôpMge^st {te s large!, er fe'e* itrï *lsnM&ïâ|Pplu3 grand ,
dorftdës^fàrois sont pllis'épaisses, e f’qûi sdnt'Êbargees «deiilçs'en
dedans.
Il n’y: a que cinq crécmnsktf'pylore : M: de Laroche!dit qu’il y
en a six, je n’en ai vnCependant que cinq dans deux mdividus dW
j’ai examinés. L’un désr deux Svaiteté ré^portié• par M. de Laroche
lui-niéme d’ïviçâ. 'L’intestin fait deux ’lofo’gs replis, comme''cïahs
l^’s^cê'préfeédenté. r
Lès1 ôvîfîréé é ëh t;gros, è t s’étendent' déptuîfe dfephragrofe jias’gû’à
• l’anus.'1 ;
' Ce (jue l’on doit' suVtout remarquer, ‘ c’est î îàK>èhc<éI dé vessie
natâtôiîe. de Laroche l’avait déjà fait (Amÿaîtrejmais la chose
dèyiéiit bîèh^lus notable àujohfd’hin qhëTon' s.iit qu’il* /é fik une
dans là feélasréqdù; Nord. •
», ; Les; rein,s ..§ont(petitS., et là-yeskeminairetest, phiSipèûtu e tp lu s
mince queueehe,d% séb%s$e septentrionale. . Le. péritoine] esfenniÿ
^mme-tde d’epcwe.; ,) ;
Son. squeietté ressemble à celui de la^sébasteidu NoFdrpàdlescqp-
, tion ,des légers - détails delà têteb dont les; différences setvoient déjà
{à Textérieur. •, g
Cette espèce, comme celle du Nord, ne^ vit que dans les
grandes profondeurs y aussi M. de! Laroche 'dit-il qu’elle e&t.
fort rare dans les ports ou l’on na ’pas l’habitude de pêcher
à ces grandes profondeurs. Il en *à vu prendre à"cent
soixante, à cent quatre-vingts brasses , et même, à trois
cent soixante.
M.Hisso'-assure qu|el||^e4t 'fort commune à l i e e , et
quon l’y troü/ÿp pendant] toute l’année’ Qntre1 les rochers
les plus prorctt^l®B femele (,e$t pleine d’ceufè en été. Sa
chair èst peu m%imèe^îjbependant on en fait de la soupe.
n3'rpBh nom à tient’ sans doute
''k'sek épines. M*. de Laroche dit qu^IvïQa .on la nomme
serrait irr ip é rié lpeut-être à êatise de fSa'hlelle couleur
rdiujp^, et; à Barc'élonnë, paiiegül.' ^ ra lo t^ o n r ie beaucoup
que i ^ s ^ ^ i 'sCrofanu ibipêrtaii ^®S'S,|cÜiéhs què
M. RafineSqùë ‘a* pifs #Mx’r le;! ^ôWtfà^maiïüiÏÏMsis1 'de *F@rs-
kal, <f|Pque par ^eéxtbîr^@n il spegjt dispense de d'écrire.1
‘^W^Æorpiênâ malcibdrica de BIqcIt2 éstnme s>éf)l|ste& sa
desmption leK]|muyer#it d^ jï^ et Ge^qunne ^isie^picun
dQ-ptékd^fclinspe çtipn qpp,rnous ^vpns ij^te de l’individu
,qui| en»a.<g£éTl’obifet, -I%pst donc bien certain que
fauteur lufeeirappQctéJmal à propos1 le cottus cmstralis-de
Whitje %' qui est *un ap isté ^ l
^ e 'p b ilËm de Bloch ressemble tellemënt ^our tous les
/cfetfàirs â -“Aotre' flypçpe deJ ms Médimfrailee qu’il tfotfs est
impossible de ne Inas le^regai( 1 crj|l|mmé <’idenbqufFIcvec
ellæf a u s s i , d e u x ' q u ’il lui,attribue^ fAmérique
n^ériqib.na|elefca'îk,,c^te ,qe, Çoxom^ndel , nous paraissent-
ellpstjég%lement, smsfpd^s- H avait,fpGU;SQ,Ej,;indjvidu d’Abil-
gaardiqUi. pouvait .'bierp avoir,t été,}trompë .sui^sajpatrie.
1 î ; Rafinesque, Indice î g i ^— '2. S yk . p. ig é ,
n.° 8. — 3. Voyage à la Nouvelle-Galles du’ sud , p. j fig. i .