soh bord antérieur. La’maphoife inférieure mOnte obliquement'en
âVaxit dte l’autre. L’individu, mal seoiiSeryp, ne;léiss,e bien yoir-UÜ ses
dents, ni ses rayons branchi ostè’ges-. Sa dorsale
sur l’oeil;, le premier r am . <^t moitié moindra .qpe la^ eon d .
Æroisièmp, qui ont'Ies’trois.quarts de lahauteur du corps sous eux.
Elle-cdtis'erte' à'peù près' céftè' haufeUr "silr! tome* sa^loeffiguèùr. Ses
rayons JofeTri^'noinbrë de vingt-quatre', dbnt^pj|àr, épineux,-àss’ez
dpjNÊs, occupent ïë s ’deÉxÀi.ers-dë sa longtieiirr-Ee dernM&des moub
s’attachèpresque entièr^menugJAiÇmd^lg par un^profongation oje
la membrane commune. TCa 'câuaafé es? arrondie et a dè^se.ràÿëps
entier? et; qu<dque§{pe]its^ sa, ^opeueua esu|t; P |] l£ 4É ïffii^ ? r t de la.
dqngueur totale. L’ânàle répOnd a la p a r tim ip o ll^ p pm aoe ^K et
' a t ^ s raÿdns1 épineux assez’fcrts \ qui- vOnt en- Allongeant, e?spp | .
sindus^ Entre ellé°ét la Mfâdâïe- ést uîn? espacé’ b u , aussi' lbb^què
quèUe-fést ‘haute af’cët lendroit, et]qui fëit leneuvième^dé la d45èguêur
totale. lies' ptectotales en Ont le tier-s*: elle? sont- làhins ilargcsfiqué
neïlès desijpq%ènes ^ordinaires';'!® leur compte; quihze ou seize
rayons: Les, ventrales sortent examinent smis leui"base ; mais, sont
d’un r tiers, plus courtes. Leur nombrefie ratqn^ |M p fci;Ænaire.
D.IipS^A. 3fïr> C. 12; B. 1,6?
i! ' fcê^ôissoîi n’a5 qpt^ie!très-petitesMëc?iïfe; que l’oïrdoîl bieT?f>m;
Voir quand i ln ’ekpasjflessémé ; IPpGi'te un petit lambeau § |p l|fiil,
un sur ïa nârine, et-un auhoüt du. mtfs’eau. P eu flfr e que oins d'état
frais il fen: offrirait dàVantagé“.''hà^couleur semble maintenant d’un
' fauve uniforme.
H ^% 'quë‘drqiinpoucfe de loùgueùï? ’1
Son origine est inconnue.
d é s ftKÉPsrAs:;
parmig eh a n d nombre dè.póisspns extraordinair^ qui
vivent dans le nord de l’océan Pacifique, sur les* côtes de